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Chafik Sarsar : Les élections municipales pourraient avoir lieu en 2018
15/09/2016 | 15:38
1 min
Chafik Sarsar : Les élections municipales pourraient avoir lieu en 2018

 

Le président de l’Instance supérieure indépendante pour les élections (ISIE), Chafik Sarsar a déclaré ce jeudi 15 septembre 2016 que le retard pris par l’ARP dans le vote du projet de loi relatif aux élections et aux référendums entrainera un ajournement des élections municipales, prévues le 26 mars 2017, à l’année 2018.

 

C’est en marge de la célébration de la journée internationale de la démocratie fêtée dans la banlieue nord de Tunis que le président de l’ISIE a indiqué que le vote de ce projet de loi avant la fin de ce mois de septembre 2016 permettrait d’établir le futur calendrier pour les élections municipales.Il a également ajouté que l’ISIE s’efforçait de faire que la tenue de ces élections ne dépasse pas l’année 2017 car, si tel était le cas,cela entrainerait l’impossibilité de l’entrée en vigueur du chapitre VII de la Constitution tunisienne sur le pouvoir local.

 

Ce retard pris dans le vote de la loi électorale pourrait, selon Chafik Sarsar, réduire le pourcentage de participation des citoyens à ces élections, soulignant par la même la nécessité d’accélérer le processus de vote de ce projet de loi électorale.

Rappelons que le bureau de l’ARP a prévu une séance destinée à discuter de l’approbation de cette loi lundi 19 septembre 2016.

 

K.H

 

15/09/2016 | 15:38
1 min
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Commentaires (35)

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Benje
| 17-09-2016 08:51
Votre analyse sur le comportement tunisien du gaspillageur et de mauvais gestionnaire de son budget est juste et expliqué mon point de vu de mauvais payeur de ´'' essentiel et de priorité de ses dépenses ! C'est aussi une culture et une éducation manquante "les finances" chez nos compatriotes car rare sont ceux qui ont un livre de compte, un talon de chéquier et le pire la notion de l'épargne est quasi-inexistante ! En France des la naissance on ouvre un livret A pour le bébé ...
Pour moi élire un conseil municipal sans définir au préalable ses prérogatives (champs d'action) sans intervention de l'état central et un budget provenant essentiellement des taxes locales c'est mettre la charrue avant les b'ufs (acheter les tapis avant de construire la mosquée) . On voit bien que les conseils actuels fonctionnent mal et sont inefficaces car il règne un flou sur leurs missions et la provenance de leurs budget aléatoire sans oublier l'intervention du gouverneur sur leurs mission !
Enfin je dirais que sans une réforme fiscale qui dira la vérité au citoyen qu'il doit payer ses impot dans les délais si il veut des services locaux comme par le plus urgents la propreté des villes ...
Mais ça aucun parti ne le fera cette incitation de passer à la caisse car il risque la colère de ces sympathisants et perdre ses électeurs potentiels ...

Forza
| 16-09-2016 22:17
J'ai beaucoup de respect pour Mr. Sarsar mais je ne comprends pas pourquoi l'organisation des élections chez nous a toujours besoin de 12 à 18 mois comme si on veut envoyer une sonde sur Mars.

basta
| 16-09-2016 20:38
Ce type a un boulot bien payant avec voiture(s) et d'autres extras..., et sans controles.
Pourquoi s'attendre a ce qu'il se depeche: ce n'est pas dans son interet.

safsaf123
| 16-09-2016 19:40
Dans Essebstan il y aura jamais d'élection. Essebsi qui pour rappel déclarait en 2013 que le gouvernement de l'époque n'a plus de légitimité parce que soit disant il a dépassé les 12 mois convenus oralement par les partis pour rédiger la constitution oublie aussi que son gouvernement que ça fait plus de 18 mois avait des missions aussi comme l'organisation des élections municipales et le conseil constitutionnel. Et bein il y a rien sauf la désignation d'un proche comme chef de gouvernement.
On est ainsi passé de la république bannanière à essebstan et peut être un jour le royaume de essebsistan

Dr Youssef
| 16-09-2016 18:03
L'amélioration de l'état piteux de nos villes est illusoire en l'absence de conseils municipaux élus, qui exercent leurs prérogatives dans la sérénité et en toute indépendance vis à vis du pouvoir central.Ce dernier ne doit plus instrumentaliser les administrations municipales pour des intérêts étroits d'ordre politique ou autres,et ne doit plus s'immiscer dans l'affaire des taxes municipales comme au temps de ZABA. En effet,le tunisien a acquis la culture de l'individualisme et a perdu le sens de la participation pour l'intérêt commun,à cause de l'indulgence criminelle du régime central au dépends des municipalités.Il n'est pas mauvais payeur parce qu'il n'a pas d'argent.75% des citoyens ne payent pas leurs impôts locaux de façon spontanée, et dans les 25% restants il y a beaucoup qui ne payent que par obligation(à l'occasion de certaines prestations municipales).On ne peut pas dire alors que les trois quart des tunisiens sont pauvres à tel point qu'ils ne peuvent plus s'acquitter de leur devoir envers la municipalité.Le tunisien dépense beaucoup plus quant il s'agit de faire la fête,ou dans les constructions immobilières(souvent anarchiques),ou pour le mouton de l'Aid (par fanatisme pseudo-religieux) ...sans compter l'argent qui part en fumée dans les cigarettes durant toute l'année.Donc l'instauration de la loi concernant les collectivités locales,qui consacre l'indépendance de ces dernières dans la gestions des affaires locales,est urgente et impérative.Ensuite ,les élections doivent avoir lieu dans les plus brefs délais.C'est la seule issue possible pour traiter de façon adéquate les innombrables problèmes qui sévissent dans les différentes villes.

Mansour Lahyani
| 16-09-2016 16:38
J'ai eu beau chercher, je n'ai pas trouvé trace de la moindre insinuation désagréable, dans mon post... à moins que mon invocation au salut de la Tunisie n'ait eu pour vous des accents désagréables ! Pourtant, c'est bien ainsi qu'il faut voir les choses : si es élections locales vous semblent superflues, voire même détestables, il ne reste plus qu'à s'en remettre au bon dieu ! La démocratie ne sera acquise en Tunisie, comme vous dites, que lorsque le petit peuple sera en mesure de faire entendre sa voix tout comme le gros nabab, et ce n'est pas en contribuant à porter au Bardo des gens qu'il ne connaît pas et qui se fichent de ses problèmes quotidiens, mais en accordant sa confiance et le pouvoir au membre de la junte communale, qui lui débrouillera ses problèmes quotidiens ! Les pontes de l'ARP, plus ou moins gros et plus ou moins influents pour discuter des lois, sont bien trop éloignés de ces problèmes locaux, qui ne leur vaudraient aucune gloire nationale, du reste... Dès lors, pourquoi ces conseils municipaux devraient-ils être laissés sans budget, ni moyens d'action ? Ce serait purement et simplement du défaitisme et, croyez-le bien, je n'ai aucune intention de polémiquer!!!

Kant
| 16-09-2016 15:29
Absolument ..je persiste et signe ce qui interesse ces juristes a la c.. c'est le salaire d'un ministre une voiture +chauffeur etc. tous pareil ce sarsar cette ben sadrine ce tabib ..tous kif kif ils disparaissent des que le boulot accompli et nous laissent dans la merda !!!ils veulent dépouiller l'etat ou ce qu'il en reste c'est comme les anciens prisonniers d'ennahdha liberté+compensation et on oublie leurs crimes,,, les juristes surtout les soi-disant constitutionnalistes sont des chômeurs potentiels qui ont trouvé cette manne ils ne la lacheront plus mais Allah veille car ils l'ont oublié en effet ils veulent retarder le carnaval de ce sarsar pour faire durer le plaisir des avantages liés au boulot qu'ils se sont créés alors que l'ONU a proposé de nous offrir des plates forme pretes pour les élections avec les meilleurs spécialistes dans le domaine avec en plus une constitution a la mesure de notre QI.

kaabour
| 16-09-2016 15:06
il est temps d envoyer ce sarsar a la retraite . on veut quel qu un qui bouge tous les problèmes a résoudre dans nos ville et soulager les tunisiens
pour rendre meilleur leurs quotidiens.

Benje
| 16-09-2016 13:18
Sans polémiquer avec vous meme si vos insinuations désagréables dans votre commentaire n'apporte pas grand chose !
Ma question ne met pas en cause la nécessité des élections municipales mais c'est une interrogation sur les attributs , le champs d'action et les moyens financiers pour réaliser son programme d'élection !
La démocratie est acquise en tunisie meme progressivement et ce n'est plus la pêne de l'évoquer d'autant plus plus que ces conseils n'ont pas de rôles politiques mais simplement la gestion des affaires de la commune essentiellement technique (route, ordures, écoles primaires ...) même je vous l'accorde ces élus doivent voter les choix de passer une route par la et non par ici ...
Enfin ces conseils sans budget collecte auprès des citoyens e entreprise (taxe d'habitation, et taxe foncière ) selon le niveau de vie ne servira pas à grand chose car le tunisien est un mauvais payeur voir pas du tout alors quoi faire c'est le sens de ma question

Ben
| 16-09-2016 13:03
Monsieur SARSSAR, vous coutez, tout autant que les autres membres du staff mis à votre disposition, la peau des fesses aux tunisiens, en termes de rémunérations et autres avantages en nature, et ce à vous tourner les pouces ou à observer des élections secondaires telle que celle du conseil supérieur de la magistrature comme si les magistrats n'étaient pas capable de se réunir dans une salle pour le faire entre eux.
Et vous osez parler de l'ancien régime et de la qualifier de Dawlet El Fassad alors que si Fassad il y a c'est après la révolte des gueux qu'il a pris droit de cité dans notre pays.
Cette instance et le budget à elle alloué pourrait, monsieur, résoudre les problèmes matériels de toute une région, et sachez qu'un jour ou l'autre vous rendrez des comptes, au pénal, de salaires perçus à ne rien faire.