
La président de la Fédération nationale des municipalités tunisiennes, Adnen Bouassida a indiqué, jeudi 1er décembre 2022, lors de son intervention sur les ondes de Shems Fm, que la décision de limogeage du maire de Bizerte, Kamel Ben Amara, était illégale et qu'elle ne pouvait être considérée comme effective avant la proclamation du verdict du Tribunal administratif.
Adnen Bouassida a indiqué que la décision de limogeage doit être une décision gouvernementale et non présidentielle. Il a, également ajouté : « sur le ur la forme, le prétexte de ne pas comparaître devant le gouverneur n’est pas valable. La décision de révocation ne peut être prise qu’en cas de manquement grave. Le ministère de l’Intérieur ne peut révoquer un maire en prenant pour prétexte le décret 197 concernant la suppression du ministre des Affaires locales et son rattachement au ministère de l’Intérieur. Les municipalités ne sont pas l'une des structures du ministère de l’Intérieur. Elles ont leur statut légal conformément à l’article 1 du Code des collectivités locales ».
Il a poursuivi : « maintenant, sur le fond, la décision ne peut être effective qu’après la proclamation du verdict du Tribunal administratif compétent ».
S.H

Ce monsieur est Nahdhaoui, et son intervention fait partie du dispositif en cours, savoir recourir à tout, référer de tout, tout utiliser pour exister et ferrailler contre le pouvoir et toutes ses institutions.
Utiliser la Justice comme levier comme si cette mouvance avait quelque respect pour le droit, les droits des gens, est d'une ironie digne de ces tartarins.
Il faut ne rien leur céder, et quiconque ne respecte pas les lois doit en subir la rigueur.
Vous avez vendu, chers maires islamistes, députés et ministres incompétents, une marchandise avariée, et vous aimeriez que l'on en consomme encore quitte à crever de ce poison.
Bouffez votre soupe seuls.
Les électeurs vous jugeront.
Et, si vous aviez l'assurance de rafler encore la mise, pourquoi déserter la compétition qui vient.
Petite ruse d'épicier, quand on sait la partie perdue, on refuse d'en être.
C'est plus facile d'être tenir le soupçon, de diffuser des faux, d'insinuer, de salir que de proposer sa candidature aux prochaines élections.
Un maire qui ne respecte pas la légalité, qui n'honore pas le Président de la République, qui refuse de rencontrer le Préfet, qui participe d'une opération politicienne semant le doute, organisant et/ou participant de la chienlit se rend coupable de désordre.
Maire de Bizerte, islamiste ?
C'est incroyable que cela soit.
Dans cette région du Nord, le peuple a la réputation d'être rebelle aux flagorneurs.
Je ne l'aurais jamais cru.
Donc rentre dan ta coqui'le ne joue pas le tarzan pour nahdha qui n'a plus d'os à ranger à te donner.
Et puis la photo propagandiste est moche.

