Le président de la Ligue tunisienne de défense des Droits de l’Homme (LTDH), Bassem Trifi a lancé, jeudi 12 septembre 2024, lors d’une conférence de presse, un appel aux autorités, réclamant la libération des détenus d’opinion, les journalistes et toutes les personnes incarcérées sur la base du décret-loi 54.
Bassem Trifi a estimé que cela était d’une importance capitale en pleine campagne électorale. « On prétend aujourd’hui que le pays vit dans un climat démocratique. Le discours officiel affirme que les libertés sont garanties et qu’il n’y a aucun recul sur les acquis de liberté d’expression, de justice indépendante, etc. En réalité, aujourd’hui à la veille de l’élection, la situation est effrayante et on ne peut donc pas dire qu’on pourrait tenir un scrutin démocratique, intègre et transparent ».
Le président de la ligue a, de ce fait, indiqué que celui qui dit qu’on est en période électorale, se doit de commencer par proclamer une grâce pour les prisonniers d’opinion, les journalistes et les personnes incarcérées sur la base du décret-loi 54. « C’est un appel que je lance au pouvoir prétendant que le climat est démocratique, que les élections sont intègres et respectent les institutions et l’Etat de droit, que la justice est indépendante… Non ! Nous réclamons la libération de tous les prisonniers politiques et d’opinion, nous réclamons la fin de la mainmise sur le pouvoir judiciaire et des instances indépendantes, dont l’Isie, nous réclamons l’arrêt du harcèlement des journalistes… ».
C’est ainsi que s’est exclamé Bassem Trifi estimant qu’en l’absence de ces conditions, le discours officiel sur les libertés et la démocratie ne tient pas la route.
I.L
Regardez qui parle
Le fils qui a hérité sa place de son papa
Sa declaration du 27 février 2023 avec Malek Khaldi durant « La Matinale » sur CHEMS FM , et relayée par B.N , dans l'article de S.G ,publié le 27/02/2023 | 11:26 et dont le titre (TEXTO) :'Bassem Trifi : des juges subissent de grandes pressions de la part du pouvoir politique'
Bassem Trifi a indiqué (TEXTO de l'article de B.N) « Des juges d'instruction chargés de dossiers épineux, sensibles et liés à la politique ont affirmé à des avocats qu'ils subissaient de grandes pressions de la part du pouvoir politique.>>.
QUESTION : doit il etre pousuivi?.
FAIT N°2
Le communiqué conjoint signé par la ligue TRIFIENNE et autres 'associations' publié le 25 Fevrier 2023 ,et dont le titre TEXTO du site de la ligue:
'Communiqué conjoint: La Tunisie ne sera pas fasciste comme le veut le Président de la République'
(Donc d'après le communiqué le PRESIDENT veut UNE TUNISIE FASCISTE!!!!)
QUESTION : Les signataires du communiqué doivent ils pousuivis?.
AFFAIRE N°3
'Bassem Trifi refuse d'être auditionné par la brigade nationale de lutte contre le terrorisme'
(A titre de renseignement) Article de B.N du 28/04/2023 | 08:23
Question : Un avocat pourrait il refuser une demande d'audition, A TITRE DE RENSEIGNEMENT (ALA SABIL AL ISTERCHED), et non en tant que témoin ou suspect auprés d'une brigade de lutte contre le terrorisme qui exerce sous l'ordre du parquet.
LES REPONSES DANS UNE SEMAINE, UN MOIS , OU UN AN .
On les libère aussi, en leur accordant une pension à vie
"réclamant la libération des détenus d'opinion, les journalistes et toutes les personnes incarcérées sur la base du décret-loi 54."