
L'ancien dirigeant nahdhaoui et ancien ministre de la Santé, Abdellatif Mekki, a usé des évènements sportifs survenus mercredi 12 janvier 2022 lors du match Tunisie-Mali dans le cadre de la Coupe d'Afrique des nations de football, de la veille, pour faire un parallèle politique.
S’adressant au président de la Fédération tunisienne du football (FTF), Wadii Jari, M. Mekki l’a incité à vérifier avant toute plainte devant la Confédération Africaine de Football (Caf), et ceci en respect des procédures, si l’arbitre n’a pas usé de l’article 80 ou quelque chose d’équivalent avant la suspension de la partie pour faire face à un danger imminent que lui seul connait, et qui lui permet d’annuler toutes les lois du tournoi que M. Jari compte utiliser pour demander justice.
Rappelons que mercredi 12 janvier 2022, l’arbitre a sifflé, dans le cadre de la Coupe d'Afrique des nations de football, la fin du match Tunisie-Mali avant les 90 minutes et ceci malgré le temps additionnel. Après que les joueurs sont allés au vestiaire, il a demandé à l’équipe tunisienne de se présenter pour finir les quelques minutes restantes, chose qu’elle a refusé.
I.N

HONTE A VOUS !!!!
Il n'ont fait que, personnels jusqu'au bout des crampons, garder la balle pour eux, toujours joué en hors jeu, tiré hors cadre, tacler tous leurs adversaires en permanence, se prendre pour les dieux du stade pour finalement se retrouver tout seul dans ce même stade, hués par toute la foule ...
Mekki et ses acolytes nahdhouistes sont dos au mur.
Ils sont KO par les décisions fortes et justes de KS.
Ils essaient par tous les moyens de trouver une sortie ou un retour au pouvoir.
Ils paniquent.
C'est la fin de 11 années de calvaire et de fausse démocratie.