
Le président de la République, Kaïs Saïed, qui recevait cet après-midi du mercredi 26 mai 2021, le chef du gouvernement Hichem Mechichi et le ministre de la Défense, Brahim Barteji, a souhaité par cette entrevue revenir sur l’affaire des documents « fuités » accusant la présidence de planifier un putsch.
S’adressant à ses invités en dialecte tunisien, et même en français, le chef de l’Etat qui nous avait habitué à des discours entièrement prononcés en arabe littéraire, a tenu cette fois-ci des propos apaisés avec un message appelant à l’unité de l’Etat.
« Je ne comprends pas que l'on puisse parler de putsch constitutionnel. Un putsch est planifié contre la légitimité et non en se basant sur la constitution. On parle de l’article 80 alors nous sommes déjà en plein dedans puisque nous sommes en état d’urgence. Les présumées fuites se succèdent et la justice doit assurer son rôle. A ce rythme, on aura bientôt un ministère des fuites et cela ne peut durer et puis pourquoi on accuse celui qui reçoit le courrier, allez chercher qui l'a envoyé ! » a indiqué le président.
Kaïs Saïed a estimé que la justice doit se saisir des affaires concernant certaines personnalités bénéficiant de l’immunité et a appelé, dans ce sens, l’ARP à coopérer et à assumer ses responsabilités. « Certains sont pris en flagrant délit et d'autres sont actuellement en fuite et ceci touche l'Etat tunisien. La justice militaire a les moyens d'agir en un temps record », a-t-il dit en évoquant le député Rached Khiari sans le mentionner.
« Nous avons certes des points de vue différents, des visions différentes, mais l’Etat est unique. Les institutions de l’Etat sont complémentaires et servent un seul but, l’intérêt du pays. On ne peut pas parler de putsch quand le responsable ne fait qu’appliquer ses prérogatives. La Tunisie est devenue le pays des experts, un million d’experts en droit, en terrorisme et en politique... On relaye des affaires fabriquées de toute pièce et on les promeut carrément » a-t-il souligné.
« Il y a plus de 25 affaires de corruption, de contrebande, de drogue et d’autres qui trainent à l’ARP et les personnes impliquées ne sont pas inquiétées, elles sont là. Ces gens ne sont pas mieux lotis que le commun des citoyens, le bureau de l’ARP doit examiner ces dossiers. S’il s’avère qu’il s’agit de raisons politiques alors oui mais il n’est pas question de garder ces dossiers sous la main pour négocier avec. La justice doit suivre son cours, ce qui se passe en Tunisie est étrange et la question n’est pas l’affaire de personnes mais de l’Etat tunisien et de ses institutions. Des gens qui ont des affaires en justice sont aujourd’hui devenus de grands analystes politiques et spécialistes des scoops » a ajouté le président.
Kaïs Saïed a enfin rappelé qu'il n'y a qu'un seul Etat et que chacun doit assurer ses prérogatives sans empiéter sur celle des autres, rappelant qu'il n'y a qu'une seule diplomatie tunisienne et que les affaires étrangères sont parmi les prérogatives du président de la République.
M.B.Z
Mr Méchichi , ainsi que l'autre figurant de service , ont écouté sagement le président s'entendre parler et leur faire la morale , comme à des enfants pris la main dans le pot de confiture !
Ce n'était pas un dialogue , ni une demande d'explication , mais comme d'hab , une opération de com. !
" Voyez braves gens , je parle , donc j'agis " !
Mais parler , soliloquer et faire des rodomontades , tout ça n'est pas synonyme d'actions concrètes !
Mr méchichi a donc écouté , mais a-t-il pour autant entendu quoi que ce soit ?
Il avait l'air de dire : " cause toujours , tu m'intéresses " !
Mr Saied aurait dû utiliser le verbe " exiger " , et dire pour une fois : " je veux .... " , " je réclame .... " , et demander franchement et fermement du chef du gouvernement et devant l'opinion publique , d'agir sans délais !
Mais non , il ne lui demande rien , il parle , se demande pourquoi et ........ c'est tout !
Donc , comme d'hab , il n'y aura aucune suite concrète et ce n'est demain la veille que tout ça va changer !
Le président de l'arp continuera à faire la sourde oreille , et son Méchichi regardera ailleurs comme il sait très bien le faire !
Ce nouvel os à ronger entretiendra les débats , les journalistes et les plateaux tv quelques temps , et puis ..... les affaires continueront comme d'hab. , jusqu'à la prochaine " sortie tv " du président , qui fera encore et toujours la morale à ces garnements du gouvernement !
Merci à lui pour ..... ce moment de divertissement politique , mais qu'il se rappelle une chose : " on est toujours jugé que sur les " résultats " !
Comme je le mentionnais dans les 2 posts précédents, aux articles ayant pour objet Madame Nadia, pour cette affaire, l'objectif recherché est de l'éjecter de son poste, de l'écarter de la Présidence, et d'avoir ainsi le champ d'influence libre aux plus hautes instances de l'Etat.
Et ils le savent ces nahdha et pourtant ils continuent à s'agripper ne se souciant de rien et du mal qu'ils ont causé, par leur fautes et surtout leurs incompétences criardes, au pays tunisien et de sa faillite.
Ces nahdhas ne veulent pas comprendre que l'on ne peut pas gérer un pays avec des incompétents, d'abord ce n'est nullement un butin comme ils le considèrent, ni un commerce dont ils consderent quils sont connaissseurs sans formation ni apprentissage.
Or leur on vécu dans cecdomainr netait basé que sur l'arnaque, le monopole et la manigance, ce qui leur a permis, donc, de s'enrichir dans l'irrégularité dans un pays, du tiers-monde devenu pauvre au cours des quatre dernières décennies, alors qu'il aspirait développement lors des années soixante et soixante-dix du siècle dernier ; d'ailleurs ces nahdha considèrent que leur vécu dans le secteur de u commerce (l'épicier du coin entre autres), est une formation infaillible quoique pleine de banditisme et de manigance. c'est pour cela qu'ils n'attachent aucune importance à l'éducation nationale ni à tout qui concerne la formation, car pour eux, et d'après leur vécu susmentionné, la vie se limite à commercer et de d'avoir des subordonnées et des serviteurs dans leur commerce et puis d'être assis sur une estrade derrière un caisse et acquiescer des ordres ou de commander des marchandises.
Alors comment voulez-vous qu'ils puissent gouverner du jour au lendemain et de comprendre les rouages d'un pays dont ils n'y connaissent rien ni même son histoire, mais ces rouages sont semblables à la gestion d'un magasin.
Ceci erant, ils ont du constater que d 'apprendre par tâtonnement est le meilleur moyen de réussir et qu'il est donc inutile d'aller a l'école et de se cultiveret car il s'agit d'une perte de temps comme ce fut le cas au cours dernière décennie lorsqu'ils ont pris le pouvoir pour ne plus donner de l'importance à l'enseignement ni au savoir et qu'ils étaient envoyés par les britanniques que pour valider un soi-disant printemps arabe de cirque, et d'être impliqués, une fois au pouvoir, pour la saisie du pétrole libyen et que ce pétrole va leur permettre de vivre aisément sans aucun effort ni travail comme les nababs des pays du golfe, or xnce qu'ils ne savent pas que les citoyens des pays du golfe sont sérieux, honnêtes et surtout travailleurs et ne donnent plus de l'importance au pétrole mais à leurs sérieux et à leurs génies et recherches dans plusieurs domaines rentables et surtout de suivre des études supérieures les plus évoluées.
Donc il n'y a aucune comparaison des citoyens des pays du golfe (et autres nationalités) avec les paresseux citoyens tunisiens sédentaires et amorphes qui ne veulent que percevoir des salaires et des primes de la part de l'état tunisien sans contrepartie ni effort, à moins d'avoir des autorisations qui leurs permettraient des rentrées d'argent tout en étant en vacances, reposés et endormis, ou bien desxterres agricoles domaniales qui rapportent gros.
Or cette manipulation et cette manigance basées sur la traîtrise, se sont révélées, depuis l'année 2011, caduques et inopportunes en ce début de siècle plein d'injustices et de terrorismes pour que la Tunisie reprenne la voie du développement suivi après l'indépendance ; pire encore ces comploteurs et ces saboteurs (s'agissant de nahdha) estiment que malgré les réalisations et réussites connues depuis l'indépendance jusqu'à 2011, sont superflues et reniant et oubliant en contrepartie leurs monsrrueuses catastrophes socioéconomiques causées à la Tunisie durant la dernière décennie 2011-2021 sous leur gouvernance.
La situation empire chaque jour en Tunisie et tout le monde regarde méchamment sans réagir; et les banques internationales (dont le FMI) continuent de noyer indéfiniment la Tunisie dans des endettements gigantesques qui ne servent qu'à la régularisation des salaires des recrutés (sudistes), par nahdha, dans les ministères et les sociétés publiques à Tunis la capitale.
De mentionner que ces recrutés auront pour seule tâche de donner leurs voix de vote à nahdha et ghanouchi lors des législatives.
nt de son statut, commet un delit penal, la justice, via, le procureur,pour etre court, confie le dossier a un juge d instruction ,qui convoque la personne pour interrogatoire,. Si la personne ne se presente pas devant le juge, cas de la personne qui a foutu le desordre a l aeroport, le juge ordonne un droit d amener sans appel logiquement. n est ce pas.? Ce qui n a pas ete fait bizarrement. Si la personne amenee devant le juge pretend justifier d un statut de parlementaire pour refuser sa comparution et son interrogatoire, le juge a ce moment et uniquement a cette etape de l instruction, peut decider, s il le juge opportun, d interroger l arp pour la levee de l immuninite ou refuser de s y plier. Une demarche logique a mediter a mon sens
Tu veux parler au Peuple tunisien PARLE TUNISIEN darja!!
Ce que j'attends de vous, bien que je n'y crois vraiment pas, ce sont sont des actes concrets, point barre !
Les français avaient une expression qui vous sied à merveille : " Trop de trop " !
N'avez-vous pas dit que votre seul et unique allié est le peuple ?
Et bien ce peuple veut savoir. Il veut entendre cette vieille racaille étaler son charme.
Ils ne veulent pas comprendre, ces nahdhas, que l'on ne peut pas gérer un pays avec des incompétents, d'abord ce n'est nullement un butin comme ils le considèrent, ni un commerce dont ils ont un vécu d'arnaques, de monopoles et de manigances pour qu'ils s'enrichissent Incomesurablement dans un pays pauvre ; d'ailleurs ils considèrent ce vécu plein de banditismes qui a engendré des gâteries surtout les années quatre-vingts et quatre vingt-dix est une énorme découverte socioéconomique et que l'enseignement et le savoir ne sont que superflus et inutiles et c'est pour cela qu'ils attachent aucune importance à l'éducation nationale ni à tout qui concerne les secteurs qui sy rapportent car pour eux la vie c'est de commercer et de d'avoir des subordonnées et des serviteurs dans leur commerce et puis d'être assis sur une estrade derrière un caisse et acquiescer des ordre et commander par téléphone les marchandises.
Alors comment voulez-vous qu'ils puissent gouverner du jour au lendemain et comprendre les rouages d'un pays dont ils ne connaissent même pas son histoire.
Dautant plus, qu'ils ont du constater que d 'apprendre par tâtonnement est inutile et ine perte de temps comme ce fut le cas au cours dernière décennie lorsqu'ils étaient envoyés par les britanniques pour valider un soi-disant printemps arabe de cirque, et de les impliquer, une fois au pouvoir, à la saisie du pétrole libyen ; or cette manipulation et cette manigance basées toutefois sur la traîtrise se sont révélées caduques et inopportunes en ce début de siècle plein d'injustices et de terrorismes.
Ceci dit au passage, le comportement de ses compatriotes le rend bien plus furieux que Ben Ali lorsqu'il vivait de telles situations. J'ai l'intime conviction qu'il s'est demandé mille fois comment faisait Ben Ali pour supporter tout cela et pour gérer autant d'attaques intérieures qu'extérieures avec autant de calme et si peu de dégâts. Il faut dire que les présidents post-révolutionnaires sont épargnés par les attaques extérieures puisque les atlantistes sont arrivés à leurs fins, à savoir une Tunisie à genoux qui s'en remet à leur clémence. Celle de Ben Ali les dérangeait alors que celle-ci, ils la trouvent très bien!
Ce discours de Kaïs Saïed montre aussi que ceux qui ont trahi la Tunisie en 2011 ont compris que cela se paye très cher et qu'il est grand temps de faire respecter la loi et mettre fin au laxisme. Laxisme voulu par certaines parties pour que tout tunisien ait une impression de "liberté" post-révolutionnaire qui, en réalité, n'est autre qu'une anarchie post-révolutionnaire.
Monsieur le Président, si je puis me permettre un conseil, je vous dirai que, dans l'ordre des choses, il faudra dire aux tunisiens ce qui s'est passé en 2011 afin de pouvoir tourner la page. Leur dire aussi pourquoi tous les présidents et leurs Gvnts successifs avaient occulté au peuple la réalité de la situation économique et le danger des emprunts excessifs. Leur dire les raisons de ce silence et qui les conseillait à mentir au peuple jusqu'à le soumettre à un genre de colonisation 2.0.
D'ailleurs, monsieur le Président, même s'il est trop tard d'avertir un malade de sa maladie ou d'essayer de le soigner alors qu'il est déjà mort, pourquoi continuez-vous à observer la même omerta complice quant au sujet de la situation. Expliquez au peuple ce qu'il en est. Vous avez le confort de pouvoir "coller" la responsabilité sur vos prédécesseurs. Ceux-là même qui ont fait mine de ne pas écouter Léon depuis 2011. Expliquez au peuple ce que sont les choix difficiles dont parle Mme Clinton dans son livre; le but de la visite de Madeleine Albright à BCE.
Bref, il est plus qu'urgent (si ce n'est pas même trop tard) d'expliquer tout ce qui peut porter un peuple essentiellement constitué d'analystes de match de foot, convertis depuis 2011 en analystes politiques stériles et dénués de logique, à surenchérir en bêtises et en conjectures aussi farfelues les unes que les autres.
Celles de Léon, qui appelaient le peuple à se réveiller et à ne aps se faire prendre au piège atlantiste, comme allait vous le prouver les évènements, sont d'une autre nature. Elles baignent dans une logique implacable avec un sens de la chronologie qui en fera certainement les meilleurs éléments pour l'écriture de l'histoire de cette trahison collective appelée "révolution". L'Histoire Juste, la Vraie. Celle-là même que les faussaires de l'Histoire répugnent, voulant écrire cette dernière dès le 14 janvier au soir, par des émissions télévisées manipulatrices aussi décoiffantes les unes que les autres. Vite écrire l'histoire par les traitres avant que s'en emparent les Justes et les Authentiques, à l'instar de votre serviteur. Les faussaires répugnent les rares personnes qui mettent à jour tous les plans des "nuisibles", les plans des ennemis de la Tunisie qui s'employaient, et s'emploient encore, à barrer la route à la Tunisie Historique et à sa dernière page, celle écrite en lettres d'or, la page de l'ère Ben Ali.
Quant au contenu du texte de Léon, je n'en parle pas, car c'est un peu complexe pour mes capacités cognitives et je risque de faire fausse route, je laisse ça aux spécialistes de la spécialité. Parmi les lecteurs et commentateurs de BN, je n'en vois qu'un seul spécialiste digne de ce nom: abel chater. En attendant ses lumières...
Dites la vérité aux tunisiens, et si des pressions s'exercent sur vous, démissionnez. C'est de la sorte qu'un grand nom rentre dans l'Histoire. Ben Ali avait dit "non" à la guerre du Golfe en 90 et à ses instigateurs atlantistes alors qu'il était encore fraichement installé et que son siège était fortement éjectable. L'Histoire le lui retient et le classe déjà dans le podium des Bourguiba et des Nasser. Peut-être même au dessus (les prochains siècles le diront).
Les valeurs et les principes n'ont pas de prix, monsieur le Président. Même le fauteuil de président ne les mérite pas.
Regardez ce qui est arrivé au droit-de-l'hommiste Marzougui: En bafouant ses principes et en acceptant de livrer Baghdadi Mahmoudi à ses geôliers, non seulement l'histoire a déjà oublié le président, mais elle a aussi oublié le droit-de-l'hommiste. S'il avait démissionné, il serait rentré dans l'Histoire des Grands. Peut-être même aurait-il été élu s'il se représentait.
Valeurs et principes ne sont pas un vain mot. Ceux que tous les tunisiens prétendent avoir alors qu'ils en sont dénués. Expliquez-leur tout ce qui est arrivé, monsieur le président, et vous verrez comment l'histoire vous en saura gré. S'ils comprennent, ils ne trahiront plus leur pays et par conséquent, ils ne vous trahiront pas. Ils ne joueront plus leur pays sur un coup de tête, souvent motivé par des considérations de haine ou de régionalisme.
Léon, Min Joundi Tounis Al Awfiya;
Résistant.
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.
El präsident marmotte ...marmotte ...Et même en dialecte tunisien, il s'embrouille et on a du mal comprendre le message qu'il veut faire passer
Un appelle au pharmaciens
D'avoir un grand stock
Des medic contre là Diarrhée !
Mohsen.
Il a envoyé deux messages à Mr. Ghanouchi
1- Agir contre les députés demandés par la justice dans des affaires qui ne concernent pas leur activité politique
2- Qu'il cesse de faire de la diplomatie parallèle, peut-être une référence à la dernière visite de Qatar. Le président est allergique à ces visites donc elles sont contre-productives.
Sinon je trouve bien qu'il n'a pas attaqué Mechichi, il a respecté ses deux visiteurs, il a insisté sur les prérogatives de chacun et des institutions, très bien. Il a fait un pas, a Ghanouchi aussi de faire un pas, par exemple faire taire son gendre qui ne cesse d'attaquer Saied et respecter la responsabilité de Saied pour la diplomatie et la situation s'améliorera.

