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Benetton quitte la Tunisie : un départ silencieux qui en dit long sur le climat des affaires
17/01/2025 | 11:00
7 min
Benetton quitte la Tunisie : un départ silencieux qui en dit long sur le climat des affaires
Service IA, Business News

 

Le groupe italien Benetton annonce son départ menaçant d’un coup 3500 emplois directs et le double en emplois indirects. Malgré la gravité de la situation, malgré les grèves des employés et la panique des populations où se trouvent les usines de la marque italienne, le gouvernement brille par son silence. Pire, il continue à menacer les emplois et à envenimer le climat des affaires en parlant de réforme du code du travail et de la fin des CDD et de la sous-traitance.

 

La décision du groupe italien Benetton de fermer ses usines en Tunisie, annoncée fin décembre, a fait l’effet d’un coup de tonnerre dans un ciel déjà chargé de nuages pour l’économie tunisienne. Pourtant, cette nouvelle, qui menace directement 3500 emplois et des milliers d’autres indirects, n’a pas suscité la réaction immédiate et énergique que l’on pourrait attendre d’un gouvernement confronté à une crise sociale et économique majeure. Alors que dans d’autres pays, les autorités se mobilisent à la vitesse de l’éclair pour retenir les investisseurs, en Tunisie, le silence du ministère de l’Industrie et du gouvernement est assourdissant.

 

Les devoirs des gouvernements

Dans la plupart des pays industrialisés, l’annonce du départ d’un groupe comme Benetton aurait immédiatement déclenché une cascade de réunions d’urgence, de propositions d’incitations fiscales et de plans de sauvetage. En France, par exemple, l’État s’était mobilisé en 2008 pour tenter de retenir le groupe ArcelorMittal, allant jusqu’à impliquer des alliés européens pour faire pression sur le géant indien. Nicolas Sarkozy, alors président de la République, était personnellement intervenu pour négocier avec Lakshmi Mittal, le PDG du groupe, afin de limiter les fermetures de sites et les suppressions d’emplois. Bien que l’aciérie de Gandrange ait finalement réduit ses activités, l’État français avait démontré une réactivité et une détermination sans faille pour protéger les emplois et l’économie locale.

Un autre exemple frappant est celui de l’usine Alstom de Belfort, en France. En 2016, face à la menace de fermeture du site historique, le gouvernement français avait déployé des efforts considérables pour convaincre Alstom de maintenir ses activités. Des discussions intensives avaient abouti à un accord incluant des commandes publiques supplémentaires pour les trains TGV, permettant de sauver des centaines d’emplois. Cette mobilisation avait montré que, face à une crise industrielle, l’État pouvait jouer un rôle clé en tant que médiateur et soutien financier.

En Allemagne, un cas similaire s’est produit avec le constructeur automobile Opel. En 2017, lorsque General Motors (GM) a annoncé son intention de vendre Opel, le gouvernement allemand et les syndicats se sont rapidement mobilisés pour garantir que les emplois et les sites de production soient préservés. Des négociations complexes ont abouti à la vente d’Opel au groupe PSA (Peugeot-Citroën), avec des garanties fortes sur le maintien des emplois en Allemagne. L’État allemand a également offert des incitations fiscales et des subventions pour faciliter la transition.

 

Une absence de réaction gouvernementale qui interroge

En Tunisie, rien de tel. Benetton, présent dans le pays depuis 2004, a pourtant été un acteur clé du secteur textile, employant des milliers de personnes dans des régions marginalisées comme Kasserine et Gafsa, où les opportunités d’emploi sont rares. La fermeture des usines de ces deux villes, ainsi que l’arrêt des activités de l’usine de Sahline à Monastir, plongeront des milliers de familles dans une précarité encore plus grande. Pourtant, à ce jour, aucune communication officielle du ministère de l’Industrie ou du gouvernement n’a été faite pour expliquer les mesures envisagées pour retenir Benetton ou atténuer l’impact de ce départ.

Cette inaction contraste fortement avec les déclarations du président de la République, qui veut réformer le code du travail visant à mettre fin aux contrats à durée déterminée (CDD) et à la sous-traitance. Il en a parlé à plusieurs reprises, jusqu’à hier jeudi 16 janvier 2025, assimilant la sous-traitance et les CDD à de l’esclavage.

Si ces mesures peuvent sembler louables sur le papier, elles risquent d’effrayer davantage les investisseurs étrangers, déjà confrontés à un climat des affaires difficile. Au lieu de rassurer les entreprises et de les encourager à investir, Kaïs Saïed semble envoyer des signaux contradictoires, voire contre-productifs.

 

Un impact économique et social dévastateur

La fermeture des usines Benetton ne se résume pas à la perte de 3500 emplois directs. Les emplois indirects, estimés au double, voire plus, sont également menacés. Dans des régions comme Kasserine et Gafsa, où Benetton était l’un des rares employeurs importants, l’impact économique sera dévastateur. Des commerces locaux, des restaurants, des cafés et même des propriétaires qui louaient des logements aux employés de Benetton verront leurs revenus s’effondrer.

Certains habitants, comme nous avons pu le constater à Kasserine et il y en a certainement ailleurs, avaient même construit des maisons spécifiquement pour loger les hauts cadres du groupe, une source de revenus qui disparaîtra avec le départ de l’entreprise. Ces régions, déjà en proie à un chômage élevé (le plus élevé du pays) et à un manque criant d’opportunités économiques, risquent de sombrer encore plus profondément dans la précarité.

 

Un signal négatif pour les investisseurs étrangers

Le départ de Benetton envoie un message alarmant aux autres investisseurs étrangers présents en Tunisie. Si un groupe de cette envergure, implanté depuis près de vingt ans, décide de fermer ses portes, c’est que le climat des affaires n’est plus attractif. Les raisons invoquées par Benetton – augmentation des taxes, coûts de production élevés, lourdeurs administratives – sont autant de signaux d’alarme que les autorités tunisiennes ne peuvent se permettre d’ignorer.

Pourtant, au lieu de prendre des mesures concrètes pour améliorer le climat d’investissement, le gouvernement semble se contenter de promesses et de slogans. Les négociations en cours avec Benetton pour tenter de sauver l’usine de Sahline, qui emploie 500 personnes, restent floues et sans garantie de succès. Cette absence de réaction rapide et déterminée risque de décourager d’autres entreprises étrangères, qui pourraient envisager de suivre l’exemple de Benetton.

 

Une occasion manquée pour la Tunisie

Le départ de Benetton est un coup dur pour l’économie tunisienne, mais c’est aussi une occasion manquée pour le gouvernement de démontrer sa capacité à réagir face à une crise. Alors que le monde entier se bat pour attirer les investissements étrangers, la Tunisie semble faire le contraire, en multipliant les obstacles et en envoyant des signaux contradictoires aux entreprises.

La réforme du code du travail, bien que nécessaire, doit être menée avec prudence pour ne pas effrayer les investisseurs. Parallèlement, le gouvernement doit mettre en place des mesures concrètes pour améliorer le climat des affaires, simplifier les procédures administratives et réduire la pression fiscale. Sans cela, la Tunisie risque de voir d’autres entreprises suivre l’exemple de Benetton, plongeant le pays dans une crise économique et sociale encore plus profonde.

 

Le rôle des syndicats et des travailleurs

Face à l’inaction du gouvernement, les syndicats et les travailleurs de Benetton ont pris les devants. Les employés de l’usine de Sahline ont entamé une grève pour défendre leurs droits et réclamer des garanties face à la fermeture annoncée. Cette mobilisation, bien que légitime, met en lumière le manque de soutien institutionnel dont bénéficient les travailleurs tunisiens.

Dans d’autres pays, les syndicats travaillent main dans la main avec les gouvernements pour négocier des solutions viables avec les entreprises. En Tunisie, les syndicats se retrouvent souvent seuls face à des décisions unilatérales, sans le soutien nécessaire pour peser dans les négociations. Cette situation accentue le sentiment d’abandon des travailleurs et des régions touchées.

 

Une vision à long terme nécessaire

Pour éviter que d’autres entreprises ne suivent le chemin de Benetton, la Tunisie doit adopter une vision à long terme pour son économie. Cela passe par une réforme en profondeur du système fiscal, une simplification des procédures administratives et une meilleure coordination entre les différents ministères concernés.

Le gouvernement doit également travailler à renforcer la confiance des investisseurs étrangers, en mettant en place des incitations claires et en garantissant une stabilité politique et économique. Sans ces mesures, la Tunisie risque de perdre non seulement Benetton, mais aussi d’autres entreprises essentielles à son développement économique.

En attendant, les 3 500 employés de Benetton, ainsi que les milliers d’autres dont les emplois dépendent indirectement du groupe, attendent des réponses. Mais pour l’instant, le silence des autorités tunisiennes est plus éloquent que toutes les déclarations. Le départ de Benetton est un signal d’alarme que la Tunisie ne peut se permettre d’ignorer. Il est temps pour le gouvernement de prendre des mesures concrètes pour retenir les investisseurs, protéger les emplois et relancer l’économie. Sinon, ce départ pourrait n’être que le premier d’une longue série.

 

Maya Bouallégui

17/01/2025 | 11:00
7 min
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Commentaires
Juan
@ Lucky ..... qui a pris des hallucinogènes semble-t-il .....
a posté le 22-01-2025 à 17:39
la shoahhhh est une fabrication sioniste, qui vise à se passer pour victimes pour spolier le contribuable allemand de miliards versés chaque année à sra-HELL, massacrer les palestinos et voler leurs terres , tuer la libre expression avec la aloi Gayssot en france etc ... ils vont mème réclamrer indemnisation à TN, à cause de présence de soldats allemand en TN en 1942 ...

1. les chambres à gaz, n'ont jamais existé: elles n'étaient pas étanches au gaz !!! too bad ...
2. fours crématoires: les américains les ont vu en 45, bruler des vètements, pour eviter les infections, pas pour cramer les juifs. à quoi bon les cramer ? une balle dans la tète suffisiat ...
3. les atrocités, c'était les américains, avec leurs tapis de bombes sur Koeln, Muenchen, Dresden , Berlin .... avec leurs bombardiers géants B52 ... ils ont détruits les chemins de fer. les camps de travail, ( Arbeitslager) ne sont plus ravitaillés. les criminels sont américains.
4. aucune autopsie n'a été produite lors du procès de Nuernberg. too bad.
5. il n'y a jamais eu 6 000 000 de morts, tout au plus 50 000 . mais le business de la shoah a intéret à gonfler la facture.

enfin, les sionistes détruisent l'allemagne. ils ont imposé à Allemagne de prendre tous réfugiés pour se faire pardonner de crimes qu'elle n'a jamais commises. la société "multikulti" qu'ils ont imposé à allemangne est un désastre.

Sionistes, cancer mondial, peste universelle.
Viva Palestina.


Lucky Luke
Respecter les morts !
a posté le à 23:07
Vos théories, certes intéressantes pour les junkies du centre culturel soviétique de Kaboul, adeptes à l'héroïne, de très bonne qualité à ce qu'il paraît, ces rétrogrades mal coiffés au turban si élégant, excellent enfin en quelque chose, à savoir la manipulation de l'opium et l'addiction à cette farine aussi destructrice que la notre. Zargouni en sait quelque chose. Avis de recherche lancé au passage.
Bref, ces hâbleries infondés, auraient chez les uns et les autres un certain écho, influencés par l'injustice subie par le peuple palestinien. En vérité, il faut respecter la vie humaine ou mieux la vie tout court. Ainsi que la mort. De prime abord, 50000 chiffre déjà effrayant, représentant les morts à Gazza n'est pas peu. Ensuite, il faudra se rendre à l'évidence que manipuler l'Histoire à une échelle si "stratosphérique" ressort tout simplement de l'illusoire voire du délire.
J'y étais à Dachau et j'ai vu par mes propres yeux de mortel les outils de torture, les étoiles jaunes et les triangles roses, rouges et autres couleurs, une solution finale, machine à tuer ultra organisée et sophistiquée, pour reduire l'humain à une batterie et le recycler après d'une façon presque machinelle, les chambres à gaz non étanches, ridicule théorie, sont hermétiques en béton et dotées de portes blindées, on fait même croire par le biais de douchettes fixées aux plafonds que le prisonnier allait prendre une douche, pour ensuite faire entrer le gaz par un trou au fond. Les murs sont rayés par les ongles de gens agonisant voulant échapper à la mort par asphyxie. Terrible sort.

Respectez l'humain !
Tous ces morts ne le sont pas, moins humains que les palestiniens ou les arabes morts pendant le conflit, ou dans d'autres circonstances malheureuses et horribles. Vous reprochez aux autres ce que vous-même vous faites, et sans modération aucune !
Et respectez un tant soit peu l'intelligence du tunisien, ou bien iriez vous nous sortir l'autre blague, du Petit-Cou, avec son diplôme d'avocat falsifié et sorti, de surcroît, d'une université française, votre bête noire et pour votre esprit éclairé source de tous nos maux et malheurs !?
Lucky Luke
LoOokher.. (L'autre)
a posté le 20-01-2025 à 21:17
..a dit quand BNP Paribas est partie, avec cet orgueil habituel déplacé, dont seuls -reprenons les mots de notre illustre cowboy, RIP J.W., soldat de Bourguiba et de Ben Ali, et en aucun cas de cette calamité zaqafounienne- on disait donc, dont seuls les gueux insolents détiennent le secret :
"MA7SOUB 3anna el Bousta w inda tamwiile yabbay 7anni" !
Il a dit quand H&M est parti, ma7soub 3anna friperie yabbay 7ani !
Il a dit quand Jumia est partie, ma7soub 3anna el soOo9 yabbay 7ani !
Le tour à qui maintenant ?
Benetton x
SG (loading)..
Et la liste est longue ! Jusqu'au dernier. Zanga zanga, dar dar. Restons "jraba" safi yal kho !

'? propos de cette lâcheté intellectuelle que seuls des imbéciles heureux à la sauce tunisienne ont pu surclasser, témoigna, après coup bien évidemment, un pasteur allemand quant aux atrocités commises par le régime criminel nazi pendant la WW2 et que certains de nos chers négationnistes, adeptes comme susmentionné de harissa ainsi que d'autres produits de toute vraisemblance hallucinogènes, jureront par les noms de tous les Dieux existants et inexistants, la non-existence.

"Quand ils sont venus chercher les communistes, je n'ai rien dit, je n'étais pas communiste.
Quand ils ont enfermé les sociaux-démocrates, je n'ai rien dit, je n'étais pas social-démocrate.
Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, je n'ai rien dit, je n'étais pas syndicaliste.
Quand ils sont venus me chercher, il ne restait plus personne pour protester."

Ces petits minus habens ne comprendront jamais l'effet domino dévastateur qui guette l'économie tunisienne, déjà petite et limitée, en l'absence d'un climat de confiance et la persistance de ces effrayants signaux d'alarme, venus de l'extérieur comme de l'intérieur. Elle sera sans aucun doute vouée aux plus tristes des destins ! Car des partenaires et des investisseurs qui fuient, avec leur capital, avec des emplois, ceux-ci ne risquent pas de revenir à la terre promise de sitôt. Fiché S, on n'est plus considéré comme partenaires, et ce, pour un bon moment ! La confiance, comme disait J.-P. Sartre, elle se gagne en gouttes et se perd en litres. Des gouttes récoltées des décennies durant par les efforts de tunisiens véreux se souciant de l'image de la Patrie et qu'ils n'ont pas hésité à servir, eux qui pour la plus part sortaient des plus grandes écoles et universités françaises. Aujourd'hui c'est tout le contraire, on accepte l'humiliation pour avoir une place d'immigration je ne sais où, pire on se félicite d'avoir un autre passeport que celui Tunisien.. si ceci n'est pas révélateur de la décadence et du malaise tunisien..
On devient peu à peu mais à pas sûrs des marginaux, des misérables, notre modèle c'est l'Iran ou/et Cuba avec un ayatollah Fidel des plus illustres, un compétent !

Ya khaybat-al-mas3a !

Ya7ya hAdhAka, w hAdhAka, w hAdhiiki, yabbay 7anni !
W Rabbi yfarej alina w alihom w 3al jami3, ey n3am, al-jami3 !
Lucky Luke
Correction vaillants vs. véreux
a posté le à 08:26
Tunisiens Vaillants, ceux d'antan, bâtisseurs de la Tunisie moderne, compagnons du GRAND Bourguiba, Amadeus Petit-Cou, comme bon semble à certains latiniser le nom, malgré ses défauts, il demeure la meilleure chose qui est arrivée à la Tunisie, depuis.. disons Elysha, Didon pour les intimes.
Les véreux quand à eux, ces rapaces d'aujourd'hui et d'antan, aux multiples facettes et passeports, l'histoire leur consacrera une petite note de bas de page après un beau cul-de-lampe.
Dr. Jamel Tazarki
Changer de perspective!
a posté le 20-01-2025 à 11:36
A) Introduction:
- Pour répondre à ses besoins de travail, une entreprise voit deux possibilités s'offrir à elle:
a) embaucher les travailleurs en interne (CDI, CDD, etc.) ;
b) recourir aux services d'un prestataire externe --> travail en sous-traitance
-->
Les entreprises étrangères installées en Tunisie préfèrent recourir aux services d'un prestataire externe Tunisien (travail en sous-traitance). Pourquoi? Réponse: afin d'évier tout conflit avec le code du travail tunisien et avec les syndicalistes, etc., etc., etc.
-->
Premier Fazit: C'est une faute d'imposer d'une façon implicite aux entreprises étrangères installées en Tunisie la nouvelle réforme du code du travail tunisien et de l'abolition de travail en sous-traitance, --> de leur imposer ainsi d'embaucher leurs employés/travailleurs en interne, c.à.d. en CDI, CDD, etc.

B) Changer de perspective:
Il faut comprendre que pratiquement aucune entreprise étrangère installée en Tunisie n'embauche ses employés/travailleurs en interne. Elle préfère le travail en sous-traitance par des contrats signés avec des entreprise sous-traitantes Tunisiennes. En d'autres mots: l'entreprise étrangère installée en Tunisie paie un salaire disant de 1000 euros par travailleur en sous-traitance au partenaire Tunisien ( c.à.d à l'entreprise sous-traitante Tunisienne) et se libère ainsi de la charge de human resources management (La gestion des ressources humaines:, travailleurs/employés)
-->
Que fait le partenaire Tunisien? Et maintenant, retenez votre souffle: Oui, il garde 700euros dans sa poche et ne donne que 300 euros au travailleur Tunisien qu'il emploie en CDD (contrat à Durée Déterminée)
-->
Et pourquoi l'entreprise sous-traitante tunisienne embauche seulement en CDD? Oui, afin d'imposer de maigres salaires aux travailleurs et maximiser injustement ses gains nets (qui restent souvent dans des banques étrangères) --> Et le travailleur qui se rebelle est tout-de-suite Congédié...
->
Exemple: Au temps où j'étais étudiant en Tunisie, j'ai travaillé pendant les vacances pour une firme italienne par l'intermédiaire d'une entreprise sous-traitante Tunisienne. Oui, l'entreprise sous-traitante Tunisienne me donnait seulement 30% de mon salaire qu'elle recevait de la firme italienne (j'ai fait une petite recherche auprès de la Firme italienne) . En plus l'entreprise sous-traitante Tunisienne gardait mon gain des heures supplémentaires à 100% pour elle.
-->
- Une fois et par hasard, le propriétaire de l'entreprise sous-traitante Tunisienne est passé faire un tour dans les ateliers de la firme italienne. Alors j'ai osé l'aborder et je lui ai dit que je travaillais souvent 12 heures par jour et que je ne suis payé que seulement pour 8 heures, --> Sa réponse était très simple: c'est à prendre ou à laisser. Je n'avais aucun autre-choix que d'accepter puisque j'étais embauché en CDD (contrat à Durée Déterminée).


C) Je reviens aux données de l'article ci-dessus:
- Je cite: "Une absence de réaction gouvernementale"
-->
Moi si j'étais le Premier Ministre, j'aurais imposé des contrats en CDI (Contrat à Durée Indéterminée) après deux ans en CDD (contrat à Durée Déterminée) auprès des propriétaires des entreprises sous-traitantes Tunisiennes. Et de faire profiter le travailleur tunisien en sous-traitance d'au moins 70% des salaires accordés par les entreprises étrangères.
-->
En Allemagne les contrats CDD devraient devenir en CDI à la fin de le 2ème année.

- Le problème de nos gouvernements depuis le putsch est évident, on voit souvent des Ministres mal à l'aise, crispés, assis les mains sur les cuisses en face d'un Président de la République qui parle en monologue et qui ne font aucune proposition par peur de je ne sais quoi. Et Après-quoi ils nous disent: "je vais tout faire conformément à la vision du Président de la République".:
-->
Où sont passés tous ces Ministres et hauts-fonctionnaires limogés entre-temps et qui nous chantaient en permanence leur chanson habituel "je vais tout faire conformément à la vision du Président de la République" et qui n'ont rien fait de grand ou de petit? La réponse est évidente....

Dr. Jamel Tazarki, Mathématicien Résident à l'étranger

C'est dans l'intensité, la régularité et le renouvellement du débat socio-politique / -économique que se forge le gouvernement du peuple. La bonne santé de notre jeune démocratie tunisienne se mesure à ses contre-pouvoirs. Voilà pourquoi l'indépendance des médias, de la justice, l'activité syndicale et la qualité du débat parlementaire concernent tous les Tunisiens.
Juan
sous traitants en informatique ..... body shopping .....
a posté le à 19:21
ce sont des ingénieurs : 1/3 dans sa poche. 2/3 dans le poche du marchand de viande ( body shopping ) pour la plupart des sionistes, que ce soit en TN ou en F.
on loue l'ingénieur comme on loue une grue de chantier: à la journée.
vers 35 ans , il est trop vieux. on le jette dehors ....
ces marchands de viande kasher, vont crier sur tous les toits: y a pénurie de compétences ...
Rationnel
S'adapter et se préparer a plus de fermetures d'usines
a posté le 19-01-2025 à 17:13
Une grande partie des industriels implantées en Tunisie vont disparaître. Elles sont liées a des activités qui passent par de grandes difficultés en Europe. L'industrie auto européenne passe par une période de crise, un grand nombre de firmes ont fermé des usines et licencié des milliers comme VW, Stellantis, Valeo, Ford, Bosch. L'industrie des composantes auto emploie le plus de travailleurs en Tunisie, la fabrication de câbles et des faisceaux de câbles embauche des milliers de personnes. Ces usines vont souffrir d'une baisse de la demande vu que la demande pour les voitures européennes est en chute libre. Les constructeurs chinois sont en train de remplacer les marques européennes et dominent l'industrie des voitures électriques qui représente plus de 50% du marche en Chine et dont la part du marche est en croissance rapide dans plusieurs pays. Les ventes de BYD, leader dans la production des VEs, au Brésil ont augmente de 361% en 2024.
La Tunisie doit s'adapter rapidement a ces changements. La nouvelle configuration de l'industrie mondiale est favorable a la Tunisie mais on doit agir pour profiter des opportunités qui se présentent dans des domaines telle que les énergies renouvelables, l'électrification des transports, l'hydrogène vert...
Juan
la Chine n'a pas besoin de TN ......
a posté le à 19:28
en chine l'arrière pays, est très sous développé. la Chine n'a pas besoin de délocaliser.
l'automobile chinoise va envahir le monde comme ils l'ont fait en éléctronique.
les constructeurs UE, vont se contracter, puis disparaitre.
TN doit produire des voitures, pas des tresses.
mais pour çà il faut de VRAIS ingénieurs ,pas des polytechniciens qui font des maths inutiles et portent l'uniforme de l'armée française ...
********
Rationnel
a posté le à 18:23
Vous avez vu juste, vu le nombred'entreprises qui ferment partout en Europe.
********
Hamza Nouira
a posté le 19-01-2025 à 15:51
Bijahrabi Bijahrabi sortez de chez vous, Allez-y voir ailleurs.
Je reviens de Londres ya hlililili ya hlililili
Wallahi Wallahi en Tunisie on est au paradis.
Juan
il y a london et london ......
a posté le à 19:30
tu parles de East end, ou Kensington ? ....
Hamza Nouira
Et bien .....
a posté le 19-01-2025 à 10:20
Tous cela je l'avait prédit dans mes com sur BN. L'économie depuis le premier jour a été le point faible.

Allez courage encore 5 ans looool
R.
!
a posté le 19-01-2025 à 09:34
Le climat des affaires a ete deteriore par lUGTT + lincompetance des dirigeants dennahdha ! Le gvt actuel fait de son mieux ..
Kane
Ben tiens !
a posté le à 12:35
Ah ça, pour faire de son mieux, on le voit tous les jours : ce gouvernement est dans la directe continuité de l'oeuvre de destruction du pays entamée par ses prédécesseurs.
ClimaKS psychorigide des affairistes pour trois franKS si sourds
United colours du benet thon deboiteur de boites
a posté le 18-01-2025 à 23:07
Heyla el bleda d incompetence proteKtrice Krasse.
Juan
rien à espérer de ces investisseurs étrangers ... david contre goliath ....
a posté le 18-01-2025 à 18:49
le pays ne peut ètre industrialisé que par ses enfants, pas par les traitres de la nation, amis de isra-HELL.
Benetton, call centers, marchands de viande ( body shopping), grandes surfaces .... tous venus vous exploiter, s'enrichir sur vos dos..

bas salaires ne veut pas dire, brader le pays.
ils doivent réinvestir, au moins une partie de leurs bénefs, sur place, et exporter des produits TN.

a win win situation, otherwise it won't work.
WAKE UP !!
elfribo
Bad report.
a posté le 18-01-2025 à 15:54
Bad report and bad analysis. Benetton left Tunisia because it is rethinking its deployment around the world.
It is restructuring after a hefty loss of $250 million.
Nothing to do with Tunisia's financial situation or social upheavals.
Hamza Nouira
@elfribo
a posté le à 10:24
Stop your drama big back and get back to reality!

If you're not able to decipher what they are saying through this, then go back to sleep. Thanks.
It's beyond your level of understanding.

Slay bestie!
elfribo
nasty!
a posté le à 17:59
It's truly remarkable how some people believe that insulting others is a substitute for original thought or intelligent discourse. It's clear that you're more comfortable attacking others than engaging in actual conversation'perhaps because, unlike the well-informed, you have no substantial arguments to back up your beliefs. So, feel free to continue showcasing your profound ignorance; it's always entertaining to see someone so unaware of how little they know.
Citoyen_H
BIEN ENTENDU, LES DUMB & DUMBER, L'UGTT ET LA TROIKA, N'Y SONT POUR RIEN
a posté le 18-01-2025 à 12:17
Main dans la main, POPULISME y aidant, ce groupe de "walking dead" de l'emploi avaient imposé aux industriels et aux entrepreneurs, d'accepter, sans broncher et sans discuter, des dizaines et des dizaines d'augmentations de salaires.
Si nous prenons compte des centaines de grèves, qui propulsèrent la NATION, en tête du podium des pays à grands risques, le dernier des crétins verrait aussi clair que l'eau de roche, la raison du chaos actuel. !!!
Cela déclencha, aussitôt, un exode sans égal, d'une grande majorité d'investisseurs étrangers, qui déguerpirent sans demander leur reste.
Toutefois, il est vrai que la situation financière de Benetton est loin d'être enviable.
Les fermetures de boutiques en Europe ne se comptent plus
Juan
Bnetton ... des philanthropes ........ çà se saurait ....
a posté le à 18:52
sans demande(r leur reste ? hummmm ....
des philathropes , quoi ....
Bourehla
La vérité
a posté le 18-01-2025 à 12:15
Benetton fait face à des pertes considérables depuis quelques années, le plan de sauvetage du groupe n'est pas adressé à l'encontre uniquement de la tunisie mais également aux usines en sebie, Bulgarie... mais plus grave encore en italie même où 400 postes d'emploi sont concernés.
C'est erroné de dire que le gouvernement tunisien ne fait aucun effort pour préserver les emplois des uns et des autres, vous n'en savez rien...
Juan
this is not a win win situation .......
a posté le à 18:55
TN garantit les investisseurs étrangers ( dont certains sont TN de l'étranger pour l'étranger ..... ) , sans contre partie.
ainsi a décidé Ali Baba , qui a ouvert les portes à ces xploiteurs.
Elleuch
Départ de Benetton
a posté le 18-01-2025 à 12:02
L'article parle de tous, mais n'a jamais évoqué les causes de ce départ et pourquoi le gouvernement n'a pas réagit.

C'est exactement ce que les tunisiens veuillent connaître.
Juan
Ali Baba et ses 40 voleurs et une voleuse ....
a posté le à 18:41
Ali Bab a garanti l'investissement étranger. ils peuvent repartir qd ils veulent avec leurs billes. ils sont pas tenus de réinvestir leurs bénefs ....
Mohamed Djerbi
Benetton et ses semblables finiront par quitter à la recherche du gratuit
a posté le 18-01-2025 à 09:32
Benetton a décidé de partir de Tunisie non en raison de pression fiscale ou administrative ou encore de cette affaire de la suppression de contrat de travail à durée déterminée.
Que tout le monde sache que ces entreprises étrangères ne paient presque rien en impôt sur les bénéfices. Leurs gains sont transférés ailleurs sans que la Tunisie ne les voit.
En rapport avec l'administration, les entreprises étrangères sont de loin mieux loties que les entreprises locales.
Si Benetton quitte notre pays c'est qu'il y a une concurrence assez rude entre les grand groupes internationaux et une baisse de la demande en rapport avec la pauvreté qui augmente en Occident. Il ira peut être dans un pays ou le travailleur n'a pas de quoi acheter un bout de pain.
En vouloir à nos dirigeants de n'avoir rien offert pour retenir Benetton et citer la France qui en 2008 avait offert des avantages substantiels à Arcelor Mittal pour ne pas fermer certaines usines du groupe. Que tout le monde sache y compris l'auteur de l'article que ArcelorMittal c'est le plus grand sidérurgiste de France et de l'acier dépend toute l'économie, bâtiment, construction mécanique, automobile, navires etc.. alors que Benetton n'achète même pas un fil fabriqué en Tunisie.
Malgré les sacrifices de la France avec Arcelor Mittal, ce dernier n'a pas hésité à fermer usine après usine.
La Tunisie doit repenser son modèle de développement économique et rompre avec ces pratiques qui tiennent l'employé tunisien pour "esclave" libre qui doit être exploité jusqu'à l'os.
Elleuch
Benetton
a posté le à 12:18
Je suis complètement d'accord avec votre analyse. Ces journalistes n'ont pas encore compris que le citoyen Tunisien a besoin de savoir quelles sont les causes principales de ce départ et pourquoi le gouvernement n'a pas réagit.
Juan
je soutiens et ajoute ....
a posté le à 12:16
ce sontt des sionistes. loin d'ètre des philanthropes.
sioniste veut dire exploiteur, suçeur de sang ...
les bénefs sont exportés en devises, qui iront aider isra-HELL à massacrer les palestinos.
pas un shékel pour isra-HELL
Un Tubnisien.
......
a posté le à 13:17
Bravo, t'as tout compris ...
********
Bravo
a posté le à 11:20
Bien dit
Kamoun
Benetton
a posté le 18-01-2025 à 09:06
Ne soyez pas alarmiste Benetton est une marque qui vieillit et même en Europe elle peine et c'est tout à fait normal qu'elle fasse des changements dans sa stratégie elle est devancée par des milliers d'autres marques. Donc arrêtez de mettre tout sur la politique actuelle c'est la loi de la concurrence il t a des sociétés qui meurent et d'autres qui naissent c'est la loi de l'économie du marché ça ne dépend nullement de la politique économique du pays encore heureux qu'ils laissent d'autres usines en fonctions . Bonne journée
Bouba
Heureux !!!!
a posté le 17-01-2025 à 20:18
Il semble que vous êtes heureux que Benneton quitte la Tunisie , c'est mal sain et honteux de ne pas expliquer le pourquoi de la chose en se limitant au climat d'affaire bien qu'en partie c'est vrai ,sauf Mohamed Amine dans son commentaire vous a éclairé sur les vrais raisons ,mais vous n'en avez cure le plus important c'est de taper sur le régime actuel bien qu'on peut lui reprocher d'autres choses plus importantes
Saga
on va vers la ruine
a posté le 17-01-2025 à 19:21
Aucune entreprise étrangères ne restera si on leur supprime leur latitude de dimensionner leur effectif en main d'?uvre direct, à travers les contrats de sous traitance, selon leur charge de travail.
aucune, je dis bien aucune.
le secteur privé dans la compétitivité. Tu ne produit pas tu reste chez toi. ce n'est pas comme dans le public où on peut se permettre de glandouiller sans rendre de compte.
Mohamed Amine
manque de données pour avoir une lecture globale
a posté le 17-01-2025 à 18:42
l'article s'est concentré sur le rôle du gouvernement tunisien et la non réaction même si une rencontre a été faite avec le ministre des affaires sociales début décembre.

ce que vous oubliez d'indiquer si l'impact de la crise textile dans le monde depuis 2024 avec une baisse de 10% sur le plan mondial, allez voir en Turquie, allez voir au Bengladesh (le low cost du textile où ils sont)...

le groupe dirigé par Claudio sforza est en crise depuis 2022 et est sur un plan de redressement sur 4 ans. la perte est de 230 millions d'euros cette année. ils ont fermé des centaines de magasins à travers le monde. les sites de serbie et de croatie seront aussi fermés.

voilà ce type d'infos pouvaient mieux cadrer l'article !

EL OUAFI
Ni Sionistes,plutôt conjoncture internationale !
a posté le 17-01-2025 à 17:26
Ni Sionistes, ni toutes autres supputations, la loi du marché l'impose, le libéralisme financier si les résultats ne l'intéressent plus il déménage.
En Tunisie les années noires ont déstabilisé les investisseurs étrangers.
Ce comportement n'est pas spécifiquement destiné pour les entreprises installées dans notre pays.
toutou
Années noires !!!
a posté le à 18:38
Absolument d'accord, les années noires qui ont commencé un certain 25 juillet 2021 ont TOUT déstabilisé...

Le pire c'est qu'on n'en est qu'à la 4ème de ces années obscures. Le tunnel semble bien long.
EL OUAFI
Plutôt conjoncture internationale !
a posté le 17-01-2025 à 17:21
Les responsables de la météorologie nationale ont mis récemment les citoyens du danger qui peuvent encourir !
Cours suspendus dans différents gouverneras, où la pluviométrie est intense
Qu'est-ce qu'il a pu arrivé à cette malheureuse ?
L'enquête nous le précisera plus tard.
Ma compassion, mes souhaits que Allah le tout puissant accorderait sa miséricorde à cette malheureuse martyre.
Allah yarhamouha.
Tunisino
La Tunisie
a posté le 17-01-2025 à 17:11
Les investisseurs étrangers viennent en Tunisie pour profiter du coût faible de production, en particulier la main d'?uvre qui est 10 fois moins chère qu'en Europe, avec le luxe de quitter le pays sans coûts notables dès la première difficulté, ainsi les emplois crées ne sont que temporaires. L'Etat est responsable, la Tunisie doit compter sur soi-même, une planification à court, moyen, et long termes est à établir dans tous les secteurs de l'économie pour créer des emplois durables et réduire l'import aux moyens de production et à la matière première. Les solutions sont connues, sauf que ceux qui décident n'ont aucune fierté de soi, ils adorent la médiocrité et l'esclavage et veulent les imposer aux sinistrés tunisiens, c'est tout une école, importée d'un pays européen!
Karim
Avec des mots douces
a posté le 17-01-2025 à 16:55
Mme la journaliste je vous demande avec des mots douces, tendres et pleine de sympathie pouvez vous replonger dans ce départ de Benetton (avec un travail de terrain google.it) et nous éclairer sur les vraies raisons de leurs départ...
Car cette histoire de gouvernement silencieux ne tient pas la route
Agatacriztiz
J'approfondissez vos recherches...
a posté le 17-01-2025 à 16:00
Au lieu de faire des élucubrations sur la sortie de Benetton de Tunisie et supputer ce que le gouvernement aurait dû faire ou non, vous auriez mieux fait de nous éclairer sur les réelles raisons de ce départ.
Pour ce, je vous invite à chercher dans Google.it. (google Italie) et poser la question suivante :
"dove andrà benetton dopo tunisi ?"
Des tas de sites italiens économiques et financiers vous répondront gratuitement et si vous utilisez l'application "Google traduction", pour ceux qui ne comprennent pas l'italien, en vue de traduire les analyses proposées, vous serez informés avec force détails sur les véritables raisons économiques qui ont poussé au départ Benetton de notre pays, industriel qui ferme également des usines en Italie et ailleurs. Vous serez également mis au courant des actions qu'il a proposé pour laisser le moins de personnel tunisien sur le carreau.
Le secteur du textile n'étant malheureusement pas à l'abri des tendances et des fluctuations de la mode, il n'est pas rare que des grands noms de l'habillement subissent les contre-coups des caprices de ce marché en perpétuel mouvement.
le financier
benethon n est juste qu un exemple de ce qui se passe
a posté le à 16:43
benethon n est juste qu un exemple de ce qui se passe dans le pays , oui ils ont des difficult2 mais un dirigeant tranche en se basant sur des chiffre de rentabilit2 et productivit2 , comme t aime bien google interesse toi a chantel aussi et bien d autres usines qui menacent de fermer
Mustapha
La Russie face à une Crise Industrielle
a posté le 17-01-2025 à 15:47
Vous souvenez-vous de cette vidéo marquante en Russie, à l'époque où Poutine était Premier ministre sous Medvedev ? Il s'était rendu sur place dans une usine menacée de fermeture. Descendant de sa voiture, il avait immédiatement réuni le staff de direction et exigé, avec fermeté, la signature d'un protocole empêchant la fermeture de l'usine. Tout cela s'était réglé en moins de trente minutes.

Bien que ce contexte soit différent, notamment parce que l'employeur ici est étranger, cet exemple illustre parfaitement la détermination qu'un gouvernement peut avoir face à la menace de mises en chômage massives. Cela rejoint l'idée que les autorités doivent jouer un rôle décisif et rapide dans ce type de situations pour protéger les travailleurs.
Juan
la faute à qui ......
a posté le à 16:24
Ali Baba et ses 40 voleurs .... s'est engagé à garantir les investissements étrangers, mème sionistes ..;
LOL
Tunisie = Paradis
a posté le 17-01-2025 à 15:27
Pourquoi est-ce que KS dirait un mot ? Vous n'avez pas encore compris que la Tunisie est le plus grand et le plus fort pays au monde, avec le peuple le plus souverain, indépendant et civilisé de tous les temps. Notre valeureux leader n'a-t-il pas dit que les peuples occidentaux ont tout à apprendre de la grande culture tunisienne ? En plus, les étrangers sont tous des salopards qui viennent exploiter les grands cerveaux tunisiens surdiplômés et si bien éduqués par leur incroyable système d'éducation hors pair. Et quiconque dit le contraire n'est qu'un haineux jaloux de cette magnifique terre si propre et bien organisée. Tout le monde envie la Tunisie, c'est bien connu ! Et n'oublions pas que ces entreprises étrangères sont toutes des sionistes et que la grande force islamique de notre terre tunisienne résistera toujours à... blablabla. Je ne peux plus, vous êtes épuisants ! Vraiment, les Tunisiens, vous êtes trop bêtes pour être sauvés ! Vous la méritez bien votre misère.
Gg
Le lobby sioniste !
a posté le 17-01-2025 à 15:19
Les mêmes obsédés que d'habitude reviennent avec le lobby sioniste!
Il serait plus judicieux de parler de la faible productivité de la Tunisie, des contraintes logistiques et fiscales, de l'administration lente et corrompue...
Mokhtar
Commentaire
a posté le 17-01-2025 à 13:20
Dans votre article je relève une contradiction. Vous parlez de l'absence de réaction du Gouvernement et vous dites que ce dernier a entamé des négociations avec Benetton.
Le Ministre des affaires étrangères en visite à Rome aurait certainement discuté de ce départ avec son homologue italien. Il y a certainement un manque d'informations du public mais l'essentiel est de parvenir à un accord.
Si Benetton décide de partir après plus de vingt ans d'activité en Tunisie c'est qu'il y aurait de sérieux problèmes à identifier qui pourraient être liés au marché, à la concurrence étrangère, à des problèmes intrinsèques au groupe ou encore à notre environnement fiscal et social devenu inadapté. A la partie tunisienne et estrangère de nous éclairer.
bledar
Crise !
a posté le à 17:48
Bien dit, vôtre analyse très proche de la vérité
Merci
Paolo
Implantation de la misère
a posté le 17-01-2025 à 13:02
Le modèle économique de Hédi Nouira continue de s'effondrer, un modèle basé sur la mai d'oeuvre bon marché et pollueur.
Le groupe benetton subit une chute vers la faillite et ferme partout des usines dans le monde.
Le climat des affaires n'a rien à faire dans cette fermeture, c'est plus tot un escros qui jette les clefs sous la porte et laisse des milliers de pauvres filles démunies sur le carreau.
Juste
C'est une conséquence prévisible de la politique de KS
a posté le 17-01-2025 à 12:46
Si les investisseurs tunisiens sont en prison sans être jugés .
Si il n'y a pas véritablement une vision claire et une politique basée sur la restauration de la confiance..
C'est prévisible que les investisseurs partent
Ngolo
Investisseurs ! hhh
a posté le à 14:37
Investisseurs mon oeil, il sont des escrocs, qu'ils partent au diable!
Juan
Sionistes , exploiteurs, suçeurs de sang .... blood suckers ...... pas un shékel pour isra-HELL .....
a posté le 17-01-2025 à 12:46
que se soit la confection, les call centers, les marchands de viande ( body shopping) .... ils sont tous sionistes.
les bénefs en devises, au lieu de les réinvestir sur place, ils les exportent = sortie de devises, et vont soutenir isra-HELL à massacrer les Palestinos.
je dis:
pas un shékel pour isra-HELL !!
Larry
Vite... Vite... Vite...
a posté le à 14:50
Trouvez lui un psy !...
bledar
' psy
a posté le à 18:03
5/5 !
Gg
Larry...
a posté le à 15:16
C'est foutu pour lui.
le financier
chantel devrait aussi quitter la tunisie pour le maroc
a posté le 17-01-2025 à 12:42
allez un petit scoup , chantel devrait aussi quitter la tunisie pour le maroc .

Meme moi qui voulait ouvrir une petite unit2 de production de l industrie , j ai repouss2 au vue de l imposition
becbec
Trop de photos IA
a posté le 17-01-2025 à 12:41
Je trouve vos photos générées par IA un peu trop anxiogènes. De temps en temps c'est ok mais en faire tous les jours ça devient enfantin et non crédible.
Bbaya
Heureusement je ne suis pas le seul
a posté le à 15:58
Voilà ça saute aux yeux
Merci
********
Normal
a posté le 17-01-2025 à 12:37
La mal chance, vous ne pouviez tout coller aux gens qui ne sont pas responsables de ka chance des autres ridicule.

"Depuis 2013, Benetton a accumulé des pertes de plus d'un milliard d'euros.

Le chiffre d'affaires de Benetton s'est élevé à 1,09 milliard d'euros, pratiquement inchangé par rapport à 2022. Le groupe a essuyé en outre une perte opérationnelle (Ebit) de 113 millions d'euros. La holding familiale Edizione compte soutenir «le plan de réorganisation et relance de Benetton Group en investissant 260 millions d'euros dans les prochaines années», après avoir déjà investi 350 millions au cours des trois années précédentes, selon les mêmes sources. Luciano Benetton, 89 ans, avait annoncé samedi son intention de lâcher la présidence du groupe familial italien, accusant son directeur général d'avoir laissé «un trou de 100 millions d'euros» après quatre années passées à la tête de la célèbre marque de vêtements.

«J'ai fait confiance et j'ai eu tort. J'ai été trahi au sens propre du terme. Il y a quelques mois, j'ai compris que quelque chose n'allait pas et que l'image du groupe que la direction nous présentait lors des réunions du conseil d'administration n'était pas réelle», avait indiqué Luciano Benetton dans un entretien au Corriere della Sera.
*********
La traîtrise
a posté le à 12:52
Vous connaissez ? La traîtrise
On vit un monde de traîtrise à ciel ouvert.
Personne n'est épargnée. Notre monde de profit. ...
Hahahahahaha
Vladimir Guez
Et pendant t ce temps la
a posté le 17-01-2025 à 12:05
Le Maroc vient de sortir de ses usines son premier camion poids lourd avec 40% de pièces locales.
Mais heureusement avec les 3 500 employés virés on va en avoir des entreprises communautaires qui vont pousser comme des champignons.
Nephentes
Un exemple de gâchis magistral
a posté le 17-01-2025 à 11:59
La Tunisie fait partie des pays ayant fourni des efforts considérables en vue de renforcer son attractivité et le gouvernement a également entrepris une politique de promotion du territoire.

Mais l'attractivité de l'économie tunisienne pour les investisseurs étrangers est en chute libre depuis les années 2005.

Les investissements directs étrangers sont généralement attirés par les caractéristiques économiques fondamentales des pays d'accueil : l'existence et la taille du marché, la stabilité politique et économique, la libéralisation des politiques commerciales, l'état des infrastructures et des institutions, etc., .

L'inexistence de ces facteurs jugés essentiels dissuade généralement les projets d'investissement à moyen et long terme de la part de toute firme multinationale.

C'est précisément le cas de BENETTON TUNISIE; dans ce cas précis, il s'agit essentiellement du manque de confiance dans la capacité des autorités tunisiennes actuelles et du système socio-productif tunisien à garantir un environnement d'affaire sécurisé et stable : bonne gouvernance, fiscalité avantageuse, justice crédible et garantie des droits de l'investisseur, lutte effective contre la corruption, transparence et dématérialisation des opérations administratives notamment celles liées aux flux import export, amélioration des cadres politiques et réglementaires......

Il est à rappeler que tous les ministres tunisiens de l'économie de l'industrie et de la coopération internationale n'ont cessé depuis 12 ans de promettre des améliorations radicales au niveau de la lutte contre la corruption notamment douanière, contre la recherche de rente (népotisme et clientélisme), de l'instauration de la crédibilité des institutions de régulation économique financière et juridique, et d'instaurer une véritable dynamique des réformes.

BENETTON est bien plus perspicace et réaliste que les autorités tunisiennes : les récentes mesures affectant la qualité du climat de l'investissement en TUNISIE engendrent MECANIQUEMENT un comportement de recherche d'avantages personnels de la part des entreprises locales et de nombreux agents de la fonction publique. Les frais supplémentaires supportés par BENETTON depuis deux décennies, et engendrés par les bakchichs, n'ont cessé de croitre, aloursdissant considérablement les couts d'exploitation sur le site tunisien.

En outre, et élément majeur, BENETTON n' a PLUS CONFIANCE en l'avenir de l'économie tunisienne: la crédibilité et l'éfficacité percue des politiques publiques tunisiennes sont jugées insuffisantes au regard d'autres économies comme le Maroc ou le sénégal , destinations prévilégiées par le repositionnement de BENETTON.

dernier éléments fondamental de la décision de BENETTON de se retirer de la Tunisie : l'amélioration du climat d'investissement en Tunisie n'est pas encadré par un processus stratégique mais par des actions ponctuelles confuses voire contradictoires et qui relèvent de l'amateurisme; en particulier l'efficacité et la crédibilité des institions tunisiennes chargées des programmes d'amélioration de l'attractivité de l'économie sont analysées comme tres insuffisantes notamment au niveau des axes programmatiques suivants

Amélioration de la capacité de coordination entre institutions et cohérence des politiques publiques.

Cohérence et pertinence des lois en matière de prévention de la distorsion des facteurs d'investissement

Politiques de règlementation et fiscalité

le financier
bravo nephentes
a posté le à 13:40
bravo nephentes , vous avez resum2 ce que j ai essay2 d alerter depuis des mois avec des ministres et ce president a travers mes commentaires en quelques ligne sur mon telephone dans les embouteillage .
La croissance ne se decrete pas , tout n est question de perspections mais aussi de chiffre dur , si la Tunisie coute moins chere pour des job a faible added value , les entreprises restent sinon c est la concurence mondial .

Peut etre faut il sortir du textile et allez sur l industrie et de preference militaire mais pour cela il faut des ports , des trains etc etc ... et une taxation avantageuse .

il faut etre business friendly et pas communiste
Juan
sionistes exploiteurs, suçeurs de sang .... qu'ils partent faire leur aliahhhhh ...;
a posté le à 12:27
Benetton, mais aussi les call centers, marchands de viandes déguisés en bureaux d'études talmudiques, grandes surfaces ... des sionistes qui exportent leurs bénéfs en devises, au liau de les réinvestir dans le pays.
bon débarras !!
veritas
il ne faut pas se laisser prendre pour un otage .
a posté le 17-01-2025 à 11:21
C'est ça les investisseurs étrangers que vous courez derrière au moindre truc ils vous laissent sur le carreau surtout quand ils savent que vous êtes en position de faiblesse '?'cette fermeture est un coup monté par le lobby sioniste je vous donne même la destination prochaine à 90% c'est le Maroc depuis 2 décennies ils sont sont entrain de faire du chantage vous avez à choisir entre la normalisation ou bien déloger les investisseurs vers le Maroc ,un rival devenu ennemi'?'les conséquences pour tout les sociétés qui ont élus domicile aux Maroc vont le payer cher et on se rappellera .
Les complots contre l'Algérie et la Tunisie sont en plein essor il ne faut pas céder tout ça va se retourner sur leur figure il suffit juste d'entre patient .