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Affaire Bhiri : le procureur général n'a toujours pas reçu de plainte
08/02/2022 | 14:47
1 min
Affaire Bhiri : le procureur général n'a toujours pas reçu de plainte

 

Le porte-parole de la Cour d'appel de Tunis, Habib Torkhani, a indiqué, dans une déclaration accordée le 8 février 2022 à l’agence Tunis Afrique presse, qu’aucune plainte visant le député et avocat Noureddine Bhiri n’avait été déposée par le ministère de l’Intérieur auprès du procureur général près de la Cour d’appel.

Le porte-parole a tenu à apporter ces éclaircissements en raison de la déclaration du bâtonnier de l’Ordre national des avocats de Tunisien, Brahim Bouderbala. Ce dernier avait affirmé avoir été informé d’une plainte déposée par le ministre de l’Intérieur, Taoufik Charfeddine.

Pour rappel, selon les lois en vigueur, toute plainte visant un avocat doit impérativement passer par le procureur général de la Cour d'appel.

A noter que Noureddine Bhiri avait été arrêté et assigné à résidence dans un lieu non-communiqué le 31 décembre 2021 sur ordre du ministre de l’Intérieur. Par la suite, son état de santé s’était détérioré. Il se trouve à l’hôpital Habib Bougatfa à Bizerte depuis le 2 janvier 2022.


S.G

08/02/2022 | 14:47
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Commentaires
nazou de la chameliere
Le monsieur qui
a posté le 09-02-2022 à 10:23
A la pantalon aux chevilles, devrait tout de même, nous informer du pourquoi cette plainte du ministre de l'intérieur contre Bhiri !!!
Puisqu'il paraît être informé !!
Qu'il aille jusqu'au bout de ses déclarations !!!
Faut croire que le monsieur qui a le pantalon aux chevilles, attend sûrement la fin de sa mission cette année.
Pour endosser le costard du receveur de plainte, pas encore déposée !!!

Mais ils n'ont vraiment pas de figure, c'est gens là !!
Ne parlons même pas de dignité !!!
SELMA
LIBEREZ L'OTAGE
a posté le 08-02-2022 à 18:48
Au nom de la démocratie,
Au nom de la loi républicaine,
Au nom de la presemption d'innocence,
Au nom de la DUDH,...
Liberez l'otage !
Liberez la haine en vous,
Libérez-vous...
Au nom de la révolution du 14 janvier 2011, rendez-nous notre liberté, notre dignité,.. tout simplement la vie.
Respectez la volonté de Bouazizi et de tout ceux qui se sont sacrifiés pour nous.
On n'en peut plus de ce statut de damné qui nous colle depuis plus de 60 ans.
Un, deux,... ça va mais un, deux et trois...c'est vraiment trop.
Basta
carthage
bouazizi?
a posté le à 21:00
sa famille au canada chaykhin et toi tu nous cassse les oreilles avec ce bouazizi le responsable numero un de la destruction du monde arabe
HASSINE
qu'aucune plainte visant le député
a posté le 08-02-2022 à 17:36
CE GENRE DE PLAINTE SE TAILLE SUR MESURE POUR BIEN S'ENDOSSER
MAIS... AVONS DE BONS TAILLEURES !?
AVERROES
L OMBRE DE FEU JILANI DABOUSSI VOUS DONNERA DES CAUCHEMARS LE RESTANT DE VOTRE VIE
a posté le 08-02-2022 à 16:28
Que la pente est dure à arpenter, que le chemin est long et douloureux sur cet l'horizon pessimiste et sombre . Pendant que la Tunisie souffre, pendant que les ventres crient famine les politiques, dans l'insouciance totale, jouent les imbéciles heureux en regardant ailleurs. Les menaces qui pèsent sur les acquis du 17/12/10 ou du 14/1/2011 ne sont dues ni à K. SAIED ni à ABIR MOUSSI, elles sont l'oeuvre d'une institution appelée" troïka". Les tartuferies, les mensonges et la malhonnêteté politique instaurés depuis ce fameux jour du 24/11/2011 ont pris racine dans les esprits et dans les discours c'est devenu un sport national et une culture hélas répandue . A ceux et celles qui crient à tue tête à longueur de journée" justice menacée" ont ils pensé aux victimes assassinés par balles. Si Notre dépendance est devenue réalité c'est que la décennie économique et sociale des responsables politiques est l'une des pages des plus sombre de l'histoire de la Tunisie.
MFH
Larmes de crocodile et bleuf
a posté le 08-02-2022 à 16:21
De son état comateux personne n'en parle plus. Preuve que c'était du bleuf et mensonge pour échapper à la justice.
BORHAN
LE BOUC '?MISSAIRE...!
a posté le 08-02-2022 à 15:50
Frapper fort au sein du parti Ennahdha, au lendemain du 25 juillet, était prévisible aux yeux de l'opinion publique mais Saied a du réfléchir plus de deux fois avant d'agir.
En effet, au lieu de s'attaquer de front à Ghannouchi, l'ennemi principal, un risque sérieux, il a préféré se rabattre sur ses lieutenants, histoire d'affaiblir l'animal par étape avant de l'achever définitivement.
Mais cette tactique est-elle vraiment payante et sans risque!?
Le problème, notre bien aimé dictateur procéde dans l'illégalité dans la mesure il use, comme ses prédécesseurs, d'une sortes de lois d'exception d'une autre époque.
Mais à force de mener les batailles sur tous les fronts il risque de perdre la guerre.
SUN TZU, général chinois du VIe siècle avant J.C. écrivait dans son ouvrage l'art de la guerre " ne répéter pas les mêmes tactiques victorieuses mais adaptez-vous aux circonstances chaque fois particulières".
Mais apparemment,ce genre de stratégie n'est pas la tasse de thé du locataire de Carthage.
Enfin, ne vendons pas la peau de de l'ours avant de l'avoir abattu.
veritas
Patience '?'
a posté le 08-02-2022 à 15:44
La plainte est entrain d'être cuite sur feux doux (sur une bougie) il sera délicieuse et de bon goût '?'