
Le président de l’Instance nationale de la lutte contre la corruption (Inlucc), Chawki Tabib, a réagi, mercredi 26 août 2020, la vague de soutien qui s’est déclenchée au lendemain de son limogeage par le Conseil ministériel réuni lundi.
“Merci à tous ceux qui soutiennent l’Instance nationale de lutte contre la corruption en cette période de crise qui ne fera que nous rendre plus fort… Nous ne vous décevrons pas. Nous aimons notre patrie et nous défendons les principes de notre militantisme afin de les consolider. Jamais nous ne les abandonnerons peu importe ce qu’il feront. La persévérance vient à bout de tout”, a-t-il écrit sur son profil Facebook.
La décision de limogeage de Chawki Tabib a été dénoncée par plusieurs organisations, la Ligue tunisienne des droits de l’homme (LTDH) et les présidents des instances nationales indépendantes entre autres.
les présidents des instances nationales indépendantes ont considéré cette décision illégale dans la mesure où le décret 120 de l’année 2011 ne permet pas de rompre le mandat non-renouvelable du président de l’Inlucc, qui dure six ans sans interruption.
La LTDH a, elle, estimé que le limogeage de Chawki Tabib était une réaction vengeresse au rapport de l’Inlucc confirmant les soupçons de conflit d'intérêts et de corruption qui pèsent contre le chef du gouvernement démissionnaire Elyes Fakhfakh.
Elle a, également, appelé le président de la République, Kaïs Saïed - garant du respect de la Constitution - à suspendre cette décision.
Il convient de rappeler que la décision de limogeage du président de l’Inlucc a été publiée dans le Journal officiel en temps record, soit 24 heures après son annonce.
N.J.

Et surtout que le peuple tunisien n'a pas le droit de prononcer le mot dictature et ce parce qu'il s'agit d'une révolution et dont personne n'a pas compris à ce jour ce que veut dire pour nahdha révolution en Tunisie ; tant au dictionnaire que dans les encyclopédies on ne trouve rien qui correspond à la définition créée par nahdha.
Qu'a t-il fait concrétement en 5 ans? Des salaires et avantages à gogo sinon on a eu comme pour ne pas sevfaire oublier à des déclarations genre'?'il y a un député qui porrait etre impliqué dans une affaire de corruption'?'. La vache !
De toute les façons, l'histoire notera ceci et notera qui a laisser ce bordel avoir lieu et puis, pour 2 x Fackh, nous avons déja testé ses compétences en tant que ministre des finances à l'époque de la trioka et puis, on se rappelle très bien aussi le père qui a payer 800 KDT pour que son fils soit nommé ministre.
Shame.
La corruption embrasse tous les domaines de la vie sociale, économique et judiciaire... au point que la Tunisie se classe parmi les champions en la matière. Ce n'est pas, ou plus, une question de personne, mais un état d'esprit général. L'honnêteté commande d'admettre ce constat, pour regrettable qu'il fût.
Le reste est quasiment de l'ordre de l'anecdote. Cet homme, congédié de ce poste en trouvera un autre. Le mal continuera de ronger les organes vitaux de la société, voilà qui est autrement plus considérable.
Elyes Fakhfakh s'avère le plus débile de tous les politiciens de la Tunisie. Maintenant, toute la Tunisie n'attend que sa propre vengeance, de cet amateur enfantin Elyes Fakhfakh, qui a trahi la confiance du président Kaïs Saïed.
Une histoire que je raconte souvent :l'enfant rural accourt prévenir son père, que le chien ne cesse de manger les figues de barbarie de leur "Tabia Hendi". Le père lui répond que le chien va le regretter lorsqu'il va essayer de se décharger le ventre, car la consommation des figues de barbarie "Hendi", provoque une forte constipation à faire hurler de douleur. "aând khérah, tesmaâ aâwèh".
Alors pourquoi pleurnicher sur son départ?
Ce Tabib a dramatisé la connerie de Fakhfakh, connerie qui ne justifie pas le limogeage du seul Chef de Gouvernement, qui a réussi jusqu'à maintenant.
Je ne pleurerais pas votre départ Monsieur Tabib, mais, vu votre bilan, je dirais 'bon débarras », vous avez trahi les tunisiens.
En fait, avec les technologies nouvelles, le marbre est facilement traité dès nos jours sans avoir besoin de passer trop de temps .
En conclusion, en ce qui nous concerne , c'est l'avenir de cette structure et non de Tebib , et ses activités qui devraient être importantes et volumineuses.
Un nombre très faible de dossiers traités par an par Tebib ne sont pas suffisants pour un décollage rapide de notre économie et n'ont pas d'influence sur son évolution malgré des budgets importants.
un president de lutte contre la corruption ami de tout le monde hhhhh