La politique Américaine confond vitesse et précipitation, nous d'abord le reste on verra.
L'histoire des fusées de Cuba n'est pas lointaine.
Comment voulez vous aujourd'hui que les Russes accepter l'inverse.
L'accord de Minsk à volé en éclats, les forces de l'OTAN sont aux portes de Moscou, voilà que maintenant sous je nais quel prétexte les Américains disent défendre leurs intérêts et celui de l'Europe sous entendu.
Réfléchissant un peut, si on retourne le problème côté proche Orient, le monde entier n'a pas bouger son petit doigt pour dire à Israël de revenir aux frontières de 1948, je vous laisse réfléchir et c'est pourquoi dans ce monde pourris le dicton deux poids deux mesures reste toujours d'actualité quand sa arrange les grandes puissances.
Quant à Poutine il est ce qu'il est, mais le reste des dirigeants de ce monde c'est chacun pour soi.......
Pauvres de nous....

C'est du déjà-vu en Allemagne de l'époque, entre les deux guerres mondiales.
Le président américain Joe Biden, doit d'abord activer le signal d'alarme rouge au sein de ses propres services de Renseignements américains, où nichent beaucoup d'agents d'origine russe et alentours. Surtout parmi les juifs génocidaires de Gaza occupants de la Palestine.
Le jour de la Vérité, où le "Vatican de l'Islam", sera installé à Washington, n'est plus lointain.
Maintenant, le président Vladimir Poutine est tombé dans le piège des Américains. Ils vont l'enfoncer dans la boue jusqu'au cou, en le laissant jouer au coq de bruyère, jusqu'à sa fin, par laquelle il va payer tous ses crimes commis contre le pauvre peuple syrien.
Allah yomhil wè lè yohmil.

Vous aviez provoqué Poutine depuis des années. Vous vouliez l'humilier par vos provocations, Poutine et la Russie ne sont pas une proie facile. La Russie n'est pas les pays arabes et ses traîtres. Vous aviez tué des innocents, détruit des pays d'une valeur inestimable, telle que l'Irak, la Syrie. Vous aviez rendu des peuples herants les rues et les métros Européens.
Maintenant, vous vous attaquez à l'Europe.
Vos menaces de sanctions ne font pas peur à Poutine. Revoyez votre politique destructrice, sinon vous finissez un jour par vous brûler en enfer.

Pour les sanctions, il n'aura qu'à envoyer Chris Murphy à Moscou. Et BN mettra en gros titre, avec photo à l'appui : "Chris Murphy somme Vladimir Poutine de retirer ses troupes d'Ukraine !" Hahahaha !!!

Baril à 170 dollars d'ici quelques mois, prochaine pénurie de gaz sur le marché mondial, explosion des prix des céréales, du lait, des viandes etc etc

Poutine est devenu cinglé, il a signé sa fin. L'Occident veut sa tête, jamais plus ils ne le lâcheront et ils l'auront. La détermination occidentale n'a pas d'égale sur la planète lorsque les objectifs sont clairs.

Cet homme que le pouvoir a rendu fou est définitivement perçu comme un péril pour L'Occident. Il a commis une erreur définitive.

TAHYA TOUNES

La chaleur de la nouvelle guerre froide est brulante ! Nous ne sommes plus dans le même monde , dans la même Europe !... Tout a basculé vers l'excès . armement , moyens d'information , alliances stratégiques , éveil de certains extrémismes politiques et religieux , nationalisme exacerbé ....Les puissances fortement militarisées et " atomiquement " équipées frappent qui elles veulent quand elles veulent sans craindre l'ire d'une communauté internationale atone , réduite à quelques gesticulations inopérantes et des désaveux pétochards dont les effets pervers ne pourraient inciter les agresseurs qu'à doubler de sauvagerie !...
Hier Israel en PALESTINE , aujourd'hui la Russie en Ukraine !...

Les USA, coutumiers de tout régenter et spécialistes des viols du "Droit international" comme du non-respect des institutions comme l'ONU, veulent nous faire croire qu'ils incarnent le droit, ou le défendent.
L'observateur sérieux peut noter l'irrésistible encerclement de la Fédération de Russie, les bases nombreuses installées dans des pays alentour, les provocations en Mer noire et ailleurs par l'armada US et ses alliés, qui ne sont en fait que des serviles, sont au fondement de l'aggravation de la situation.
Ce, d'autant, que la diplomatie n'a produit aucun progrès dans la résolution du conflit et que l'Ukraine, encouragée par les américains entre autres, n'a pas honoré les accords de Minsk.
Au contraire, on peut même relever que le format Niemen et les conversations de toutes sortes n'auront servi qu'à faire durer une guerre qui ne dit pas son nom depuis 2014.
Des milliers de morts, des citoyens des républiques autonomes négligés et même combattus, et l'on parle de droit.
Il faut prendre acte que le règne de l'Occident qui a fait comme il a voulu des décennies durant, et des siècles dans d'autres parties du monde, est mis à nu.
L'Irak, la Lybie, la Syrie, etc pour la période récente, sans compter ce qui est entrepris votre l'Iran suffit à justifier son début de forclusion.
La Russie a la puissance, et surtout la volonté politique, de montrer son refus de se laisser endiguer et subir.
La politique de la canonnière, spécialité de l'Oncle Sam et ses vassaux, a trouvé ses limites.
Ce serait facile de dire la Russie
agressive.
C'est le discours unanime de tous les "médias libres".
On se demande de quelle liberté ils se prévalent.
Toute puissance ne peut arrêtée, ou freinée, que par une puissance égale ou supérieure.
Les Russes l'ont dit.
Ils le font.

Monsieur Biden, devons-nous vous rappeler les invasions de l'Irak, le Nicaragua, la Somalie pour motifs de démocratie et liberté... Poutine ne fait que répondre à vos propos les Occidentaux et dénoncer une clause signée dans les années 1990 le fait que l'OTAN arrête son expansion le plus loin des frontières russes.