
L’avocate et militante des droits de l’homme, Bochra Belhadj Hamida, a été l’invitée de Boubaker Ben Akacha dans Midi Show du 29 septembre 2020. Elle est, entre autres, revenue sur l’affaire du meurtre de la jeune Rahma et les appels à la réactivation de la peine de mort qui s’en ont suivi ainsi que la campagne de dénigrement lancée à son encontre par des sympathisants du Parti destourien libre (PDL) sur fond d’allégations diffamatoires qui lui ont été attribuées par les mêmes parties.
Selon ses détracteurs, l’avocate aurait qualifié Abir Moussi de «fasciste » et de « dictateur » et ce pour avoir exprimé sa position en faveur de la peine de mort. Or, l'ancienne députée Bochra Belhadj Hmida n'a jamais fait de telles déclarations.
Elle a également été attaquée sur les réseaux sociaux à cause de sa position en faveur de l’abolition de la peine de mort.
La peine capitale est, notons-le, toujours en vigueur en Tunisie. Son application a, cependant, été suspendue depuis 1991 après la signature d'un moratoire.
“J’ai déposé une plainte auprès du ministère de l’Intérieur contre une personne proche du PDL pour m’avoir attribué des allégations mensongères”, a-t-elle indiqué faisant référence à un statut Facebook diffusé sur des pages du PDL et dans lequel le concerné a prétendu que Bochra Belhadj Hamida avait accusé Abir Moussi d’être “une fasciste car elle souhaite appliquer la peine de mort aux terroristes et aux violeurs”.
“Je me sens menacée”, a-t-elle signalé, notant que les informations dont elle disposait sur l’identité de cette personne n’étaient pas encore confirmées. “Il s’agirait d’un agent de sécurité, lui-même époux de Abir Moussi (présidente du PDL)”.
Elle a ajouté qu’une autre plainte avait été également déposée contre le député de “la Voix des Agriculteurs", Fayçal Tebbini.
A l’éclatement de la polémique suscitée après le viol et l’assassinat d’une jeune fille à Aïn Zaghouan, Fayçal Tebbini, a écrit le statut suivant sur les réseaux sociaux : "Alors que les gens sont effondrés, elle dit non à la peine de mort. Parce qu’elle n’est pas agricultrice et qu’elle ne risque pas d’être volée, Bochra Belhaj Hamida a indiqué, dans le cadre de la loi de protection des agriculteurs, que celui qui vole un agriculteur doit travailler pour lui. Aujourd’hui, elle refuse la peine de mort dans le cadre des crimes de viol parce qu’elle est certaine qu’elle ne risque pas d’être violée. Personne ne la regarde déjà comme une femme pour avoir envie de la violer".
L’avocate s’est, également, adressée au président de la République en réaction à son discours prononcé, lundi 28 septembre 2020 marge de la réunion du conseil de sécurité, et dans lequel il s’est dit en faveur de la peine de mort.
“Vous ne faites que nous donner des leçons à longueur de journée (...) Assez de discours ! La responsabilité de la mort de Rahma vous incombe et incombe à vos semblables!”, a-t-elle martelé.
Bochra Belhadj Hmida s’est, par ailleurs, interrogée sur l’activation de la loi contre les violences faites aux femmes dont une majeure partie se focalise sur la prévention.
Interpellée sur la réactivation du débat autour de la peine de mort, l’avocate a avancé, non sans désarroi, que les propos de certains politiciens étaient une traduction de l’échec d’un long parcours de militantisme.
N.J.

IRTEH YA BOUCHRA ,C'EST LE BON DIEU QUI FERA SON AFFAIRE .
RABBI YARHMEK BIL AKAL .
Et pour terminer, clairement on en a rien a foutre de ses opinions, elle pèse rien, meme pas deux grammes sur la scène politique, c'est surement une transfuge qui vire de bord au patriotisme une fois de temps a autre pour brouiller les pistes, faudrait si un jour on installe un état enquêter sur les actions de cette femme et ce qu'elle fou en scène politique réellement.
Ensuite c'est un OVNI, clairement on comprend pas son identité réelle et sa mission réelle en politique, elle fou quoi ici enfait ? c'est qui en fin de compte cette femme ?
Et pour terminer, clairement on en a rien a foutre de ses opinions, elle pèse rien, meme pas deux grammes sur la scène politique, c'est surement une transfuge qui vire de bord au patriotisme une fois de temps a autre pour brouiller les pistes, faudrait si un jour on installe un état enquêter sur les actions de cette femme et ce qu'elle fou en scène politique réellement.

