
Rarement on aura vu un chef du gouvernement qui ne maîtrise pas à ce point sa communication. Hichem Mechichi aura réussi, en un peu plus de trois mois, à devenir un maître dans la gaffe. Le naturel avec lequel il dit tout ce qu’il ne faut pas dire est impressionnant, alors que d’autres ont dû travailler pendant des années pour atteindre un tel niveau. Après l’inoubliable discours post-Kamour où il a divisé le pays et a déclenché des manifestations dans plusieurs régions, voilà qu’il enchaîne avec un magnifique : « Qui dit immigration clandestine dit terrorisme ». Mettre autant de préjugés, autant de choses fausses, autant de préjugés et de lieux communs en si peu de mots est sûrement un talent inouï.
Hichem Mechichi s’est fait corriger par l’intervieweur à propos de cette malheureuse phrase. Il est loin le temps de Chaker Bechikh et des gentilles interviews de la Wataniya 1. Une telle phrase dans la bouche du chef du gouvernement d’un pays du sud de la méditerranée ne pouvait passer sans être reprise. Une phrase que les leaders les plus à droite de la classe politique européenne hésiteraient longuement avant de prononcer, pour ne pas tomber dans l’amalgame, pour ne pas heurter la sensibilité de personnes souvent en souffrance, qui fuient des guerres et des famines. Toutes ces considérations ont échappé à Hichem Mechichi et il est venu, allégrement, mettre les pieds dans le plat. En plus, ce genre de phrases pourrait, à la rigueur, être prononcé par un dirigeant du nord de la méditerranée puisque ce sont eux qui reçoivent les flux migratoires. Là, c’est un dirigeant du sud qui établit sans vergogne une relation directe entre émigration clandestine et terrorisme, avec l’absolue certitude, et la pauvreté de la nuance de l’administratif qu’il est. Faut-il encore une preuve pour dire que cette interview n’a pas été préparée correctement ? Faut-il encore prendre des pincettes pour dire que Hichem Mechichi devrait s’abstenir de proférer de telles énormités ? Ou sera-t-on catalogués en tant qu’ennemis de la République juste pour avoir dit la vérité ?
Qui dit Hichem Mechichi en France dit manque de préparation et amateurisme à presque tous les niveaux. Il n’est pratiquement rien ressorti de la rencontre qu’il a eu avec son homologue français, Jean Castex. Il n’a pas été reçu par le président Emmanuel Macron. Il a rencontré le président du Sénat français, Gérard Larcher, et le président de l’Assemblée française, Richard Ferrand. Autant dire rien de passionnant. Même les photos qui ont circulé de cette visite, publiées par la page de la présidence du gouvernement, ont desservi Hichem Mechichi et ont en donné une mauvaise image. Quand on voit l’étudiant de la Maison de Tunisie assis de cette manière-là, ou quand on voit que la délégation tunisienne assiste à une réunion en ayant amené juste ses mains, sans même un stylo ou un bloc-notes, on est en droit de nous indigner et de dire que c’est inadmissible, que la représentation de la Tunisie ne peut pas tomber si bas. C’était une visite protocolaire sans aucun relief. Un petit tour et puis s’en va pour notre délégation et notre chef du gouvernement. Et en plus, il est devenu un cas contact de Covid-19 !
Qui dit Hichem Mechichi en France dit absence totale de panache ou de vision. Quitter son confortable coussin tunisien semble être un exercice compliqué pour le chef de cabinet qu’il est. Il ne cesse de parler de nouvelle approche, de nouvelle manière de voir les choses et pourtant il refait les erreurs du passé, en utilise les procédés et fait même des gaffes inédites. En France ou ailleurs, il faut présenter une vision crédible, un projet Tunisie sur lequel il serait intéressant de miser et d’investir. D’ailleurs, la carte de l’immigration peut être jouée dans ce cadre pour tenter d’en tirer quelque chose et non pas être grillée de cette manière. Mais que peut-on présenter lorsqu’on constate que des centaines de procédures et de lois accablent encore l’investissement en Tunisie et que le gouvernement ne fait rien ? Que peut-on présenter de crédible quand on parle ouvertement de remplacement de ministres importants dans le gouvernement de Mechichi, sans même qu’il soit consulté ? Comment peut-on être crédible quand l’un des partis censés soutenir le gouvernement, Qalb Tounes, est le premier à descendre le projet de loi de finances en commission ? Nous ne sommes même pas capables de nommer un ministre des Affaires culturelles !
Qui dit Hichem Mechichi en France dit déliquescence de l’Etat tunisien qui ne sait plus s’imposer, communiquer ni même garder les formes. C’est une défaite de plus dans une longue série, et Hichem Mechichi n’en est même pas responsable. Nous avons tous, dans notre pays, normalisé les relations avec la médiocrité, avec l’à-peu-près et avec l’amateurisme. Nous continuerons à en payer le prix.


Ce poste auquel a été chargé par le président de la République,et qu'il ne pouvait refuser.
Mal entouré mal conseillé ,eux-mêmes n'en connaissent pas grand chose.
Lui reconnaître la lourdeur de la tâche à laquelle il est affronté,des crises à répétition, le torchon brûle entre des parties irresponsables plus 90 jours s'écoulèrent sans que ces nouveaux élus n'arrivent à s'entendre pour former un gouvernement.
Mr Michichi n'était nullement le candidat qu'il fallait, le concours de circonstance fût désigné, après cette turbulence politique inouïe, une crise profonde que le pays traverse .
Des chamailleries de tous genres, l'effervescence régionale qui n'en finit plus presque quotidienne, ce qui a engendré une déstabilisation gouvernementale
même si elle n'est visible ni reconnue .
Mr Achouri indulgence ne lui jeter pas la piérre car le contexte auquel il fût désigné n'était guère saint, les embûches se multipliaient, les sit-in de partout des foyers de tensions surgissent à travers le pays, où mettre la tête ? A quel saint se vouer ? pour apaiser toutes ces revendications, même les magistrats ne manquèrent pas l'occasion à descendre dans l'arène, ces sit-inneurs qui fermèrent les vannes au Cammour,voici un héritage qui lui laissèrent les précédents gouvernements, à ne pas oublier et ce récent blocage du centre de distribution gaz liquide (bouteilles) en plein hivers où une majorité de nos concitoyens ont urgemment besoin, c'est l'estocade, une hystérie généralisée la course vers l'anarchie.
Mr Achouri êtes-vous conscient du chantier que ce chef de gouvernement a hérité de tous les gouvernements successifs comment lui envouloir ? Résoudre cette montagne de revendications, accumulées depuis l'Aube de ce soulèvement, je dirais même depuis l'ère du Bourguibisme, oui la déficience était insurmontable, résorber ce contingent de demandeurs d'emploi, si comme vous demandez à monsieur Michichi de vider le lac de tunis à laide d'un seau !
Cette stigmatisation est incongrue, mal venue, je dirais même est déloyale et injustement attribuée, pour celui qui est extrémiste vous qualifierai du partipris, Cordialement Mr Achouri. (Manai )
Depuis une dizaine d'années, la majorité de cette génération non formée et abandonné par absence de programme de l'état. C'est cette jeunesse qui posent problème. Ils veulent tous quitter le pays or qu'ils sont un problème pour le pays d'origine comme l'étranger par l'absence de cette formation. Une jeunesse perdue, qu'on peut manipuler à souhait.
On attend les 100 jours de prise de poste mais le bilan est très médiocre.
le personnage n'a pas montré de carrure d'homme d'?tat, il semble limité surtout s'il n'est pas aidé par la classe politique...
ensuite, il ne faut pas oublier que c'est le choix du president et dans ce cas 2 possibilités:
- le président s'est trompé de candidat et dans ce cas, le président lui même n'est pas apte pour cette fonction
- le président a choisi le "president du gouvernement" en connaissance de cause (peut être pour éviter qu'on lui vole la vedette) et là aussi, c'est honteux de la part du président qui doit avoir l'intérêt de la Tunisie au-dessus de tout
dans tous les cas, pauvre Tunisie (les Tunisiens eux, ne récoltent que le résultat de leur vote; bonjour au passage à l'ARP)
Les réseaux sociaux plein de discours Daeschiens, il suffit de prononcer un mot en français, une architecture n'importe quoi, Ils vous sortent une haine invraisemblable et une ces ignorance
Mon dieu, mon dieu
Vous pataugez tous dans la choucroute.
Tel peuple, tel pays, tel dirigeants.
Allez-y prenez des leçons en diplomatie chez nos amis les marocains
Ce peuple ignore la chose plus importante dans notre société LA DIPLOMATIE
LA DIPLOMATIE '?TAIT EXCELL'?E PAR FEU BOURGUIBA.
C'est ce qu'on mérite que la mendicité
Ca est on est rassasié, c'est arrivé aux '?sophages. On en fait une crise de foie.
On en peut plus
Ras-le-bol de vos bassesses
Un chef de gouvernement a le devoir de défendre les siens même les haragas. Les tunisiens ne le payent pas pour défendre les politiciens français et italiens. Ils peuvent se défendre par eux-mêmes maisl malheureusement on voit que le journaliste français a plus d'empathie pour eux que leur chef de gouvernement ou de certains de leurs concitoyens.
il n'a pas vraiment gaffe il a dit que émigration clandestine rimait AUSSI avec terrorisme
après 12 années de dialogue et accompagnement des jeunes défavorises
je dirais que l'émigration clandestine de certains jeunes paumes favorise sans doute aucun le développement de la délinquance et de l'extrémisme au sein des sociétés européennes
la réalité va au delà des affirmations du chef de gouvernement au delà même de la compréhension de certains responsables européens
Alors, Monsieur, reçois ces quelques leçons quant aux positions françaises concernant la Syrie et Haftar et que tu n'as apparemment jamais saisies:
Saches d'abord, que comme tous les pro-merdolution qui nous ont mené à la merde actuelle, tu apppuies la chose et son contraire: Tu pestiférais contre Bachar qui combattais Daech et tu pestifères aujourd'hui contre les Daechiens et leurs appuis atlantistes (dont certains français). Tu applaudissais de leur côté quand il les combattait en héros pour sauver son pays. S'il partait, c'était Daech ou au mieux Al Nosra, ceux qui faisaient du bon boulot d'après Fabius.
Alors, choisis ton camp mon grand!
Même chose, je te signale que dans la même logique, la France a très longtemps appuyé la prétendue légitimité donnée par les atlantistes à Sarraj afin qu'il continue à envoyer des djihadistes contre Bachar. Les crédules, comme votre seigneurie, pensent que c'est pour libérer les peuples (peut-être comme furent "libérées" l'Irak et la Libye).
Découverts par leur propre peuple qui les soupçonne à juste titre de composer avec les daéchiens et Al Nosra (comme tu le dis si bien), ils changent leur fusil d'épaule et changent de camp. Ils ne craignent ni toi ni moi, mais craignent leur propre peuple qui peut les traduire en justice à la manière du procès Sarkozy. Ce dernier est trainé dans la boue comme un voyou pour l'équivalent d'un vol à l'étalage, et de surcroit sans plainte déposée; alors qu'en réalité c'est le procès de l'affaire "Kaddafi" qui lui est dressé. Non pas à cause du financement de sa campagne mais mieux encore, à cause de son intervention à Ben Ghazi. C'est que, contrairement à vous autres, le Peuple Français est un grand Peuple qui ne trahi jamais la terre dont il est issu.
Les décideurs français ont en effet distribué des visas d'études à tire-larigot et ont accepté tous les harragas arrivés sur leur territoire, mais c'était tout simplement un cadeau pour services rendus au peuple de traitres qui a préféré répondre à l'appel de la cabale. Il fallait que le tableau soit "rose" au départ de Ben Ali afin de mieux endormir tes semblables pour qu'il ne regrettent pas leur ancien président plus tôt que prévu. Aujourd'hui tout le monde peut le regretter que cela ne changera rien à la donne. Moi j'étais sûr qu'ils foutraient dehors tous les clandestins à partir d'un certain moment. Puis viendra le tour des immigrés dans une seconde vague et peut-être même une troisième qui concernera les bi (comme toi) lors de la première occasion de confusion (une guerre ou un changement important au niveau européen par exemple).
On avait montré depuis 2011 à nos prétendus intellectuels le dénouement de l'entreprise révolutionnaire sur tous les plans. Tout ce que l'on avait prévu s'est avéré vrai (on était très peu à le faire, et sous vos insultes). Mais nos intellos-merdeux ont préféré regarder les médias étrangers et croire que la Tunisie deviendrait la Suède (c'est ce qu'ils disaient tous). "Quand tu lui montres la lune, l'imbécile regarde ton doigt" dit un proverbe chinois.
Il faut dire que c'était presque légitime que les incultes instruits croient que l'on deviendrait la Suède. En effet, la politique de Ben Ali avait fait tant de miracles, qu'ils ont cru un instant que les miracles étaient choses courantes. Faites-en ne serait-ce qu'un seul aujourd'hui avec les dirigeants que vous avez élu et qui vous ressemblent. Les seuls miracles que vous êtes capables de faire sont des miracles de médiocrité.
La prétention des diplômés fut leur propre tombe. Ne l'appeliez-vous pas le bac-3? Faites mieux, ou seulement pareil, ou même un peu moins bien; vous, le ramassis de bac+12.
Les intelligences politique et géopolitique ainsi que la conception de programmes ne s'apprennent pas dans les universités ni dans les grandes écoles. Au moins auriez-vous compris cela, bande de prétentieux! j'ai peut-être bien plus que vos diplômes, mais jamais je n'aurais osé dire que je pouvais gouverner mieux que Lui. C'est peut-être à cause d'une petite intelligence politique dont vous êtes dépourvus que moi, je n'ai jamais lancé la pierre à Ben Ali, mais plutôt à vous autres!
Léon, Min Joudi Tounis Al Awfiya;
Résistant.
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.
Alors, Monsieur, je vais te donner quelques leçons quant aux positions françaises concernant la Syrie et Haftar:
Saches d'abord, que comme tous les pro-merdolution qui nous ont mené à la merde actuelle, tu veux la chose et son contraire: Tu pestiférais contre Bachar et tu pestifères aujourd'hui contre les Daechiens et leurs appuis atlantistes (dont certains français) qu'il a combattu en héros pour sauver son pays. S'il partait, c'était Daech ou Al Nosra au pouvoir, celle qui fait du bon boulot d'après Fabius. Alors choisi ton camp et arrêtes de sauter du coq à l'âne.
Même chose, je te signale que dans la même logique la France appuyait la prétendue légitimité donnée par les atlantistes à Sarraj car ce dernier était capable de les fournir en dihadistes pour la Syrie; comme l'avait fait un certain BHL qui a applaudi ta révolution et a appuyé les frérots en Libye.
Aujourd'hui découverts par leur propre peuple qui les soupçonne à juste titre de composer avec les daéchiens (comme tu le constates si bien), ils changent leur fusil d'épaule et changent de camp. Ils ne craignent ni toi ni moi mais craignent leur peuple qui peut les traduire en justice à la manière du procès Sarkozy. Ce dernier est trainé dans la boue comme un voyou pour l'équivalent d'un vol à l'étalage, de surcroit sans plainte déposée; alors qu'en réalité c'est le procès de l'affaire "Kaddafi" qui lui est dressé sous un voile pudique. Non pas à cause du financement de sa campagne électorale, mais mieux encore, à cause de son intervention à Ben Ghazi. C'est que, contrairement à vous, les Français sont un grand Peuple qui ne mettront jamais leur pays dans l'état où l'on se trouve pour des rancoeurs et des haines de tribaux régionalistes.
Les décideurs français ont en effet distribué des visas d'études à tire-larigot et ont accepté tous les harragas arrivés sur leur territoire, mais c'était tout simplement pour féliciter le peuple de traitres pour avoir répondu à l'appel de la cabale. Il fallait que tout soit "rose" au départ de Ben Ali afin de mieux endormir tes semblables pour qu'il ne regrettent pas leur ancien président plus tôt que prévu. Aujourd'hui tout le monde peut le regretter que cela ne changera rien à la donne.
Moi, j'étais sûr qu'ils foutraient dehors tous les clandestins à partir d'un certain moment. Puis viendra le tour des immigrés dans une seconde vague, et peut-être même une troisième qui concernera les bi (comme toi) lors de la première occasion de confusion (une guerre par exemple).
On avait montré depuis 2011 à nos prétendus intellectuels le dénouement de l'entreprise criminelle révolutionnaire sur tous les plans. Et tout ce que l'on avait prévu est arrivé (et on était très peu à le faire). Mais nos intellos-perroquets à diplômes pompeux ont préféré regarder les médias étrangers et se joindre à la prédiction qui leur disait que la Tunisie deviendrait la Suède. Plus con que nos intellos, il faut se lever de bonne heure!
"Quand tu lui montres la lune, l'imbécile regarde ton doigt" dit un proverbe chinois. Il faut dire que c'était presque légitime pour les incultes à diplômes de croire que l'on deviendrait la Suède car la politique de Ben Ali avait fait tant de miracles qu'ils ont cru un moment que ces miracles étaient simples à réaliser. Faites-en ne serait-ce qu'un seul aujourd'hui avec les dirigeants que vous avez élu et qui vous ressemblent! Les seuls miracles que vous êtes capables de faire sont des miracles dans la médiocrité.
La prétention des diplômés fut leur propre tombe. N'appeliez-vous pas Ben Ali le bac-3? Faites mieux, ou seulement pareil, ou même un peu moins bien; vous, le ramassis de bac+12.
Les intelligences politique et géopolitique ainsi que la conception de programmes ne s'apprennent pas dans les universités ni dans les grandes écoles. Au moins auriez-vous compris cela, bande de prétentieux! j'ai peut-être bien plus que vos diplômes, mais jamais je n'aurais osé dire que je pouvais gouverner mieux que lui. C'est peut-être à cause d'une petite intelligence politique dont vous êtes dépourvus que, moi, je n'ai pas lancé la pierre à Ben Ali, mais plutôt à vous autres!
Léon, Min Joudi Tounis Al Awfiya;
Résistant.
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.
Mechichi n'aurait jamais dû faire ce voyage, tout a été dit quelques semaines avant, par le Président Saied lui même.
Qu'est ce qui a changé depuis? Rien.
Mechichi n'aurait dû venir!
Bonsoir !
Est-ce cette visite est en réponse à l'invitation de son homologue français ?
Espérons que Mr. Mechichi apprendra de ses bourdes, il est encore jeune et peut devenir un bon leader s'il apprend de ses fautes. Lui et Mr. Saied doivent juste comprendre que l'émigration est une carte que la Tunisie peut jouer pour imposer ses intérêts, ils ne doivent pas aller en négociations avec un sentiment de mea culpa. C'est une carte pour la Tunisie et non pas contre la Tunisie.
Avec lui l'ambassadeur de Tunisie à Paris et tout le staff.
Mais qui l'a invité à Paris ?
Mechichi Jayichi