
Abdellatif Mekki, membre du bureau exécutif d'Ennahdha et vice-président chargé des relations avec les organismes nationaux, a estimé que les déclarations du président de la République Kaïs Saïed vont jeter de l’huile sur le feu et envenimer la crise politique actuelle.
Au micro de Karim Ben Said dans l'émission "Dans le vif du sujet" sur RTCI, M. Mekki a souligné que les forces de sûreté intérieure sont des forces civiles. En ce qui concerne les moyens de sortir de cette crise, il a affirmé que seul le dialogue est la solution, mais qu’il y a des parties qui veulent l’empêcher.
Pour le dirigeant nahdhaoui, il n’y a pas de problème consistant, il est juste psychologique.
La veille, le chef de l’Etat avait assuré qu’il est le commandant suprême de toutes les forces armées et non seulement des forces militaires.
S’agissant de la situation sanitaire, l’ancien ministre de la Santé a estimé que les mesures prises par le gouvernement samedi dernier étaient nécessaires surtout la suspension de cours avec une hausse des contaminations dans le milieu scolaire. Mais, il avoue qu’elles restent limitées à cause de la situation économique, sociale et psychologique du pays. Et de marteler que si les citoyens s’entêtent à ne pas appliquer les mesures individuelles, celles prises par le gouvernement n’auront aucun impact significatif.
En ce qui concerne la saturation des hôpitaux, Abdellatif Mekki a indiqué que le gouvernement pouvait construire des hôpitaux de campagne, comme celui d’El Menzah et qui auraient été une force de frappe contre la pandémie : « Malheureusement cet effort a été arrêté, sinon on aurait pu avoir une vingtaine d’hôpitaux de campagne d’une capacité de 50 à 100 lits », a-t-il expliqué.
Ces installations auraient pu permettre la prise en charge des patients atteints du Covid-19 notamment ceux qui ont besoin d’oxygénation, sachant que plus de 90% des contaminés ont juste besoin d’oxygène.
Pour lui, la mise en place de ces hôpitaux de campagne ne peut être retardée davantage, car il faut se préparer pour la quatrième vague de la pandémie, d’où la nécessité également d’accélérer la vaccination et l’application stricte des mesures sanitaires individuelles.
I.N

Mets de l'huile pour que ça glisse ....
Mets de lhuileuuuu .....METS DE LA HUILEUUUUUU
De ce fait, ces affolés khwanjias devenus milliardaires avec l'argent du peuple au cours de la dernière décennie, ne veulent plus lâcher le pouvoir comme en 2012, et vont opter comme à leur habitude soit au menaces ou au terrorisme.
Par ailleurs, ils ne peuvent pas imaginer qu'ils vont perdre le pouvoir et que leur complot et leur arnaque sont découverts par tout le monde; c'est piur cela qu'ils essayent ces jours-ci de soudoyer, d'appàter et de corrompre et d'accuser à tord et à travers tous ceux qui se mettent sur passage ou dévoilent leurs duperies devenues sauvages.
Une mascarade ?!
Et vont maintenant apparaître dans les télés à chaque moment pour chercher à influencer les gens, leur seule et dernière possibilité, quoique certainement vaine, c'est d'essayer de mettre main basse sur les médias audiovisuels et les journaux et puis et surtout de nommer des complices dans les ministères et les sociétés publiques.
La fête est finie et il y a plus qu'à restituer l'argent du peuple et rétablir la situation socioéconomique de l'état tunisien à sa juste valeur.
Aujourd'hui ils ont mené le pays à la faillite, et grâce à leur constitution idiote l'état est à trois têtes qui se dévorent mutuellement. Bonne continuation et que ça s'embrase !!!
Non pas le feu qui a tué Chokri BELAID ou encore Mohamed BRAHMI!

