
Le ministre des Finances, Nizar Yaïche et le gouverneur de la Banque centrale de Tunisie (BCT), Marouen Abassi ont présidé, ce mardi 5 mai 2020, une cérémonie de signature d’une convention de prêt syndiqué pour un montant avoisinant 1,18 milliard de dinars (257 millions d’euros avec un taux d’intérêt de 2% et 130 millions de dollars avec un taux d'intérêt de 2,75%) qui sera remboursé sur trois ans.
Ce prêt, auprès de douze banques locales, servira au financement des besoins du budget de l’Etat pour lutter contre la pandémie du Covid-19. Le ministre Nizar Yaïche a expliqué que ce prêt est consacré pour faire face aux répercussions de la dégradation de l’activité économique, outre l’activation des mesures exceptionnelles mises en place par l’Etat pour trouver des accréditations supplémentaires et accompagner les entreprises lésées par le confinement sanitaire et préserver les postes d’emploi.
Dans le même contexte, M. Yaïche a insisté sur l’importance du rôle légué aux banques tunisiennes, notamment, la contribution dans la lutte contre ces répercussions économiques et l’allègement des charges financières pour les entreprises en leur apportant le soutien et l’appui nécessaires dans le cadre de la commission du soutien et d’accompagnement des entreprises lésées. Il a ajouté que la commission entamera l’examen des dossiers des différentes entreprises durant cette semaine, et ce, après la publication du décret fixant les critères d’octroi des aides.
D’autre part, le ministre des Finances a mis l’accent sur la nécessité d’accélérer l’activation du mécanisme de garantie et d’accorder les crédits directement après son entrée en vigueur cette semaine, soulignant que la valeur globale des crédits est de 1500 millions de dinars.
Pour sa part, le gouverneur de la BCT Marouen Abassi a félicité les douze banques participantes à cette opération, soulignant que la Tunisie passe par une période exceptionnelle nécessitant des mesures et des décisions exceptionnelles afin de consolider l’effort national visant à limiter les répercussions de cette conjoncture délicate sur tous les secteurs et d’alléger les charges financières pour toutes les entreprises, en l’occurrence, les PME.
S.H


1/ l'Etat ponctionne depuis 2018/2019 les trésoreries des banques avec pour conséquence l'assèchement des disponibilités des banques pour les entreprises.
2/ ne valait il pas mieux donner une garantie de l'Etat aux banques pour octroyer sous surveillance( à mettre en place) des ressources aux entreprises ou aux secteurs en difficultés.
Toutefois, il n'y a pas de morale à cette histoire.
Ce montage est totalement bénéficiaire aux banques et à elles seules. Elles empruntent a X et prêtent à l'Etat à X+ avec zéro risque quant à la défaillance du préteur.
A aacorder des prêts à l'Etat qui seront remboursés par le peuple et les retraités dont je fais partie
Ces recrutements irraisonnés dans les administrations de Tunis, sans niveau dinstruction ni compétence de surcroît ; maquillés par de faux concours inexistants pourtant parus dans les journaux ou dans des documents administratifs officiels, quoique des bâtiments (de constructions récentes juste avant 2011) de directions régionales, se trouvent sans cew bnvilles (du sud-est) mai vides d"employés, et même ceux existants ont suivi.le mouvement migratoire vers Tunis
S'agissant donc de recrutements pêle-mêle qui n'avaient comme seul objectif que de servir les campagnes électorales (fallacieuses) pour le populisme de nahdha et ce afin de recueillir le plus de votants possibles pour les législatives profitables en premier lieu au chef de bande ghanouchi.
Les tunisiens libres (de tout le territoire) ne peuvent pas être dupés, de cette manière débile et indécente par des mafieux, car leur gênes ont vécu quinze siècles d'histoire élogieuse et dont la magnanimité est devenu un instinct acquis et ce n'est pas aujourd'hui qu'on viendraient les duper ni les humilier voire coloniser et puis et surtout de massacrer l'économie tunisienne par des caprices destinées à s'accaparer du pouvoir et en faisant croire aux gens que Tunis est un Eden alors et sans besoin de preuve que Tunis est devenue à l'évidence une ville massacrée, surpeuplée, infecte, invivable et impossible à gérer par n'importe quelle municipalité au monde, ni par les japonais pris en référence par le ministre de la santé pour apporter des circonstances atténuantes à l'esprit de domination envisagé par nahdha pour avoir mainmise sur la capitale d'une part et sur les rouages de l'Etat tunisien d'autre part et satisfaire ainsi le voeux de linculte ghanouchi ( quatre-vingts ans) de gouverner à vie comme il l'a dit; et comme si le Président de la République n'existe pas pour lui ...
Sur 3ans!!!!!!!! La Tunisie oublie le remboursement des dettes et factures d importation de marchandises dont les fournisseurs de médicaments
L'argent va encore servir aux religieux et les salaires des fonctionnaires trop nombreux
L augmentation du coût de la vie va arriver