Le mouvement "Hak" a annoncé qu'il déposera une plainte visant un individu se présentant comme étant un soutien au président de la République, Kaïs Saïed et au pouvoir en place. Ce dernier a publié une vidéo dans laquelle il affirme être prêt à incendier les domiciles des opposants et violer leurs femmes et leurs enfants.
Dans un communiqué du 13 août 2024, le mouvement "Hak" a considéré que l'individu en question adoptait un discours haineux à l'encontre des opposants et des dirigeants des partis politiques et des organisations non-gouvernementales. Le mouvement a dénoncé ce genre de discours et a considéré qu'il poussait le pays vers une guerre civile. "Hak" a, aussi, appelé le chef de l'État, Kaïs Saïed à assumer ses responsabilités en tant que président de tous les Tunisiens et se désolidariser de ce genre de propos et de ce genre d'individu. Un appel a, aussi, était lancé envers les structures politiques afin de rejeter tout discours visant à diviser les Tunisiens et lançant des accusations de trahison.
Le mouvement "Hak" a évoqué la responsabilité de la ministre de la Justice, Leila Jaffel, en tant que cheffe du ministère public, dans l'application de la loi pour tous et sans distinction. Le mouvement a considéré qu'elle devait ouvrir une instruction visant cet individu et enquêter sur les raisons derrière la publication de la vidéo en question. Selon la même source, la ministre de la Justice a pour obligation de tenir toute personne appelant à la violence, en lien avec le militantisme politique, responsable de ses dires.
Pour rappel, la vidéo en question publiée le 13 août 2024 a rapidement fait le tour de la toile. On y voit un homme affirmant être prêt à traquer les opposants comme du gibier. Il poursuit en affirmant que même si ces derniers fuient le pays, il se chargera de brûler leurs domiciles et de s'attaquer aux membres de leurs familles. L'homme poursuit en indiquant qu'il violera les femmes et les filles des opposants. Il a expliqué que ces actes entraient dans le cadre de la politique d'épuration du pays souvent évoquée dans les discours du président de la République. La vidéo a été fortement critiquée par les internautes.
S.G
1er/ Le sabotage et l'opposition farouche du président d'Ennahdha Rached Ghannouchi, contre le projet de loi interdisant aux partisans des deux défunts dictateurs déchus Bourguiba et Ben Ali, de pratiquer de la politique pour au moins leur "décennie noire" qu'ils ont sabotée contre la réussite de la transition démocratique postrévolution du 14 janvier 2011. Rached Ghannouchi a permis à la Zalèma Abir Moussi, de commettre les pires des crimes de haute trahison contre l'Etat tunisien et ses Institutions républicaines, jusqu'à avoir transmis en direct live de l'intérieur du parlement ARP, symbole de l'Etat tunisien, toutes ses clowneries avec casque à moto, mégaphone, matelas, oreillers et draps, sans oublier l'interdiction de la récitation de la Fatiha à la mémoire du seul président démocratiquement élu d'Egypte, Mohamed Morsi (Allah yèrhamou wè innaâmou), jusqu'à la dévastation des bureaux des Savants Oulémas de l'Islam à Tunis.
2èm/ La coalition interdite avec Nida Tounes et son chef le père des Azlèms, le défunt président Béji Caïd Essebsi, de la famille Caïd Essebsi très bien connue par le commerce avec la "Dabbouza". Une coalition suicidaire dont j'ai tant prévenu Ennahdha et alentours, de ne jamais approcher ni conclure par bonne ou par mauvaise foi, une alliance avec les serpents déchus. J'ai bien expliqué qu'ils vont par la suite leur coller tous les échecs et toutes les faillites du président Béji Caïd Essebsi et de son parti nouvellement créé, Nida Tounes, à leur parti marionnette d'Ennahdha. Un nouvel étang politique de champignons de mauvaise qualité, comme Mohsen Marzouk, Tabbel le Toubel, Néji Jalloul, Fatma Mseddi et tant d'autres mauvaises herbes à ne jamais approcher. J'ai tant appelé le parti d'Ennahdha d'aller à l'opposition la tête haute, avant qu'ils ne tombent dans le piège de la machinerie "azlamiste" des défunts dictateurs déchus Bourguiba et Ben Ali. Une machinerie médiatique très bien connue par le mensonge, l'intrigue et la désinformation. Mais le Cheikh Rached Ghannouchi et son entourage, ils ont déjà goûté au pouvoir et au luxe. Ils n'ont pas voulu s'en désister. Ma prédiction qu'ils vont coller tous les échecs de Béji Caïd Essebsi et de son parti Nida Tounes au parti d'Ennahdah et à son chef Rached Ghannouchi, bien que ces derniers n'aient pas gouverné avec le président Béji Caïd Essebsi, s'est réalisée à mille pour cent. "Ech-chey Lillèh yè Sidi Chater".
3èm/ Ennahdha et son chef Rached Ghannouchi, sont tombés dans le piège de Béji Caïd Essebsi et de ses Azlèms, qui ont voulu écarter la seule organisation qui pouvait leur dénoncer leurs crimes contre la transition démocratique de la Tunisie. Ils ont trahi une Révolution du 14 janvier 2011, qui n'était pas la leur ni de près, ni de loin. Ils ont accepté leur propre suicide, par l'interdiction de la Ligue Nationale de Protection de la Révolution (LNPR). Une Ligue, avec laquelle les sabotages et les intrigues qu'on a vécus avec la Zalèma Abir Moussi et ses acolytes, seraient impossibles de pratique.
4èm/ La loi dont nous a trahis le président Béji Caïd Essebsi, qui fut ratifiée par l'ancien ministre de la Justice Ghazi Jéribi, où il annule l'interdiction aux femmes tunisiennes musulmanes d'épouser des non-musulmans, même juifs, chrétiens, hindous, bouddhistes ou athées, ne put être mise en exécution qu'avec l'accord et la trahison du parti d'Ennahdha et de son chef Rached Ghannouchi.
5èm/ Bien qu'il fut le président du parlement ARP, le chef d'Ennahdha Rached Ghannouchi a mis la corde à son propre cou, en ayant choisi la tête du serpent RCD, Mohamed Ghariani, en tant que son propre Conseiller. Un espion ennemi juré dans son propre bureau. Plus bête, tu meurs.
Donc, c'est pour cela qu'on entend souvent des coqs de bruyère comme ce comique, qui menace le peuple tunisien par la vidéo "photo et son" à la fois, dans l'impunité totale, alors qu'on nous annonce d'un moment à l'autre, l'arrestation de "Takfiristes", sans qu'on ne sache ce qu'ils ont fait au juste et c'est quoi un "Takfiriste" dans ce monde, où ce sont les autres qui attaquent l'Islam et les Musulmans. Non pas le contraire.
Allah yèhlik Ass-hab el-charr.
C.est ça la nouvelle justice tunisienne ?
Nous relater des histoires qui ne tiennent pas debout, sachant que ce débile qui projette commettre des actions illicites, contre toute légalité !
Des histoires de fous, des dérangés mentaux, dans cette allure le contenu de notre JOURNAL serait une corbeille de rétention d'ordures !
Pour occulter toutes les supputations malveillantes, une recommandation s'impose, le rejet pur et simple de ces histoires débiles.
Cet individu qui prétend soutenir le président de la République pour assainir le pays, qu'il sache que ce pays a ses lois, que toute personne censée ignorer la loi et, ne pouvait se substituer à ses règles.
Il y a une justice chargée d'appliquer la loi, que contrevenant s'exposerait à des poursuites et que cet énergumène, n'est chargé de qui se soit.
@veritas : Eh bien oui, une "racaille" haineuse et hitlerienne comme il y en a beaucoup sur ce forum de BN, à partir de vous !
Pour moins que ça des gens bien croupissent en prison avec des accusations qui n'ont ni queue ni tête.
Je dirai même que par rapport à ce qui est relaté dans cet article, Boughalleb, Sonia et beaucoup d'autres devraient être libérés immédiatement et indemnisés pour les préjudices moraux et physiques qu'ils ont subi et continuent à subir.