Vous y gagnerez a connaitre davantage CET HOMME.
B.N
Le ministre des Technologies de la Communication et de l'Economie Numérique, Noômane Fehri, a publié aujourd’hui, lundi 2 mai 2016, une précision à l’attention de l’opinion publique après avoir été cité par Inkyfada dans le cadre l’affaire Panama Papers. Notons qu’Inkyfada a publié un article aujourd’hui dans lequel on peut lire que Noômane Fehri est cité dans les Panama Papers « en tant que directeur éphémère d’une société créée dans les Îles Vierges Britanniques en 1994 par Mahmoud Trabelsi, un homme d’affaires et ami du ministre. Cette société est dissoute le 21 novembre 2011, un jour avant la séance inaugurale de l’Assemblée nationale constituante ».
Noômane Fehri a confirmé la version relayée par le site, précisant qu’il n’avait plus aucun lien avec la société en question depuis 1998 et qu’il ne détient aucune action. Et d’ajouter que, même pendant la période s’étalant de 1996 à 1998, il n’a obtenu aucun bénéfice puisque le projet était mort-né.
Par ailleurs, il a mis l’accent quant à la légalité de la société, dans le sens où elle a été créée il y a 20 ans alors qu’il était résident à l’étranger. « De part mon respect à mes responsabilités en tant que citoyen avant d’être un membre du gouvernement, j’assure que cette histoire est loi d’être une évasion fiscale. De ce fait, je suis disposé à assumer toute responsabilité juridique et morale », a-t-il indiqué en substance.
Le ministre des Technologies de la Communication et de l'Economie Numérique, Noômane Fehri, a publié aujourd’hui, lundi 2 mai 2016, une précision à l’attention de l’opinion publique après avoir été cité par Inkyfada dans le cadre l’affaire Panama Papers. Notons qu’Inkyfada a publié un article aujourd’hui dans lequel on peut lire que Noômane Fehri est cité dans les Panama Papers « en tant que directeur éphémère d’une société créée dans les Îles Vierges Britanniques en 1994 par Mahmoud Trabelsi, un homme d’affaires et ami du ministre. Cette société est dissoute le 21 novembre 2011, un jour avant la séance inaugurale de l’Assemblée nationale constituante ».
Noômane Fehri a confirmé la version relayée par le site, précisant qu’il n’avait plus aucun lien avec la société en question depuis 1998 et qu’il ne détient aucune action. Et d’ajouter que, même pendant la période s’étalant de 1996 à 1998, il n’a obtenu aucun bénéfice puisque le projet était mort-né.
Par ailleurs, il a mis l’accent quant à la légalité de la société, dans le sens où elle a été créée il y a 20 ans alors qu’il était résident à l’étranger. « De part mon respect à mes responsabilités en tant que citoyen avant d’être un membre du gouvernement, j’assure que cette histoire est loi d’être une évasion fiscale. De ce fait, je suis disposé à assumer toute responsabilité juridique et morale », a-t-il indiqué en substance.