
Le porte-parole de la Cour d'appel de Tunis, Habib Torkhani, a indiqué, dans une déclaration accordée le 8 février 2022 à l’agence Tunis Afrique presse, qu’aucune plainte visant le député et avocat Noureddine Bhiri n’avait été déposée par le ministère de l’Intérieur auprès du procureur général près de la Cour d’appel.
Le porte-parole a tenu à apporter ces éclaircissements en raison de la déclaration du bâtonnier de l’Ordre national des avocats de Tunisien, Brahim Bouderbala. Ce dernier avait affirmé avoir été informé d’une plainte déposée par le ministre de l’Intérieur, Taoufik Charfeddine.
Pour rappel, selon les lois en vigueur, toute plainte visant un avocat doit impérativement passer par le procureur général de la Cour d'appel.
A noter que Noureddine Bhiri avait été arrêté et assigné à résidence dans un lieu non-communiqué le 31 décembre 2021 sur ordre du ministre de l’Intérieur. Par la suite, son état de santé s’était détérioré. Il se trouve à l’hôpital Habib Bougatfa à Bizerte depuis le 2 janvier 2022.
S.G
Puisqu'il paraît être informé !!
Qu'il aille jusqu'au bout de ses déclarations !!!
Faut croire que le monsieur qui a le pantalon aux chevilles, attend sûrement la fin de sa mission cette année.
Pour endosser le costard du receveur de plainte, pas encore déposée !!!
Mais ils n'ont vraiment pas de figure, c'est gens là !!
Ne parlons même pas de dignité !!!
Au nom de la loi républicaine,
Au nom de la presemption d'innocence,
Au nom de la DUDH,...
Liberez l'otage !
Liberez la haine en vous,
Libérez-vous...
Au nom de la révolution du 14 janvier 2011, rendez-nous notre liberté, notre dignité,.. tout simplement la vie.
Respectez la volonté de Bouazizi et de tout ceux qui se sont sacrifiés pour nous.
On n'en peut plus de ce statut de damné qui nous colle depuis plus de 60 ans.
Un, deux,... ça va mais un, deux et trois...c'est vraiment trop.
Basta
MAIS... AVONS DE BONS TAILLEURES !?
En effet, au lieu de s'attaquer de front à Ghannouchi, l'ennemi principal, un risque sérieux, il a préféré se rabattre sur ses lieutenants, histoire d'affaiblir l'animal par étape avant de l'achever définitivement.
Mais cette tactique est-elle vraiment payante et sans risque!?
Le problème, notre bien aimé dictateur procéde dans l'illégalité dans la mesure il use, comme ses prédécesseurs, d'une sortes de lois d'exception d'une autre époque.
Mais à force de mener les batailles sur tous les fronts il risque de perdre la guerre.
SUN TZU, général chinois du VIe siècle avant J.C. écrivait dans son ouvrage l'art de la guerre " ne répéter pas les mêmes tactiques victorieuses mais adaptez-vous aux circonstances chaque fois particulières".
Mais apparemment,ce genre de stratégie n'est pas la tasse de thé du locataire de Carthage.
Enfin, ne vendons pas la peau de de l'ours avant de l'avoir abattu.