
Le président de la République, Kaïs Saïed, a reçu, dans l’après-midi du lundi 26 mai au palais de Carthage, Sarra Zaâfrani Zanzri, cheffe du gouvernement, ainsi que Mechket Slama Khaldi, ministre des Finances.
Lors de cette réunion, le chef de l’État a souligné la nécessité de rétablir les équilibres financiers dans le cadre de nos choix purement nationaux, tout en mettant l’accent sur la priorité à accorder à la dimension sociale dans la politique budgétaire de l’État.
Le président de la République a insisté sur le fait que le peuple tunisien paie aujourd’hui un lourd tribut en raison d’un ensemble de choix qui ont appauvri un grand nombre de ses meilleurs éléments, tout en rappelant que de nombreux prêts contractés par la Tunisie sont remboursés avec intérêts par la collectivité nationale sans qu’elle en ait réellement bénéficié.
Le chef de l’État a donné ses instructions pour élaborer de nouvelles approches de financement du budget, ainsi que pour rouvrir le recrutement dans de nombreux secteurs. Il a précisé, dans ce cadre, qu’il est temps de régulariser de nombreuses situations issues de politiques d’exclusion qui ont engendré des réalités inacceptables.
Par ailleurs, le président de la République a ordonné de ne tolérer aucun responsable qui ne s’aligne pas sur la politique de l’État, et qui se réfugie derrière toutes sortes de prétextes pour ne pas offrir aux citoyens les services administratifs dans les meilleures conditions. « Ce que l’on appelle « l’État profond », qui est en réalité bien visible, doit disparaître, car il n’existe qu’un seul État, celui dont le peuple a librement choisi les institutions », ajoute le communiqué.
S.F
il devrait recruter les 10 millions de tunisiens ou leur donner une rente a vie
3 nuls en finances parle de finances...
Une taxe sur l'air (polluée)
Une taxe de circulation pour les piétons
Régime A : marche (<5km/h)
Régime B (le double) : pour les joggeurs, sportifs et autres individus pressés (>5km/h)
Pourquoi pas, comme jadis le Bey de Tunis l'a fait, sous conseil du grand Khaznadar, doubler les impôts et envoyer ses seconds les Beys du camp frapper à la porte des sujets, collecter les piastres et corriger les plus réticents ? Des Bouasker, des Zarrouk, des spahis, ça existe aujourd'hui encore dans le pays.

