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Yassine Brahim démissionne de la présidence d’Afek Tounes
07/10/2019 | 20:11
1 min
Yassine Brahim démissionne de la présidence d’Afek Tounes

 

Le président de Afek Tounes a annoncé, ce soir du lundi 7 octobre 2019 sa démission de la présidence du parti, expliquant qu'il restera tout de même à la disposition des cadres afin de participer à concevoir la stratégie d'Afek dans les étapes à venir ».

 

La décision de Yassine Brahim a été prise suite à l'échec d’Afek Tounes dans les élections législatives notamment à cause des « choix politiques du parti ainsi que de la montée en force des courants populistes et radicaux » dans le cadre d'un système de gouvernance « défaillant », relève M. Brahim dans un communiqué.

 

Yassine Brahim a, ainsi, appelé les militants d’Afek Tounes à effectuer les révisions nécessaires au sein du parti en vue de concrétiser son projet politique.

 

B.L

 

07/10/2019 | 20:11
1 min
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Commentaires (25)

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Sami
| 08-10-2019 19:22
Et bien si yassine tu as parlé de claqué pour tt et ennahdha. Ton gifle été plus fort

Tronçonneuse
| 08-10-2019 18:09
Il débarrasse le plancher enfin

Manane
| 08-10-2019 16:36
Il l'a déjà fait auparavant

yasmina
| 08-10-2019 16:12
C'est dommage ou len est rendu : Les Tunisiens preferent les LPR et SDM et cie a un tel professionel, integre, et patriote.

fafa
| 08-10-2019 13:23
Le peuple tunisien aime les gens constructifs

Nazou de la chameliere
| 08-10-2019 12:45
A eu raison de soutenir Mr Zbidi.
Mr Zbidi a quand-même fait un meilleur score que YC .
Tout en ayant pas les moyens de l'état pour financer sa campagne.
Et tout en ayant commencé sa campagne tres tardivement.
Alors les pro tocards , allez vous coucher avec vos scores médiocres !!!

cesarios
| 08-10-2019 12:06
tu n'as pas voulu poser ta candidature aux présidentielles, ton choix de soutenir Mr zbidi l'a grillé, ta stratégique et ton obsession de ne participer qu' aux élections législatives pour avoir un bon score a échoué, tu as bien fait de démissionner, il ne te reste que de t'occuper de tes AFFAIRES, la politique a ses as et ses leaders qui savent confectionner des stratégies de victoire et qui possédent un certain charisme et un savoir de rassembler et de convaincre ses militants et non de les faire fuir et de les abondonner et les obliger à chercher ailleurs

realiste
| 08-10-2019 12:04
Un père avant sa mort a dit à son fils: «C'est une montre que ton grand-père m'a donné et elle a plus de 200 ans, mais avant de te la donner, va au magasin des montres de la première rue et dis-lui que je veux la vendre et vois combien il coûte ».
Il est allé puis revenu chez son père et dit: "l'horloger a payé 5'?' parce que c'est vieux".
Il lui dit: "va au café". Il est allé puis revenu et a dit: "Il a payé 5'?', son père lui dit "va au musée et montres leurs cette montre ".
Il est allé ensuite revenu, et a dit à son père" Ils m'ont offert un million d'euros pour cette pièce ".
Son père lui dit:" Je voulais te faire savoir que le bon endroit valorise , le fait de ne pas être au bon endroit te fait perdre ta vraie valeur.

Ne restez pas à un endroit où l'on ne vous valorise pas.

Imed
| 08-10-2019 10:50
C'est peut-être l'un des pires ministres qui sont passés au MDCI. Orgueilleux, peu respectueux des collègues, usage solitaire du pouvoir... Ila quand même du culot: même en démissionnant de la présidence d'Afek, il n'admet pas qu'il a une responsabilité INDIVIDUELLE dans la débâcle de son partI; La faute, c'est toujours la faute des autres. Il a rien compris, le pauvre...

Je reviens encore et toujours à sa présence dans le premier gouvernement de technocrates: les ministres qui avaient accepté à l'époque des portefeuilles s'étaient engagé à ne pas briguer de mandat par la suite. C'était la condition pour entrer au premier gouvernement de technocrates post-révolution. Il a accepté la condition, il est resté au gouvernement pour se faire de la publicité, se créer des réseaux et profiter des facilités de l'Etat, et il s'est bien entendu présenté aux élections par la suite.
Un comportement assez abject en somme, comme celui de la quasi-totalité de la classe politique...

Léon
| 08-10-2019 10:22
En voulant gouverner seul avant même de gagner, ne serait-ce qu'un seul siège, lorsque son parti n'existait presque pas, il avait écarté Emna Mnif qui drainait derrière elle tout un courant positif pour Afaq.
Emna a eu la délicatesse de ne pas lâcher le parti avant les élections de 2012 qui ont vu en Afaq la création du premier parti né après janvier 2011 et qui allait gagner quelques sièges à l'assemblée, et surtout, nommer l'essentiel des ministres dits "technocrates". Ce fut une réussite malgré tout.
Du temps de la "naïveté", alors que j'écrivais déjà mon manque de considération au peuple de la trahison collective sur les lignes de BN, j'avais travaillé dans ce parti, plutôt aux côtés de Emna Mnif, car je le considérai comme un parti de hauts diplômés reconnaissant et non aigris. Ce qui était une erreur, puisque je découvrais jour après jour le nombre de "révolutionnaires" sur lesquels je ne pouvais en aucun cas me projeter. Je ne suis pas de ceux qui ont l'opportunité tellement démesurée, qu'il en oublieraient leurs principes. J'aurais pu facilement me hisser à travers ce parti, mais mes principes anti-révolutionnaires auraient fait que je n'aurait pas pu me voir dans un miroir.
L'Histoire de mon pays et sa lutte pour son indépendance est pour moi un vecteur directeur que je ne trahirai jamais, contrairement au peuple de la trahison collective qui récolte en ces jours obscurs le fruit de sa trahison.
Le tremblement de terre créé par le départ de Emna allait sceller à long terme les destinées de Afaq. Nous avons contribué en moins de deux années à ce que ce parti existe et soit en expansion lente mais sure, mais le manque de délicatesse de son leader envers les personnes qui ont travaillé, le partage des portes-feuilles ministériels tels des butins de guerre de diplômés nombrilistes et prétentieux, m'a vite montré qu'il fallait que je quitte sans faire de bruit, après avoir contribué à ses premières réussites.
Je suis un Homme efficace et pragmatique, car enfant de Bourguiba; et je n'attaque une quelconque entreprise qu'en la réussissant à l'avance, et ce, contre vents et marrées, car je suis fortement inspiré de la réussite et la politique de Ben Ali.
Un parti que je croyais être, en ces temps-là, le digne héritier de ce qu'auraient voulu Bourguiba et Ben Ali. Il ne m'aura pas fallu très longtemps pour me rendre compte que c'était faux. Je le quittai en même temps que Mnif rien que pour constater l'efficacité de notre travail. Et j'en suis fier.
La première évidence qui me vint à l'esprit et dont j'avais pris fortement conscience en pratiquant ce peu de politique c'est que le pays était colonisé et que tous les partis post-merdolution travaillaient les intérêts de l'entreprise néo-coloniale, souvent au propre insu des partisans. Depuis, je me suis fortement documenté en géopolitique et en suis devenu quasiment un spécialiste. J'oeuvre aujourd'hui pour la réussite des authentiques, ceux que nous a laissé l'héritage fort de Ben Ali. On gagnera le pouvoir après la catastrophe annoncée des cinq années à venir. Le peuple est un peu lourd à la détente (intellectuels en tête); mais il est clair que dans moins de deux années, même les bases de Ennahdha feront l'éloge de Ben Ali.

Léon, Min Joundi Tounis Al Awfiya;
Résistant.

VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.