
Le président de l'Assemblée des représentants du peuple (ARP), Brahim Bouderbala, a souligné lors de sa supervision d'une réunion du bureau de l'Assemblée, jeudi 15 juin 2023, que les journalistes sont les bienvenus pour travailler à l'assemblée, mais dans leurs propres espaces, ajoutant qu'ils peuvent communiquer avec les députés et dialoguer avec eux "en toute liberté".
Au sujet de l'accès des journalistes aux travaux des commissions comme c'était le cas lors des anciennes assemblées, le président de l'ARP a confirmé que l'accès leur est interdit. Il a affirmé que toutes les commissions publient des communiqués de presse à la fin de leurs réunions, qui sont immédiatement publiés sur le site web du Parlement et sur sa page officielle sur les réseaux sociaux, permettant ainsi aux journalistes d'y accéder directement.
On rappellera que l’ARP avait décidé d’exclure l’ensemble des médias privés de la couverture des travaux du Parlement. Seuls les médias publics et la chaîne YouTube du parlement sont autorisés à suivre les travaux.
Suite à la polémique soulevée par cette interdiction, le président de l’assemblée des représentants du peuple, Brahim Bouderbala, a décidé de permettre aux journalistes des médias publics et privés et aux correspondants de la presse étrangère accrédités en Tunisie de couvrir les travaux des plénières.
Brahim Bouderbala a expliqué, dans une déclaration relayée par la Tap, que les journalistes sont tenus de présenter une carte professionnelle de l’année 2023 et une carte d'accréditation pour la même année pour la presse étrangère, soulignant qu’il n’est pas question de reculer en termes de liberté de la presse et que l’objectif est de tenir les citoyens informés du travail du parlement. Il convient de noter que près de 80 députés ont voté en faveur de la modification de l'ordre du jour pour examiner une motion autorisant les médias public, privés et étrangers à couvrir les travaux de l'ARP.
S.H
Il est grand temps de rendre la monnaie de sa pièce.
Trump ne se gêna pas.
La seule chose qui m'intéresse, c'est que, dans l'ordre, tous les chléyék et tous les g3arr, tous les r'khass, tous les traitres, tous les vendus, tous les opportunistes et tous les parvenus, en prennent plein les dents à n'en plus finir.
Vous avez dit "haineux". C'est un euphémisme !!!
Sinon, chapeau.
Bravo pour votre perspicacité et votre esprit de synthèse hors du commun..
Des gens comme vous, on n'en fait plus.
Vous m'avez démasqué. J'en tremble depuis.
Je vais, de ce pas, changer de visage, de pseudonyme et peut-être même de planète !!!!
Nous avons appris, il y a quelques mois, que Macron était "un bon Président", voilà Kais Saied révolutionnaire et le cycle des transmutations n'est pas achevé, des surprises nous attendent.
Merci pour cet usage immodéré du néologisme, vous nous êtes précieux.
Celui qui nous contredit court le risque de se voir disqualifier. Les procédés ne sont pas nombreux, le plus commode et radical à cet effet est de prostituer jusqu'aux mots.
Révolutionnaire est un concept de l'action politique.
Les révolutionnaires en chambre en sont la
race la plus répandue.
Votre sortie, cher ami, ne rend pas service à la langue, appliquée au Président, elle est non seulement injustifiée, mais figure presque une insulte.
Insulte à la langue, veux-je dire.
Cordialement.
Bonne journée.