
Le nouveau président du parti Afek Tounes, fraichement élu, Fadhel Abdelkefi, a été présent ce soir du dimanche 27 décembre 2020, sur le plateau de Samir El Wafi sur Attessiaa pour revenir sur plusieurs questions en rapport avec son entrée dans le monde de la politique.
Fadhel Abdelkefi a assuré tout au long de l’interview qu’il n’est pas proche idéologiquement du mouvement Ennahdha bien que le parti l’ait proposé à deux reprises au poste de chef de gouvernement. Le nouveau président d’Afek Tounes a affirmé que plusieurs autres partis l’ont, également, proposé à ce poste estimant qu’il représente une personnalité consensuelle, capable de parvenir à des solutions à la crise économique du pays.
Il a insisté sur le fait qu’il n’est pas « l’enfant gâté de Rached Ghannouchi », soulignant qu’il ne l’a rencontré que cinq fois durant les dix dernières années. Par ailleurs, Fadhel Abdelkefi est revenu sur les allégations selon lesquelles il aurait « acheté » le parti Afek Tounes tenant compte de sa fortune. Dans ce contexte, il a assuré que ces propos sont complètement infondés soulignant qu’Afek Tounes n’est pas en faillite. Il a assuré que Yassine Brahim avait réglé tous les frais et que le parti n’a pas de problème financier.
Commentant la scène politique actuelle, Fadhel Abdelkefi a indiqué qu’il est proche des destouriens, des conservateurs et des centristes, précisant qu’il est plus proche du PDL et de Abir Moussi que d’Ennahdha et de Rached Ghannouchi.
« Abir Moussi, je l’ai rencontrée une seule fois au Parlement et la rencontre était plutôt froide. Politiquement, je suis plus proche d’elle, même si j’ai des réserves sur ses choix politiques notamment en ce qui concerne l’exclusion. Pour moi, seules les urnes ont le pouvoir d’exclure des partis politiques, tout comme la justice ».
Fadhel Abdelkefi est, également, revenu sur les informations selon lesquelles il aurait été en conflit avec l'ancien chef du gouvernement Youssef Chahed et que ce dernier serait derrière l’affaire le touchant du temps où il était ministre.
Il a assuré qu’il n’est pas au courant d’un « tel complot », assurant qu’il entretient de bonnes relations avec Youssef Chahed. Le président de Afek a maintenu que, selon lui, Nabil Karoui aurait fait un meilleur président de la République.
S.H


- Si Le PDL arriverait en tête des prochaines élections, seriez vous favorable à une coalition dirigée par le PDL ?
- Comment comptez vous résorber le déficit des caisses sociales et réduire la part des salaires dans le budget de l'état ?
- Est ce que vous croyez que l'économie de rente représente un problème en Tunisie ? si oui, quelles mesures pratiques recommanderiez vous pour la juguler ?
Bref, raw7ou orqdou, vous servez à RIEN pour l'instant.
C'est largement suffisant pour l'envoyer chi.r!
Faute d'un bon intervieweur, les questions étaient stupides comme le nom de l'émission :
" WAHCH ECHACHA" ou médiocrité sauvage, d'où le nom de votre article ( et ce n'est pas de votre faute B.N) c'est tout ce vous avez pu retenir.
Malgré la présence de deux invités de taille, s'efforçant d'orienter le débat vers l'essentiel le plus intéressant, en vain, le journaliste n'a pu faire élever le niveau.
Je m'attendais à plus d'éclaircissements sur le projet de AFFEK mené par Mr Abdelkafi et les grands axes de réforme pour proposer des solutions en mode pratique.
Il s'est contenté de se défendre de cette étiquette de libéral sauvage en restant vague sur les modalités d'application.
Pour répondre à votre article, être proche ou non du PDL, ne représente aucunement un projet, faire les yeux doux à un autre parti, offre d'alliance ? Alors que Abir Moussi a d'autres soucis, d'autres chats à fouetter.
Vaut mieux s'unir et laisser vos egos de coté et créer un centre progressiste fort, sinon c'est la débâcle..
Les jours à venir le prouvera. Surtout tiens BON à ce que tu déclare.
Il doit travailler un peu ça.
Sinon l'émission est restée superficielle a cause de Samir Eloufi et ses invitées car ils ne cherchaient que les provocations et tendaient des pièges a Abdelkefi. On n'a pas pu entendre Mr. Elkefi parler de sa vision, des reformes et ses idées pour l'économie de la Tunisie, a peine les trois dernières minutes da la première partie, c'est peu. Mr. Abdelkefi devrait chercher à faire un interview avec Borhene Bssaiss, Jawhar Ben Mbarek, des gens de niveau pour développer ses idées.
TOUT SIMPLEMENT PAR CE QU'IL N'EN A PAS
après l'imposture de traitre Nabil Karoui voici la nouvelle imposture de Fadhel Abdelkefi pour justifier une collaboration avec les islamistes freres musulmans salafistes d'Ennahdha+Al Karama
Croyez vous? Qui par les temps qui courent irait au casse pipe sans ambition personnelle ni appui? Lesquels?
S'il avait voulu, dés que son affaire de blanchiment était classée, il aurait pu proposer ses services, Pourquoi maintenant? Tout simplement pour affaiblir Abir qui n'est pas le choix des UK-US-EAU-AS car elle pourrait empêcher le pillage complet du pays
Quelqu'un qui décrit côtoyer ghanouchi même d'un millimètre n'a aucun principe et aucune idéologie.
L'approcher en quoi ?
En l'arnaque ou en idiotie.
C'est étrange comment quelques tunisiens sont devrnus bêtes et dupes en quelques temps, et qui ont fréquenté à se que l'on pense des gens avertis et connaisseurs en économie du moins.
Je pense quant à moi, qu'il restera toujours un Plan B. . . auquel on n'aura pas recours, même si en politique on ne dit jamais "jamais" !
En tout cas, face à El Ouafi qui lui demandait ce qu'il pensait de la question de l'héritage, il a botté en touche et a refusé de répondre s'il prévoyait, une fois au pouvoir, de légiférer dans le sens de l'égalité dans l'héritage, il s'est suffi de prétendre qu'il partagerait ses biens équitablement entre son fils et sa fille. . . sans toucher à la loi actuelle.
FAK ne me semble pas être quelqu'un de "blanc-bleu" ni de fiable.
L'énigme demeure en tout cas, de son entrée en politique en devenant "président" de parti "ex-nihilo", sans coup férir, sans être passé par la base, sans avoir milité ni cotisé ni manifesté un quelconque penchant pour "Afak".
Mais qu'a-t-il vraiment à voir avec ce parti. . . à part le fait d'en avoir (presque) les initiales, (A) FAK. . .?
Hasard ? Prédestination ? Coïncidence ? Concours de circonstances ?
Peut-être un miracle, why not ?
MPP.
Quant aux autres, ceux qui croient encore aux fées au Paradis et aux pièces sonnantes et trébuchantes dans les poches, ils finiront dans les conteneurs de l'histoire.