
Les partis Attayar, Ettakatol et Al Joumhouri ont rendu public un communiqué, ce dimanche 28 novembre 2021, pour revenir sur la situation politique, notamment, après quatre mois de prise de pouvoir par le président de la République Kaïs Saïed, et plus particulièrement, à la suite de son allocution prononcée lors de sa rencontre avec le ministre de l’Intérieur.
Les partis signataires ont indiqué que Kaïs Saïed avait dérogé à la constitution lorsqu'il l'avait effectivement suspendue en vertu du décret 117 dans lequel il s'est attribué le pouvoir de prendre des décrets sans la moindre possibilité de recours.
Ils ont dénoncé le dernier discours du chef de l’Etat chargé de tensions et d'accusations contre ses opposants, approfondissant ainsi la division au sein de la société, tout en axant l'autoritarisme et encourageant le discours de mépris et de distorsion.
Les partis en question considèrent que c'est cette division interne qui est derrière l'affaiblissement des institutions et leur paralysie, ce qui porte atteinte aux fondements du système démocratique participatif et fragilise l'État et sa souveraineté
Les signataires ont critiqué les dernières nominations dans le corps des gouverneurs basées uniquement sur l’inscription dans le projet illusoire du président sans tenir compte de la compétence.
Par ailleurs, les signataires ont fait part de leur préoccupation quant au flou autour de la loi de finances complémentaire 2021, en ce qui concerne la mobilisation des ressources et le retard dans la promulgation de la loi de finances de 2022, soulignant qu'il n'est pas possible de mobiliser des ressources ni de créer de la croissance dans le cadre des mesures exceptionnelles.
Ils ont indiqué que l'Etat ne peut être géré avec des slogans et en absence totale de toute vision et de plan d’actions, soulignant la nécessité pour la Tunisie de sortir de la situation exceptionnelle pour mettre en œuvre des réformes sociales et économiques profondes qui empêchent l'effondrement de l’Etat.
S.H
Ce sont ces gens là qui ont fait le lie de l'islamisme et des Khwanjias.
En commençant par les défunts : Bourguiba (fin de règne), Ben Ali et Béji Caied Essebsi BCE (le deuxième plus grand traitre de la révolution, il a pactisé avec le premier traitre Kherriji (Ghannouchi) en aout 2013, dans l'hôtel chic de Paris : le Bristol, dans la suite du milliardaire et ripoux Slim Riahi, rencontre organisée par Nabil Karoui, patron de Nesma, qui s'avèrera co-fondateur de Nidaa Tounes. BCE a permis le retour des RCDists$, dont Abir Moussi et a tout fait pour favoriser son fils Hafedh)
En passant par Ghannouchi (cheikh bac moins trois, inculte et profondément malhonnête) et Abir Moussi (comme tout RCDist, une opportuniste primaire, mais elle était admirable dans son combat contre les frérots) et Marzouki le tartour, oueld el harki,
En continuant par Nabil Karoui (monsieur makarouna), Makhlouf (un voyou de première) et Mechichi (un incompétent qui a pactisé depuis le début avec les frérots et les klebs), etc
Plus précisément, la classe politique et les partis politiques sont tels que :
'?' Leur nombre dépasse 100, dont 18 représentés à l'ancienne ARP,
'?' Aucun ne fonctionne, en interne, de façon démocratique
'?' A part 2 partis (poubelles) antagonistes, qui se distinguent un peu des autres et sont en chute libre, les autres sont :
'?' Soit des « zéros-virgule », des satellites, à la botte de '?' , des opportunistes primaires, une pourriture
'?' Soit des « zéros-pointé », leur place est ailleurs
Donc, on s'en fiche de cette classe politique, de cette racaille.
On s'en fiche aussi d'un régime présidentiel. Ou avez-vous vu un vrai pays démocratique avec un régime présidentiel ? A part peut-être le cas particulier de la France.
On ne veut pas, PLUS, de za'im. Arrêtons de tergiverser et de tourner en rond, c'est un cercle vicieux : le serpent qui se mord la queue. On veut un PEUPLE SOUVERAIN, bien représenté.
Pour cela, il faut absolument changer le code électoral :
Le régime en Tunisie est essentiellement parlementaire, avec des prérogatives limitées à la présidence de la république (défense nationale, diplomatie'?'). C'est un régime moderne et il n'est pas mauvais. Mais il est un peu fragile et pas très stable (voir la 4ème république en France). Il a besoin d'ajustements.
Autre constat : il y avait un gros problème au parlement : des partis plus ou moins représentatifs font ce qu'ils veulent'?' Et il devient nécessaire et urgent de limiter le rôle des partis dans le fonctionnement de cette assemblée.
Donc, en définitive : le scrutin législatif actuel (proportionnelle au plus fort reste) est inadapté.
Pour balayer cette racaille et la faire dégager par la petite porte, il suffit d'adopter un scrutin législatif plurinominal, majoritaire, à plusieurs tours.
De plus, ce mode de scrutin garantit, in fine, que les candidats élus soient tous élus par une majorité d'électeurs. Ce qui est un des buts ultimes de toute élection. Et cela permettra de vraiment renouveler la pourriture de l'ARP et la classe politique actuelle.
$ N'oublions pas les caciques (bien connus) du régime Ben Ali qui ont marchandé leur allégeance pour Ennahdha contre une certaine immunité.
Chacun s'efforce de donner son opinion alors que personne n'est concerné par le sujet.
Ils ont eu la chance accidentelle chacun à accéder au pouvoir sans briller, sans le moindre exploit, mais quand ils sont exclus, ils deviennent les champignons des vedettes politiques !
Ils rejettent les nominations !
Le président est tenu à annuler ses décisions ?!
Réveillez-vous bande de loubards, on a rien à cirer de vos options, c'est un chien qui aboie au passage de l'avion.
Le gouverneur y était invité.
Il est arrivé dans une tenue indigne du représentant du Président de la République.
Très mal habillé, sans aucune prestance, il s'est fondu parmi l'assistance comme n'importe quel citoyen présent.
Je suis resté étonné par cette apparence très peu soignée du représentant du Chef de l'état.
GROW UP !!!
Cela dit, ils ont bien "grandi", car de la dimension du " crow", ils ont atteint la dimension du vautour... à tel point qu'ils adoptent à présent le cri de ce denier...
Ainsi, comme vous semblez admirer tous ces singes, je me permets de vous gratifier de cette autre fable de La Fontaine :
LE SINGE
Il est un singe dans Paris
A qui l'on avait donné Femme.
Singe en effet d'aucuns maris,
Il la battait. La pauvre Dame
En a tant soupiré qu'enfin elle n'est plus.
Leur Fils se plaint d'étrange sorte,
Il éclate en cris superflus :
Le Père en rit : sa femme est morte.
Il a déjà d'autres amours,
Que l'on croit qu'il battra toujours.
Il hante la taverne, et souvent il s'enivre.
N'attendez rien de bon du Peuple imitateur (1),
Qu'il soit singe ou qu'il fasse un livre :
La pire espèce, c'est l'auteur.