Après plusieurs mois d’absence, le député fugitif Rached Khiari est revenu sur les réseaux sociaux le 7 janvier pour annoncer qu’il se trouve à l’étranger. Depuis, il publie régulièrement des vidéos à propos de la situation politique en Tunisie.
Jeudi 27 janvier 2022, l’islamiste radical a pris part à l’anniversaire virtuel de la constitution, organisé par Rached Ghannouchi, président de l’assemblée. Il a demandé à prendre la parole avant ses collègues, justifiant cela par des raisons de sécurité. Il avait peur que la police tunisienne puisse remonter jusqu’à son adresse IP et, ainsi le localiser. En clair, Rached Khiari ne se trouve pas à l’étranger, comme il l’a prétendu précédemment, mais bel et bien en Tunisie.
Durant sa courte intervention, il a affirmé être prêt à se livrer aux autorités si l’affaire pour laquelle il est poursuivi est examinée par une juridiction civile et non par une juridiction militaire.
A noter que Rached Khiari n’est pas recherché dans une seule affaire, et ce aussi bien devant la justice civile que la justice militaire et qu’il est condamné à de la prison ferme par une juridiction civile.
R.B.H
Les islamistes sont des rats sales
Il faut oublier khiari makhlouf et compagnie
Des mesquins qui n'ont aucune valeur ajoutée
Parler des sujets d'économie de finance
Faite un documentaire ou interview a monsieur JILANI nouri
Jeune integre diplômé de HEC expérimenté et en plus 9
Il vient de terminer sa mission en Arabie saoudite
si vous souhaitez le bien pour ce pays
Alors, essayez de remplacer ces mauvaises figures parmi vos lignes, par des propres personnes qui sont plus crédibles et plus nationalistes.
Tu insultes ton pays depuis l'étranger.
Retourne dans le pays si tu as le courage.
Tu ne perds rien àattendre.
Je passe sur les contres vérités qui ponctuent votre délire historique sur la France de Vichy , sur François Mitterrand qui a permis en 1981 la régularisation d'un million d'immigrés clandestins dont les trois quarts sont des maghrébins.
Bref rien ne sert d'attaquer la France qui héberge plus de cinq millions de maghrébins pour excuser ce qui se passe en Tunisie aujourd'hui, la haine n'est pas bonne conseillère.
Il n'y a pas plus explicite que le festival des bagla-liha, que l'on observe depuis le coup d'état de 2011.