
Le groupe italien Benetton annonce son départ menaçant d’un coup 3500 emplois directs et le double en emplois indirects. Malgré la gravité de la situation, malgré les grèves des employés et la panique des populations où se trouvent les usines de la marque italienne, le gouvernement brille par son silence. Pire, il continue à menacer les emplois et à envenimer le climat des affaires en parlant de réforme du code du travail et de la fin des CDD et de la sous-traitance.
La décision du groupe italien Benetton de fermer ses usines en Tunisie, annoncée fin décembre, a fait l’effet d’un coup de tonnerre dans un ciel déjà chargé de nuages pour l’économie tunisienne. Pourtant, cette nouvelle, qui menace directement 3500 emplois et des milliers d’autres indirects, n’a pas suscité la réaction immédiate et énergique que l’on pourrait attendre d’un gouvernement confronté à une crise sociale et économique majeure. Alors que dans d’autres pays, les autorités se mobilisent à la vitesse de l’éclair pour retenir les investisseurs, en Tunisie, le silence du ministère de l’Industrie et du gouvernement est assourdissant.
Les devoirs des gouvernements
Dans la plupart des pays industrialisés, l’annonce du départ d’un groupe comme Benetton aurait immédiatement déclenché une cascade de réunions d’urgence, de propositions d’incitations fiscales et de plans de sauvetage. En France, par exemple, l’État s’était mobilisé en 2008 pour tenter de retenir le groupe ArcelorMittal, allant jusqu’à impliquer des alliés européens pour faire pression sur le géant indien. Nicolas Sarkozy, alors président de la République, était personnellement intervenu pour négocier avec Lakshmi Mittal, le PDG du groupe, afin de limiter les fermetures de sites et les suppressions d’emplois. Bien que l’aciérie de Gandrange ait finalement réduit ses activités, l’État français avait démontré une réactivité et une détermination sans faille pour protéger les emplois et l’économie locale.
Un autre exemple frappant est celui de l’usine Alstom de Belfort, en France. En 2016, face à la menace de fermeture du site historique, le gouvernement français avait déployé des efforts considérables pour convaincre Alstom de maintenir ses activités. Des discussions intensives avaient abouti à un accord incluant des commandes publiques supplémentaires pour les trains TGV, permettant de sauver des centaines d’emplois. Cette mobilisation avait montré que, face à une crise industrielle, l’État pouvait jouer un rôle clé en tant que médiateur et soutien financier.
En Allemagne, un cas similaire s’est produit avec le constructeur automobile Opel. En 2017, lorsque General Motors (GM) a annoncé son intention de vendre Opel, le gouvernement allemand et les syndicats se sont rapidement mobilisés pour garantir que les emplois et les sites de production soient préservés. Des négociations complexes ont abouti à la vente d’Opel au groupe PSA (Peugeot-Citroën), avec des garanties fortes sur le maintien des emplois en Allemagne. L’État allemand a également offert des incitations fiscales et des subventions pour faciliter la transition.
Une absence de réaction gouvernementale qui interroge
En Tunisie, rien de tel. Benetton, présent dans le pays depuis 2004, a pourtant été un acteur clé du secteur textile, employant des milliers de personnes dans des régions marginalisées comme Kasserine et Gafsa, où les opportunités d’emploi sont rares. La fermeture des usines de ces deux villes, ainsi que l’arrêt des activités de l’usine de Sahline à Monastir, plongeront des milliers de familles dans une précarité encore plus grande. Pourtant, à ce jour, aucune communication officielle du ministère de l’Industrie ou du gouvernement n’a été faite pour expliquer les mesures envisagées pour retenir Benetton ou atténuer l’impact de ce départ.
Cette inaction contraste fortement avec les déclarations du président de la République, qui veut réformer le code du travail visant à mettre fin aux contrats à durée déterminée (CDD) et à la sous-traitance. Il en a parlé à plusieurs reprises, jusqu’à hier jeudi 16 janvier 2025, assimilant la sous-traitance et les CDD à de l’esclavage.
Si ces mesures peuvent sembler louables sur le papier, elles risquent d’effrayer davantage les investisseurs étrangers, déjà confrontés à un climat des affaires difficile. Au lieu de rassurer les entreprises et de les encourager à investir, Kaïs Saïed semble envoyer des signaux contradictoires, voire contre-productifs.
Un impact économique et social dévastateur
La fermeture des usines Benetton ne se résume pas à la perte de 3500 emplois directs. Les emplois indirects, estimés au double, voire plus, sont également menacés. Dans des régions comme Kasserine et Gafsa, où Benetton était l’un des rares employeurs importants, l’impact économique sera dévastateur. Des commerces locaux, des restaurants, des cafés et même des propriétaires qui louaient des logements aux employés de Benetton verront leurs revenus s’effondrer.
Certains habitants, comme nous avons pu le constater à Kasserine et il y en a certainement ailleurs, avaient même construit des maisons spécifiquement pour loger les hauts cadres du groupe, une source de revenus qui disparaîtra avec le départ de l’entreprise. Ces régions, déjà en proie à un chômage élevé (le plus élevé du pays) et à un manque criant d’opportunités économiques, risquent de sombrer encore plus profondément dans la précarité.
Un signal négatif pour les investisseurs étrangers
Le départ de Benetton envoie un message alarmant aux autres investisseurs étrangers présents en Tunisie. Si un groupe de cette envergure, implanté depuis près de vingt ans, décide de fermer ses portes, c’est que le climat des affaires n’est plus attractif. Les raisons invoquées par Benetton – augmentation des taxes, coûts de production élevés, lourdeurs administratives – sont autant de signaux d’alarme que les autorités tunisiennes ne peuvent se permettre d’ignorer.
Pourtant, au lieu de prendre des mesures concrètes pour améliorer le climat d’investissement, le gouvernement semble se contenter de promesses et de slogans. Les négociations en cours avec Benetton pour tenter de sauver l’usine de Sahline, qui emploie 500 personnes, restent floues et sans garantie de succès. Cette absence de réaction rapide et déterminée risque de décourager d’autres entreprises étrangères, qui pourraient envisager de suivre l’exemple de Benetton.
Une occasion manquée pour la Tunisie
Le départ de Benetton est un coup dur pour l’économie tunisienne, mais c’est aussi une occasion manquée pour le gouvernement de démontrer sa capacité à réagir face à une crise. Alors que le monde entier se bat pour attirer les investissements étrangers, la Tunisie semble faire le contraire, en multipliant les obstacles et en envoyant des signaux contradictoires aux entreprises.
La réforme du code du travail, bien que nécessaire, doit être menée avec prudence pour ne pas effrayer les investisseurs. Parallèlement, le gouvernement doit mettre en place des mesures concrètes pour améliorer le climat des affaires, simplifier les procédures administratives et réduire la pression fiscale. Sans cela, la Tunisie risque de voir d’autres entreprises suivre l’exemple de Benetton, plongeant le pays dans une crise économique et sociale encore plus profonde.
Le rôle des syndicats et des travailleurs
Face à l’inaction du gouvernement, les syndicats et les travailleurs de Benetton ont pris les devants. Les employés de l’usine de Sahline ont entamé une grève pour défendre leurs droits et réclamer des garanties face à la fermeture annoncée. Cette mobilisation, bien que légitime, met en lumière le manque de soutien institutionnel dont bénéficient les travailleurs tunisiens.
Dans d’autres pays, les syndicats travaillent main dans la main avec les gouvernements pour négocier des solutions viables avec les entreprises. En Tunisie, les syndicats se retrouvent souvent seuls face à des décisions unilatérales, sans le soutien nécessaire pour peser dans les négociations. Cette situation accentue le sentiment d’abandon des travailleurs et des régions touchées.
Une vision à long terme nécessaire
Pour éviter que d’autres entreprises ne suivent le chemin de Benetton, la Tunisie doit adopter une vision à long terme pour son économie. Cela passe par une réforme en profondeur du système fiscal, une simplification des procédures administratives et une meilleure coordination entre les différents ministères concernés.
Le gouvernement doit également travailler à renforcer la confiance des investisseurs étrangers, en mettant en place des incitations claires et en garantissant une stabilité politique et économique. Sans ces mesures, la Tunisie risque de perdre non seulement Benetton, mais aussi d’autres entreprises essentielles à son développement économique.
En attendant, les 3 500 employés de Benetton, ainsi que les milliers d’autres dont les emplois dépendent indirectement du groupe, attendent des réponses. Mais pour l’instant, le silence des autorités tunisiennes est plus éloquent que toutes les déclarations. Le départ de Benetton est un signal d’alarme que la Tunisie ne peut se permettre d’ignorer. Il est temps pour le gouvernement de prendre des mesures concrètes pour retenir les investisseurs, protéger les emplois et relancer l’économie. Sinon, ce départ pourrait n’être que le premier d’une longue série.
Maya Bouallégui



1. les chambres à gaz, n'ont jamais existé: elles n'étaient pas étanches au gaz !!! too bad ...
2. fours crématoires: les américains les ont vu en 45, bruler des vètements, pour eviter les infections, pas pour cramer les juifs. à quoi bon les cramer ? une balle dans la tète suffisiat ...
3. les atrocités, c'était les américains, avec leurs tapis de bombes sur Koeln, Muenchen, Dresden , Berlin .... avec leurs bombardiers géants B52 ... ils ont détruits les chemins de fer. les camps de travail, ( Arbeitslager) ne sont plus ravitaillés. les criminels sont américains.
4. aucune autopsie n'a été produite lors du procès de Nuernberg. too bad.
5. il n'y a jamais eu 6 000 000 de morts, tout au plus 50 000 . mais le business de la shoah a intéret à gonfler la facture.
enfin, les sionistes détruisent l'allemagne. ils ont imposé à Allemagne de prendre tous réfugiés pour se faire pardonner de crimes qu'elle n'a jamais commises. la société "multikulti" qu'ils ont imposé à allemangne est un désastre.
Sionistes, cancer mondial, peste universelle.
Viva Palestina.
Bref, ces hâbleries infondés, auraient chez les uns et les autres un certain écho, influencés par l'injustice subie par le peuple palestinien. En vérité, il faut respecter la vie humaine ou mieux la vie tout court. Ainsi que la mort. De prime abord, 50000 chiffre déjà effrayant, représentant les morts à Gazza n'est pas peu. Ensuite, il faudra se rendre à l'évidence que manipuler l'Histoire à une échelle si "stratosphérique" ressort tout simplement de l'illusoire voire du délire.
J'y étais à Dachau et j'ai vu par mes propres yeux de mortel les outils de torture, les étoiles jaunes et les triangles roses, rouges et autres couleurs, une solution finale, machine à tuer ultra organisée et sophistiquée, pour reduire l'humain à une batterie et le recycler après d'une façon presque machinelle, les chambres à gaz non étanches, ridicule théorie, sont hermétiques en béton et dotées de portes blindées, on fait même croire par le biais de douchettes fixées aux plafonds que le prisonnier allait prendre une douche, pour ensuite faire entrer le gaz par un trou au fond. Les murs sont rayés par les ongles de gens agonisant voulant échapper à la mort par asphyxie. Terrible sort.
Respectez l'humain !
Tous ces morts ne le sont pas, moins humains que les palestiniens ou les arabes morts pendant le conflit, ou dans d'autres circonstances malheureuses et horribles. Vous reprochez aux autres ce que vous-même vous faites, et sans modération aucune !
Et respectez un tant soit peu l'intelligence du tunisien, ou bien iriez vous nous sortir l'autre blague, du Petit-Cou, avec son diplôme d'avocat falsifié et sorti, de surcroît, d'une université française, votre bête noire et pour votre esprit éclairé source de tous nos maux et malheurs !?
"MA7SOUB 3anna el Bousta w inda tamwiile yabbay 7anni" !
Il a dit quand H&M est parti, ma7soub 3anna friperie yabbay 7ani !
Il a dit quand Jumia est partie, ma7soub 3anna el soOo9 yabbay 7ani !
Le tour à qui maintenant ?
Benetton x
SG (loading)..
Et la liste est longue ! Jusqu'au dernier. Zanga zanga, dar dar. Restons "jraba" safi yal kho !
'? propos de cette lâcheté intellectuelle que seuls des imbéciles heureux à la sauce tunisienne ont pu surclasser, témoigna, après coup bien évidemment, un pasteur allemand quant aux atrocités commises par le régime criminel nazi pendant la WW2 et que certains de nos chers négationnistes, adeptes comme susmentionné de harissa ainsi que d'autres produits de toute vraisemblance hallucinogènes, jureront par les noms de tous les Dieux existants et inexistants, la non-existence.
"Quand ils sont venus chercher les communistes, je n'ai rien dit, je n'étais pas communiste.
Quand ils ont enfermé les sociaux-démocrates, je n'ai rien dit, je n'étais pas social-démocrate.
Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, je n'ai rien dit, je n'étais pas syndicaliste.
Quand ils sont venus me chercher, il ne restait plus personne pour protester."
Ces petits minus habens ne comprendront jamais l'effet domino dévastateur qui guette l'économie tunisienne, déjà petite et limitée, en l'absence d'un climat de confiance et la persistance de ces effrayants signaux d'alarme, venus de l'extérieur comme de l'intérieur. Elle sera sans aucun doute vouée aux plus tristes des destins ! Car des partenaires et des investisseurs qui fuient, avec leur capital, avec des emplois, ceux-ci ne risquent pas de revenir à la terre promise de sitôt. Fiché S, on n'est plus considéré comme partenaires, et ce, pour un bon moment ! La confiance, comme disait J.-P. Sartre, elle se gagne en gouttes et se perd en litres. Des gouttes récoltées des décennies durant par les efforts de tunisiens véreux se souciant de l'image de la Patrie et qu'ils n'ont pas hésité à servir, eux qui pour la plus part sortaient des plus grandes écoles et universités françaises. Aujourd'hui c'est tout le contraire, on accepte l'humiliation pour avoir une place d'immigration je ne sais où, pire on se félicite d'avoir un autre passeport que celui Tunisien.. si ceci n'est pas révélateur de la décadence et du malaise tunisien..
On devient peu à peu mais à pas sûrs des marginaux, des misérables, notre modèle c'est l'Iran ou/et Cuba avec un ayatollah Fidel des plus illustres, un compétent !
Ya khaybat-al-mas3a !
Ya7ya hAdhAka, w hAdhAka, w hAdhiiki, yabbay 7anni !
W Rabbi yfarej alina w alihom w 3al jami3, ey n3am, al-jami3 !
Les véreux quand à eux, ces rapaces d'aujourd'hui et d'antan, aux multiples facettes et passeports, l'histoire leur consacrera une petite note de bas de page après un beau cul-de-lampe.
- Pour répondre à ses besoins de travail, une entreprise voit deux possibilités s'offrir à elle:
a) embaucher les travailleurs en interne (CDI, CDD, etc.) ;
b) recourir aux services d'un prestataire externe --> travail en sous-traitance
-->
Les entreprises étrangères installées en Tunisie préfèrent recourir aux services d'un prestataire externe Tunisien (travail en sous-traitance). Pourquoi? Réponse: afin d'évier tout conflit avec le code du travail tunisien et avec les syndicalistes, etc., etc., etc.
-->
Premier Fazit: C'est une faute d'imposer d'une façon implicite aux entreprises étrangères installées en Tunisie la nouvelle réforme du code du travail tunisien et de l'abolition de travail en sous-traitance, --> de leur imposer ainsi d'embaucher leurs employés/travailleurs en interne, c.à.d. en CDI, CDD, etc.
B) Changer de perspective:
Il faut comprendre que pratiquement aucune entreprise étrangère installée en Tunisie n'embauche ses employés/travailleurs en interne. Elle préfère le travail en sous-traitance par des contrats signés avec des entreprise sous-traitantes Tunisiennes. En d'autres mots: l'entreprise étrangère installée en Tunisie paie un salaire disant de 1000 euros par travailleur en sous-traitance au partenaire Tunisien ( c.à.d à l'entreprise sous-traitante Tunisienne) et se libère ainsi de la charge de human resources management (La gestion des ressources humaines:, travailleurs/employés)
-->
Que fait le partenaire Tunisien? Et maintenant, retenez votre souffle: Oui, il garde 700euros dans sa poche et ne donne que 300 euros au travailleur Tunisien qu'il emploie en CDD (contrat à Durée Déterminée)
-->
Et pourquoi l'entreprise sous-traitante tunisienne embauche seulement en CDD? Oui, afin d'imposer de maigres salaires aux travailleurs et maximiser injustement ses gains nets (qui restent souvent dans des banques étrangères) --> Et le travailleur qui se rebelle est tout-de-suite Congédié...
->
Exemple: Au temps où j'étais étudiant en Tunisie, j'ai travaillé pendant les vacances pour une firme italienne par l'intermédiaire d'une entreprise sous-traitante Tunisienne. Oui, l'entreprise sous-traitante Tunisienne me donnait seulement 30% de mon salaire qu'elle recevait de la firme italienne (j'ai fait une petite recherche auprès de la Firme italienne) . En plus l'entreprise sous-traitante Tunisienne gardait mon gain des heures supplémentaires à 100% pour elle.
-->
- Une fois et par hasard, le propriétaire de l'entreprise sous-traitante Tunisienne est passé faire un tour dans les ateliers de la firme italienne. Alors j'ai osé l'aborder et je lui ai dit que je travaillais souvent 12 heures par jour et que je ne suis payé que seulement pour 8 heures, --> Sa réponse était très simple: c'est à prendre ou à laisser. Je n'avais aucun autre-choix que d'accepter puisque j'étais embauché en CDD (contrat à Durée Déterminée).
C) Je reviens aux données de l'article ci-dessus:
- Je cite: "Une absence de réaction gouvernementale"
-->
Moi si j'étais le Premier Ministre, j'aurais imposé des contrats en CDI (Contrat à Durée Indéterminée) après deux ans en CDD (contrat à Durée Déterminée) auprès des propriétaires des entreprises sous-traitantes Tunisiennes. Et de faire profiter le travailleur tunisien en sous-traitance d'au moins 70% des salaires accordés par les entreprises étrangères.
-->
En Allemagne les contrats CDD devraient devenir en CDI à la fin de le 2ème année.
- Le problème de nos gouvernements depuis le putsch est évident, on voit souvent des Ministres mal à l'aise, crispés, assis les mains sur les cuisses en face d'un Président de la République qui parle en monologue et qui ne font aucune proposition par peur de je ne sais quoi. Et Après-quoi ils nous disent: "je vais tout faire conformément à la vision du Président de la République".:
-->
Où sont passés tous ces Ministres et hauts-fonctionnaires limogés entre-temps et qui nous chantaient en permanence leur chanson habituel "je vais tout faire conformément à la vision du Président de la République" et qui n'ont rien fait de grand ou de petit? La réponse est évidente....
Dr. Jamel Tazarki, Mathématicien Résident à l'étranger
C'est dans l'intensité, la régularité et le renouvellement du débat socio-politique / -économique que se forge le gouvernement du peuple. La bonne santé de notre jeune démocratie tunisienne se mesure à ses contre-pouvoirs. Voilà pourquoi l'indépendance des médias, de la justice, l'activité syndicale et la qualité du débat parlementaire concernent tous les Tunisiens.
on loue l'ingénieur comme on loue une grue de chantier: à la journée.
vers 35 ans , il est trop vieux. on le jette dehors ....
ces marchands de viande kasher, vont crier sur tous les toits: y a pénurie de compétences ...
La Tunisie doit s'adapter rapidement a ces changements. La nouvelle configuration de l'industrie mondiale est favorable a la Tunisie mais on doit agir pour profiter des opportunités qui se présentent dans des domaines telle que les énergies renouvelables, l'électrification des transports, l'hydrogène vert...
l'automobile chinoise va envahir le monde comme ils l'ont fait en éléctronique.
les constructeurs UE, vont se contracter, puis disparaitre.
TN doit produire des voitures, pas des tresses.
mais pour çà il faut de VRAIS ingénieurs ,pas des polytechniciens qui font des maths inutiles et portent l'uniforme de l'armée française ...
Je reviens de Londres ya hlililili ya hlililili
Wallahi Wallahi en Tunisie on est au paradis.
Allez courage encore 5 ans looool
Benetton, call centers, marchands de viande ( body shopping), grandes surfaces .... tous venus vous exploiter, s'enrichir sur vos dos..
bas salaires ne veut pas dire, brader le pays.
ils doivent réinvestir, au moins une partie de leurs bénefs, sur place, et exporter des produits TN.
a win win situation, otherwise it won't work.
WAKE UP !!
It is restructuring after a hefty loss of $250 million.
Nothing to do with Tunisia's financial situation or social upheavals.
If you're not able to decipher what they are saying through this, then go back to sleep. Thanks.
It's beyond your level of understanding.
Slay bestie!
Si nous prenons compte des centaines de grèves, qui propulsèrent la NATION, en tête du podium des pays à grands risques, le dernier des crétins verrait aussi clair que l'eau de roche, la raison du chaos actuel. !!!
Cela déclencha, aussitôt, un exode sans égal, d'une grande majorité d'investisseurs étrangers, qui déguerpirent sans demander leur reste.
Toutefois, il est vrai que la situation financière de Benetton est loin d'être enviable.
Les fermetures de boutiques en Europe ne se comptent plus
des philathropes , quoi ....
C'est erroné de dire que le gouvernement tunisien ne fait aucun effort pour préserver les emplois des uns et des autres, vous n'en savez rien...
ainsi a décidé Ali Baba , qui a ouvert les portes à ces xploiteurs.
C'est exactement ce que les tunisiens veuillent connaître.
Que tout le monde sache que ces entreprises étrangères ne paient presque rien en impôt sur les bénéfices. Leurs gains sont transférés ailleurs sans que la Tunisie ne les voit.
En rapport avec l'administration, les entreprises étrangères sont de loin mieux loties que les entreprises locales.
Si Benetton quitte notre pays c'est qu'il y a une concurrence assez rude entre les grand groupes internationaux et une baisse de la demande en rapport avec la pauvreté qui augmente en Occident. Il ira peut être dans un pays ou le travailleur n'a pas de quoi acheter un bout de pain.
En vouloir à nos dirigeants de n'avoir rien offert pour retenir Benetton et citer la France qui en 2008 avait offert des avantages substantiels à Arcelor Mittal pour ne pas fermer certaines usines du groupe. Que tout le monde sache y compris l'auteur de l'article que ArcelorMittal c'est le plus grand sidérurgiste de France et de l'acier dépend toute l'économie, bâtiment, construction mécanique, automobile, navires etc.. alors que Benetton n'achète même pas un fil fabriqué en Tunisie.
Malgré les sacrifices de la France avec Arcelor Mittal, ce dernier n'a pas hésité à fermer usine après usine.
La Tunisie doit repenser son modèle de développement économique et rompre avec ces pratiques qui tiennent l'employé tunisien pour "esclave" libre qui doit être exploité jusqu'à l'os.
sioniste veut dire exploiteur, suçeur de sang ...
les bénefs sont exportés en devises, qui iront aider isra-HELL à massacrer les palestinos.
pas un shékel pour isra-HELL
aucune, je dis bien aucune.
le secteur privé dans la compétitivité. Tu ne produit pas tu reste chez toi. ce n'est pas comme dans le public où on peut se permettre de glandouiller sans rendre de compte.
ce que vous oubliez d'indiquer si l'impact de la crise textile dans le monde depuis 2024 avec une baisse de 10% sur le plan mondial, allez voir en Turquie, allez voir au Bengladesh (le low cost du textile où ils sont)...
le groupe dirigé par Claudio sforza est en crise depuis 2022 et est sur un plan de redressement sur 4 ans. la perte est de 230 millions d'euros cette année. ils ont fermé des centaines de magasins à travers le monde. les sites de serbie et de croatie seront aussi fermés.
voilà ce type d'infos pouvaient mieux cadrer l'article !
En Tunisie les années noires ont déstabilisé les investisseurs étrangers.
Ce comportement n'est pas spécifiquement destiné pour les entreprises installées dans notre pays.
Le pire c'est qu'on n'en est qu'à la 4ème de ces années obscures. Le tunnel semble bien long.
Cours suspendus dans différents gouverneras, où la pluviométrie est intense
Qu'est-ce qu'il a pu arrivé à cette malheureuse ?
L'enquête nous le précisera plus tard.
Ma compassion, mes souhaits que Allah le tout puissant accorderait sa miséricorde à cette malheureuse martyre.
Allah yarhamouha.
Car cette histoire de gouvernement silencieux ne tient pas la route
Pour ce, je vous invite à chercher dans Google.it. (google Italie) et poser la question suivante :
"dove andrà benetton dopo tunisi ?"
Des tas de sites italiens économiques et financiers vous répondront gratuitement et si vous utilisez l'application "Google traduction", pour ceux qui ne comprennent pas l'italien, en vue de traduire les analyses proposées, vous serez informés avec force détails sur les véritables raisons économiques qui ont poussé au départ Benetton de notre pays, industriel qui ferme également des usines en Italie et ailleurs. Vous serez également mis au courant des actions qu'il a proposé pour laisser le moins de personnel tunisien sur le carreau.
Le secteur du textile n'étant malheureusement pas à l'abri des tendances et des fluctuations de la mode, il n'est pas rare que des grands noms de l'habillement subissent les contre-coups des caprices de ce marché en perpétuel mouvement.
Bien que ce contexte soit différent, notamment parce que l'employeur ici est étranger, cet exemple illustre parfaitement la détermination qu'un gouvernement peut avoir face à la menace de mises en chômage massives. Cela rejoint l'idée que les autorités doivent jouer un rôle décisif et rapide dans ce type de situations pour protéger les travailleurs.
Il serait plus judicieux de parler de la faible productivité de la Tunisie, des contraintes logistiques et fiscales, de l'administration lente et corrompue...
Le Ministre des affaires étrangères en visite à Rome aurait certainement discuté de ce départ avec son homologue italien. Il y a certainement un manque d'informations du public mais l'essentiel est de parvenir à un accord.
Si Benetton décide de partir après plus de vingt ans d'activité en Tunisie c'est qu'il y aurait de sérieux problèmes à identifier qui pourraient être liés au marché, à la concurrence étrangère, à des problèmes intrinsèques au groupe ou encore à notre environnement fiscal et social devenu inadapté. A la partie tunisienne et estrangère de nous éclairer.
Le groupe benetton subit une chute vers la faillite et ferme partout des usines dans le monde.
Le climat des affaires n'a rien à faire dans cette fermeture, c'est plus tot un escros qui jette les clefs sous la porte et laisse des milliers de pauvres filles démunies sur le carreau.
Si il n'y a pas véritablement une vision claire et une politique basée sur la restauration de la confiance..
C'est prévisible que les investisseurs partent
les bénefs en devises, au lieu de les réinvestir sur place, ils les exportent = sortie de devises, et vont soutenir isra-HELL à massacrer les Palestinos.
je dis:
pas un shékel pour isra-HELL !!
Meme moi qui voulait ouvrir une petite unit2 de production de l industrie , j ai repouss2 au vue de l imposition
"Depuis 2013, Benetton a accumulé des pertes de plus d'un milliard d'euros.
Le chiffre d'affaires de Benetton s'est élevé à 1,09 milliard d'euros, pratiquement inchangé par rapport à 2022. Le groupe a essuyé en outre une perte opérationnelle (Ebit) de 113 millions d'euros. La holding familiale Edizione compte soutenir «le plan de réorganisation et relance de Benetton Group en investissant 260 millions d'euros dans les prochaines années», après avoir déjà investi 350 millions au cours des trois années précédentes, selon les mêmes sources. Luciano Benetton, 89 ans, avait annoncé samedi son intention de lâcher la présidence du groupe familial italien, accusant son directeur général d'avoir laissé «un trou de 100 millions d'euros» après quatre années passées à la tête de la célèbre marque de vêtements.
«J'ai fait confiance et j'ai eu tort. J'ai été trahi au sens propre du terme. Il y a quelques mois, j'ai compris que quelque chose n'allait pas et que l'image du groupe que la direction nous présentait lors des réunions du conseil d'administration n'était pas réelle», avait indiqué Luciano Benetton dans un entretien au Corriere della Sera.
On vit un monde de traîtrise à ciel ouvert.
Personne n'est épargnée. Notre monde de profit. ...
Hahahahahaha
Mais heureusement avec les 3 500 employés virés on va en avoir des entreprises communautaires qui vont pousser comme des champignons.
Mais l'attractivité de l'économie tunisienne pour les investisseurs étrangers est en chute libre depuis les années 2005.
Les investissements directs étrangers sont généralement attirés par les caractéristiques économiques fondamentales des pays d'accueil : l'existence et la taille du marché, la stabilité politique et économique, la libéralisation des politiques commerciales, l'état des infrastructures et des institutions, etc., .
L'inexistence de ces facteurs jugés essentiels dissuade généralement les projets d'investissement à moyen et long terme de la part de toute firme multinationale.
C'est précisément le cas de BENETTON TUNISIE; dans ce cas précis, il s'agit essentiellement du manque de confiance dans la capacité des autorités tunisiennes actuelles et du système socio-productif tunisien à garantir un environnement d'affaire sécurisé et stable : bonne gouvernance, fiscalité avantageuse, justice crédible et garantie des droits de l'investisseur, lutte effective contre la corruption, transparence et dématérialisation des opérations administratives notamment celles liées aux flux import export, amélioration des cadres politiques et réglementaires......
Il est à rappeler que tous les ministres tunisiens de l'économie de l'industrie et de la coopération internationale n'ont cessé depuis 12 ans de promettre des améliorations radicales au niveau de la lutte contre la corruption notamment douanière, contre la recherche de rente (népotisme et clientélisme), de l'instauration de la crédibilité des institutions de régulation économique financière et juridique, et d'instaurer une véritable dynamique des réformes.
BENETTON est bien plus perspicace et réaliste que les autorités tunisiennes : les récentes mesures affectant la qualité du climat de l'investissement en TUNISIE engendrent MECANIQUEMENT un comportement de recherche d'avantages personnels de la part des entreprises locales et de nombreux agents de la fonction publique. Les frais supplémentaires supportés par BENETTON depuis deux décennies, et engendrés par les bakchichs, n'ont cessé de croitre, aloursdissant considérablement les couts d'exploitation sur le site tunisien.
En outre, et élément majeur, BENETTON n' a PLUS CONFIANCE en l'avenir de l'économie tunisienne: la crédibilité et l'éfficacité percue des politiques publiques tunisiennes sont jugées insuffisantes au regard d'autres économies comme le Maroc ou le sénégal , destinations prévilégiées par le repositionnement de BENETTON.
dernier éléments fondamental de la décision de BENETTON de se retirer de la Tunisie : l'amélioration du climat d'investissement en Tunisie n'est pas encadré par un processus stratégique mais par des actions ponctuelles confuses voire contradictoires et qui relèvent de l'amateurisme; en particulier l'efficacité et la crédibilité des institions tunisiennes chargées des programmes d'amélioration de l'attractivité de l'économie sont analysées comme tres insuffisantes notamment au niveau des axes programmatiques suivants
Amélioration de la capacité de coordination entre institutions et cohérence des politiques publiques.
Cohérence et pertinence des lois en matière de prévention de la distorsion des facteurs d'investissement
Politiques de règlementation et fiscalité
La croissance ne se decrete pas , tout n est question de perspections mais aussi de chiffre dur , si la Tunisie coute moins chere pour des job a faible added value , les entreprises restent sinon c est la concurence mondial .
Peut etre faut il sortir du textile et allez sur l industrie et de preference militaire mais pour cela il faut des ports , des trains etc etc ... et une taxation avantageuse .
il faut etre business friendly et pas communiste
bon débarras !!
Les complots contre l'Algérie et la Tunisie sont en plein essor il ne faut pas céder tout ça va se retourner sur leur figure il suffit juste d'entre patient .

