Le porte-parole du ministère de l’Intérieur, Khaled Hayouni, a confirmé les menaces de mort contre la députée et présidente du Parti démocrate libre (PDL), Abir Moussi, lors d’une intervention dans la Matinale de lundi 11 mai, sur Shems FM.
Abir Moussi a publié, vendredi, une vidéo sur sa page Facebook indiquant que les autorités l’avaient convoqué pour l’informer de l’existence de menaces de mort la visant.
Khaled Hayouni a affirmé que Abir Moussi faisait déjà l’objet d’une protection rapprochée rappelant que le ministère de l’Intérieur assure un suivi quotidien de la situation des personnes visées par des menaces de mort afin d’évaluer le niveau de criticité du risque et déployer les moyens de protection adqéuats.
Il a, également, souligné que, peu importe l’identité de la personne visée, toutes les menaces de mort étaient traitées avec beaucoup de rigueur et de sérieux par le ministère de l’Intérieur.
Les élus Zouhair Maghzaoui et Salem Labiadh (Mouvement Echaâb), la députée et dirigeante au parti du Courant démocrate, Samia Abbou, ainsi que Issam Chebbi du parti al-Joumhouri, sont, également, la cible de menaces de mort.
N.J
Les vrais Islamistes se trouvent à la mosquée et non pas dans les sièges des partis politiques .
Malheureusement, je suis sans illusion sur l'actuel locataire de Carthage.
Il est prisonnier des islamistes qui tirent les ficelles. Ce sont eux qui gouvernent vraiment.
Vous connaissez mon point de vue sur ces gens et sur la situation générale : nous sommes profondément englués et pris entre les griffes venimeuses des islamistes. Nous sommes pris et nous sommes incapables de nous débarrasser de ces criminels. Il n'y a même pas d'espoir du côté de la grande muette qui est sous leur contrôle. Celui que vous nommez très injustement Kherijichien préside le parlement, dirige la politique étrangère, nomme tous les ministres et décide de la vie et de la mort de ceux qui le menacent. Ces gens se sont enrichis comme rarement cela a été fait et de manière scandaleuse, au détriment des pauvres et des démunis. Regardez les villas, que dis-je, les palais dans lesquels ils habitent et qu'ils ont été édifiés en très peu de temps. Et dire que ces gens se veulent religieux. C'est une insulte à notre religion et une insulte au peuple tunisien.
Bon courage et bien à vous.
Trouvez un autre moyen d'échanger'?'
Ce qui se passe est plus grand que le complicité de traitrise nostalgique avec Ettakattol, c'est plus dangereux, c'est la phase de la 'mise en main de fer' finale, dans le jargon des frères musulmans maudits, ils appellent ça : 'ATTAMKIN'.
Salutations
Le président ? A cause de sa naiveté politique face aux dessous de la secte, il s'est trouvé étiqueté avec :
1- Un accord louche avec le Qatar et la Turquie
2- Une image d'un président impuissant contrairement à ce que pensent ses lecteurs (aidés par 37.2% Nahdhaouis)
3- Un portrait d'un président de conflits
La secte lui a donné de quoi s'occuper le reste de son mandat, qui consiste à se justifier pour tout acte futur, or il ne peut pas le faire, sinon il sera encore inculpé de diviser le peuple. C'est de cette façon que Kherijichien a pu faire son coup d'état soft. C'est lui qui gouverne et il a sa diplomatie aussi.
Pendant ce temps le peuple potage et les autres partagent. Chahya Taiba.
Bien à vous.
Il faut agir avant qu'il ne soit trop tard.
A Aldo: je suis sans illusion car le locataire de Carthage est un PNI.
Pour le frérot Maxullah"je ne doute pas de leur véracité,mais je trouve bizarre"..."ce qui remet ces menaces à leur juste place"Donc ce type a décrété que Abir Moussi est une menteuse.Nous connaissons tous la haine que porte ce Max la rancune à Mme Moussi,et la sympathie pour KS surtout,depuis que ce dernier a autorisé l'atterrissage d'avions d'Erdogan, le frère musulman en Tunisie.
C'est la tactique des frères musulmans...
Pour Harouni, les menaces de mort sont un pur produit de l'imagination de Mme Abir Moussi.
Le Ministre de l'Intérieur vient de déclarer que ces menaces sont réelles et avérées.
La question qui se pose maintenant : que fait le président de la République, garant des droits et des libertés ?