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Boughdiri : le ministère a fait preuve de retenue mais les syndicalistes continuent à rebuter les élèves
Le ministre de l’Éducation, Mohamed Ali Boughdiri, est revenu, vendredi 7 juillet 2023, sur le litige entre son département et les syndicats de l’enseignement de base.
S'exprimait lors d'une intervention téléphonique sur Diwan Fm, il a qualifié la situation de difficile et a ajouté que son ministère avait fait preuve de retenue mais les syndicalistes ont, tout de même, continué à rebuter les élèves.
Estimant que le blocage des notes n’est pas légal et ne pourrait être considéré comme une forme de militantisme, il a assuré, au micro de Myriam Belkadhi, que le ministère avait répondu à 90% des revendications du secteur y compris celles que les enseignants scandent depuis des années.
Il a avancé qu’il considérait les revendications du secteur tout à fait légitimes mais certaines irréalisables compte tenu de la situation des finances publiques. Il a ajouté que les 150 directeurs d’établissements scolaires révoqués seraient déférés devant le conseil de discipline.
Le ministre a rappelé que le seul point de litige était la prime sur l’effort pédagogique soulignant que les revendications des enseignants et l’amélioration de leurs conditions sont une priorité pour le président de la République, Kaïs Saïed.
N.J
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Commentaires
SALIM
L'AXE OU LE TRIO DU MAL.LE SECRETAIRE GENERAL ET LES 2 SECRETAIRES ADJOINTS.
a posté le 07-07-2023 à 18:35
QUE la justice fasse sont travail.Ils ne different pas des responsables des SYNDICATS SECURITAIRES. NI du chef du syndicat TUNISIE AUTOROUTE qui a ménacé d'ABAISSER LES BARRIERES.Ni du chef du syndicat de la JUSTICE un certain HATTAB. Ce TRIO est entrain d'exécuter UNE AGENDA HOSTILE A L'ETAT ET AU 25 JUILLET.CE trio N'EST PAS NEUTRE POLITIQUEMENT.Et arretez de nous dire 'CENSURE DES NOTES' (HAJB EL AADED avec 404). Non il s'agit de NON REMISE DES NOTES A L'EMPLOYEUR.Et c'est UNE FAUTE ROFESSIONNELLE GRAVE d'aprés le CODE DE TRAVAIL qui conduit AU LICENSEMENT SANS INDEMNITE.En plus je n'ai pas compris pourquoi ce TRIO est TRES POLI envers le gouvernement et le ministre.Vraiement en écoutant leurs declarations , et leurs MENACES, c'est désastreux .Ils utilisent des termes INADMISSIBLES (batailles!!! IHTIRAB, tasiid, entrée scolaire TRES CHAUDE (probablement c'est eux à l'origine de cette CANICULE), CARTE DES
PROTESTATIONS, SE SACRIFIER !!! et espérons qu'ils ne proclament pas le JIHAD!!!).Pourquoi ce comportement qui est à l'opposé des SYNDICALISTES DU SECONDAIRE.QUI EST DERRIERE SES AGISSEMENTS .Ce trio represente t il la base des instituteurs?. SUREMENT NON.Comme avec les chefs des syndicats sécuritaires.IL FAUT AGIR TRES FORT ET TRES VITE. ET POURQUOI PAS UN CONSEIL DE SECURITE NATIONALE .
PROTESTATIONS, SE SACRIFIER !!! et espérons qu'ils ne proclament pas le JIHAD!!!).Pourquoi ce comportement qui est à l'opposé des SYNDICALISTES DU SECONDAIRE.QUI EST DERRIERE SES AGISSEMENTS .Ce trio represente t il la base des instituteurs?. SUREMENT NON.Comme avec les chefs des syndicats sécuritaires.IL FAUT AGIR TRES FORT ET TRES VITE. ET POURQUOI PAS UN CONSEIL DE SECURITE NATIONALE .
The Mirror
La solution finale
a posté le 07-07-2023 à 14:14
La rétention des notes a été inventée par le Syndicat de l'Enseignement supérieur à l'époque de Ben Ali. Dans ce cadre, Ben Ali est allé droit au but en privant de leur salaire les enseignants qui avaient refusé de remettre les notes. Pour percevoir leur salaire, ces enseignants ont dû faire intervenir Leila Ben Ali auprès de son mari. Depuis, les mecs de l'Enseignement supérieur ont compris que jouer avec les notes, cela ne passe pas.
Pour terminer, je dirais ceci:
- le langage employé par le ministre dans l'affaire des notes est lamentable. Dans tous ses discours, le ministère supplie les enseignants à remettre les notes. Cela est indigne d'un membre du Gouvernement tunisien, cela n'a fait que glorifier les bandits du syndicat.
Pourtant, le ministre aurait dû dès le début, appliquer la loi en révoquant les directeurs qui ont failli à leur devoir et en retenant les salaires des enseignants qui ont refusé d'accomplir leur travail.
Un ministre ne doit pas se mettre à genoux, un ministre ne doit, ni supplier ni menacer, UN MINISTRE DOIT AGIR.
Pour terminer, je dirais ceci:
- le langage employé par le ministre dans l'affaire des notes est lamentable. Dans tous ses discours, le ministère supplie les enseignants à remettre les notes. Cela est indigne d'un membre du Gouvernement tunisien, cela n'a fait que glorifier les bandits du syndicat.
Pourtant, le ministre aurait dû dès le début, appliquer la loi en révoquant les directeurs qui ont failli à leur devoir et en retenant les salaires des enseignants qui ont refusé d'accomplir leur travail.
Un ministre ne doit pas se mettre à genoux, un ministre ne doit, ni supplier ni menacer, UN MINISTRE DOIT AGIR.
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