
Le député démissionnaire de Tahya Tounes et ancien ministre des Domaines de l'Etat et des Affaires foncières, Mabrouk Korchid, a dressé un tableau noir de la situation politique actuelle en Tunisie.
Evoquant les contestations sociales, des renseignements confirmés sur une mobilisation au terrorisme encouragée par les conflits internes, le politicien a appelé les Tunisiens patriotes à assumer leurs responsabilités.
« Je m’adresse au Sahel – au poids démographique et électoral considérable –, laisser le pays aux gangs qui viennent de l’extérieur ne fera qu’aggraver la situation. Faites, donc, votre devoir (…). Je m’adresse aux gens dans le Sud, au Sud-Ouest et Sud-Est, au Centre : la Tunisie nous est chère. Les patriotes qui ont libéré ce pays l’ont fait pour ses enfants (…). Nous ne laisserons jamais ce pays en proie aux gangs. Nous sommes appelés à jouer notre rôle. Il est temps de mettre un terme à cette période et à ce régime politique qui a conduit la Tunisie à la crise. Il faut mettre un terme à la triste situation (dans laquelle baigne) le Parlement qui ne sert que les intérêts des personnes, des individus et des allégeances et non l’intérêt de la Tunisie. Il faut mettre un terme à la situation malheureuse de la présidence du gouvernement. Il faut mettre un terme à l’ambiguïté du président de la République. Les Tunisiens doivent prendre l’initiative. Tunisiens et Tunisiennes (…) descendons dans les rues ! ».
Mabrouk Korchid réagit, dans cette vidéo, aux scandales et conflits qui secouent actuellement le pouvoir en place. Le chef du gouvernement, Elyes Fakhfakh, est, rappelons-le, soupçonné de conflit d’intérêts. La coalition au pouvoir, en proie aux tiraillements, vacille. Le Parlement est, lui, devenu un vrai cirque où les députés – aveuglés par leurs divergences idéologiques – se chicanent et s’insultent pour tout et rien.
N.J.


Wer wei'? ?
Pourquoi il n'a jamais osé prétendre qu'il travaillait sous l'égide d'Ennahdha, à l'image des mensonges de ceux qui veulent bêtifier le peuple tunisien, en prétendant que c'est Ennahdha qui gouverne le pays depuis la Révolution tunisienne du 14 janvier 2011?
L'ennemi numéro 1 d'Ennahdha, Samir Taïeb, n'était-il pas ministre de l'agriculture, sans qu'il ne prétende avoir travaillé une seule journée sous les ordres d'Ennahdha, puis il nous revient dernièrement, de nouveau avec ses insultes et ses mensonges de service, contre Ennahdha?
L'ancien ministre de la Justice Ghazi Jéribi, le frère de l'actuelle ministre de la Justice Thouraya Jéribi, n'a-t-il pas signé l'annulation de la circulaire interdisant le mariage des Tunisiennes musulmanes avec des non-musulmans, sous les ordres de Béji Caïed Essebsi, contre la volonté d'Ennahdha & Co?
Pourquoi donc ce mensonge flagrant de vouloir donner l'impression, comme si le parti d'Ennahdha tient tout le monde et tout le pays, en forme de marionnettes entre ses mains et qu'il dirige le pays depuis la Révolution 2011, alors que ce même parti d'Ennahdha et ce même Rached Ghannouchi, ne font tout le temps que se positionner dans la défense contre des ennemis, non pas démocratiquement politiques, mais des ennemis de l'Islam francisés de pères en fils et en filles. Ces même Harkis dont nous sort ce nouveau riche Ayachi Ajroudi, qui verse ses larmes de crocodile, en entendant l'hymne des génocidaires de nos Martyrs, la Marseillaise?
Nous les Arabes, nous n'avons jamais été faibles. Nous ne souffrons toujours que de la trahison des Nôtres. De nos propres «Aârabs», non pas Arabes. Ces mêmes «Aârabs», dont nous prévient le livre saint de l'Islam, le Coran.
Est-il recommandé de prendre de la testostérone'?
Et là, vous avez le culot de venir nous demander de descendre dans la rue !!! alors que vous et vos comparses avez voté pour garder le tourisme parlementaire. Pour garder le flou. Pour appauvrir le peuple, l'affamer et là vous sentez que vous risquez d'être dévoré, vous feintez avec ces déclarations pour noyer le poisson en oubliant que vous l'avez polluée sa mer.
Dégagez, vous, les démocrates, les vendus du golf, les terroristes, les vendus de l'occident, le vendus d'Amérique ou plutôt du sionisme. Vous avez encore le culot de nous demander quoi que ce soit. Avez-vous oublié que vous avez détruit la Libye et la Syrie. Avez-vous oublié que vous avez jubilé l'assassinat de Kaddafi et espéré en faire de même avec El Assad. Vous avez détruit le monde arabe et vous vous maintenez à un siège tel des morts de faim.
Mais dégagez, allez vous suicidez car de toute façon vous risquez de perdre vos âmes au profit de Satan.
Nous avons besoin, nous le peuple ignoré, que le pouvoir soit pris par les militaires. Que notre cher régime présidentiel TOTLITAIRE revienne pour éradiquer notre Tunisie dans sans pitiés que seul leur petite minable personne intéresse.
Ca fait une dizaine d'année que vous faites mal à la tête mais jouez-vous aux sourds, aveugles et muets.
On est dans la merde à cause de l'incapacité des progressistes a faire front contre ennahda et ce Mr qui devient un symbole de la désunion continue à donner des leçons aux autres.
La leçon à retenir de l'épidémie, à mon avis, est l'évident besoin de solidarité et de privilégier l'intérêt commun surtout que les conséquences de l'épidémie continueront à affecter l'économie et les finances de l'état même si on échappe à une deuxième vague.
Tout comme la leçon de janvier 2011 aurait du être " bien mal acquis ne profite jamais" et " ma dayma il had"
Mais, il semble que l'autocritique, l'humilité et la volonté de changement pour son propre bien et celui des autres deviennent de plus en plus rares.
Concernant la vidéo, j'ai beaucoup de respect pour le député Mabrouk Korchid et pour son analyse des dangers et menaces au pays . Son vidéo démontre la frustration face au système politique "démocratique" qui mène le pays vers le mur.
Toutefois, je ne partage pas la demande de "sortir dans les rues" sans au moins insister sur le caractère pacifique.
Il y a aussi des moyens à l'intérieur du système politique qui peuvent faire changer la situation politique actuelle.
Les partis centristes et de gauche, à part Machrou3 Tounes, semblent encore sous l'effet des résultats des éléctions de 2019 .
Idhè lèm tèstahi, faâfaâl mè chiitè.
Il enfonce davantage le clou de haine vers la région respectable et patrimoniale de la Tunisie qui a été malmenée, négligée et ballottée depuis 1987 et la caimuse de tous lesaux socioéconomique rien que par haine et sabotage, l'inimaginable concentration démographiques préméditée; et il a ete inistre avec nahdha. kib sàad el âar.
Laquelle ?
A lui de répondre cet ignare et sans scrupules.
Et il ose ouvrir sa sale gueule ce comédien parfait et régionaliste jusqu'à la moelle.
Ma yehcmouch el himma ma yaksabouhach hal awbach.
les traîtres jouent avec la stabilité et l avenir de la République.
ce qui se prépare au sud c'est bien guidé par les ennemis de la Tunisie.ces gens ne cherchent pas un travail ils cherchent la destruction du pays
Mène député ,il mérite la cour martiale
On ne blague avec des propos comme ça
la patrie est en danger il est du devoir de tout patriote de la défendre et descendre dans la rue et défendre la patrie l'histoire ne pardonnera pas aux laches de laisser la patrie en perdition face à ces traîtres !
Vive la Tunisie '
Ceci est un message de manipulation.
Nous sommes d'accord sur les causes, mais pas d'accord avec une solution qui ne respecte pas les règles de la démocratie.
aux patriotes d'agir .
j'ai confiance en l'UGTT
Leur malhonnêteté les aveugle et les rend fous à lier, jusqu'à oser appeler au régionalisme en flagrant délit. Si chaque perdant des élections demande qu'on annule tout, suivant son baratin de : «rien ne va plus sans lui», nous n'aurons jamais plus de stabilité parlementaire ni politique. Il se croit autour d'une partie de carte «Chkobba» dans son quartier. Celui qui perd renverse la table et demande qu'on rejoue la partie. Un vulgaire haineux qu'on a remarqué sa mauvaise foi et sa traîtrise, lors d'une émission télévisée, où il applaudissait les mensonges d'une vieille mendiante, qui prétendait ne jamais avoir vu la photo du président Kaïs Saïed, et que l'Etat a besoin d'un «Sandi» à la place du président Kaïs Saïed.
Cet homme appelle à la haine et au putsch contre l'Etat tunisien. Il doit être arrêté et traduit devant la Justice militaire de notre deuxième République tunisienne.