
Le président du Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT), Zied Dabbar a indiqué, dimanche 24 mars 2024, en marge d’un rassemblement de soutien au journaliste Mohamed Boughalleb, que des poursuites judiciaires seront engagées contre ceux qui ont déposé des plaintes contre des journalistes en dehors du décret 115.
Zied Dabbar a considéré, dans une décalartion aux médias, qu’il y avait un aspect vindicatif dans les poursuites judiciaires qui se traduisent dans la rapidité des procédures et de l’exécution. “Un citoyen ordinaire pourrait attendre des années l’examen de sa plainte, contrairement aux poursuites contre les journalistes. Aujourd’hui, tout le secteur vit des difficultés et est menacé de disparition”.
Le 22 mars 2024, Mohamed Boughalleb a été placé en garde à vue pour une durée de 48 heures. Sa garde à vue a été prorogée de 48 aujourd'hui. Il avait été arrêté et conduit vers la caserne d'El Aouina, avant d'être auditionné par la cinquième brigade centrale de la Garde nationale en tant que suspect.
Son avocat a présenté, vendredi 22 mars 2024, un certificat médical attestant que son état de santé ne lui permettait pas de comparaître à l’Aouina, mais la brigade a rejeté le document. L'affaire concerne une plainte déposée par une fonctionnaire.
La plaignante accuse le journaliste d'avoir utilisé sa page Facebook personnelle afin de l'insulter et de porter atteinte à son image et à sa réputation. D'après la même source, les accusations auraient été, à nouveau, portées contre elle durant une émission télévisée. La plaignante a été auditionnée le 21 mars 2024 et a réaffirmé son souhait de poursuivre Mohamed Boughalleb en justice.
Le syndicat national des journalistes tunisiens avait dénoncé, à travers un communiqué rendu public, les récentes poursuites judiciaires entamées contre les journalistes en Tunisie tout en exprimant sa profonde préoccupation face à l’arrestation de Mohamed Boughalleb et la convocation du journaliste Amine Dhbaibi. Le SNJT a appelé à la libération immédiate et inconditionnelle de Mohamed Boughalleb et l’annulation des poursuites engagées à son encontre.
S.H
'Affaire de l'oeuf du ministre : Zied El Héni écope de 300 DT d'amende'
Article de B.N du 27/12/2017 | 22:12
'Le journaliste Zied El Héni a annoncé, aujourd'hui, mercredi 27 décembre 2017, sur sa page Facebook, qu'il a écopé d'une amende de 300 DT pour insulte, conformément à l'article 57 du décret 115 de la liberté de la presse et d'un non-lieu pour le reste des accusations.
Ce verdict rendu par le Tribunal de première instance de Sousse 1, s'inscrit dans le cadre l'affaire dite de l'oeuf du ministre. Il s'agit de la plainte déposée par l'ancien procureur de la République près le Tribunal de première instance de Tunis et actuel procureur général près la Cour de cassation, Tarek Chkioua.'
Donc 300dt pour INSULTE grace au decret 115(YA BALECH!!!). MEME PAS UN VESPA!!!. Mais si un citoyen LAMBADA a insulté un procureur general. Combien aurait il de VESPA+1AN DE PRISON.
Et ces quasi journalistes veulent IMPOSER LA LOI (decret 115)SELON LAQUEL ILS DOIVENT ETRE JUGES. Sinon ,comme disait un journaliste TRES MILITANT ET TRES DEMOCRATE(qu'on ne l'entendait plus!!!) : 'En dehors de ce cadre, je ne répondrai à aucune accusation » a t il souligné.!!!
Prenons le cas de cette SNJT, que je considère qu'il ne represente pas les journalistes, mais une frange de 'journalistes' incarnant le JOURNALISME ADOLESCENT(pour ne pas dire ENFANTIN). Son 'président' a dit en JANVIER 2024, qu'il faut RECITER LA FATIHA SUR LA JUSTICE!!!!Donc après la CORDE DE LA PENDAISON voici LA FATHA!!!. Il manque d'apporter un CERCEUIL!!!C'est ça le LANGUAGE DE QUELQUES S JOURNALISTES. Et aujourd'hui il nous annonce qu'ils vont la saisir alors qu'il a demandé de reciter AL FATIHA sur elle .Serait elle la justice internationale?.Normalement ce syndicat devrait dénoncer les declarations honteuses et déplacés de ces trois ou quatre 'journalistes' qui se reconnaitraient, et les suspendre du syndicat.
Et il est NECESSAIRE d'installer UN CONSEIL SUPERIEUR DU JOURNALISME ET DES MEDIA , afin de faire respecter l'éthique et l'HONNEUR de la profession et de ne pas la laisser AUX MAINS DES DESTRUCTEURS.
Je pense que le dicton ALA RASOU RICHA a pour origine quelques journalistes qui ecrivent avec une PLUME (RICHA) et un encrier.Et qui de temps en temps (lorsqu'ils se reposent) mettent leur PLUME derriere leurs oreilles. D'ou le dicton ALA OUDHNOU RICHA qui s'est transformé peu à peu :ALA RASOU RICHA!!!!.
Accuser une personne sans preuves sur les réseaux sociaux est puni par la loi dans le monde entier
Il est temps que le tunisien en général et surtout les journalistes tunisiens apprennent à respecter la loi
C'est dommage que le journaliste Boughalleb est tombé si bas
Dans un état de droit que vous prétendez défendre personne n'est au dessus de la loi '?'pas de loi à géométrie variable malgré que ça existe dans les plus grandes pseudos démocratie du monde .
En suivant ce "raisonnement", un journaliste qui tue ne peut être poursuivi que sous le décret 115...Quel kilo de tenir des tels propos....
Non Mr Dabbar, un journaliste est un citoyen comme les autres. Arrêtons ce corporatisme malsain et soyons objectifs et honnêtes...
'J'affirme que la solidarité mécanique/la solidarité du troupeau est la forme la plus dangereuse d'injustice, de corruption et de tyrannie, et l'ennemi le plus dangereux de la liberté de pensée et d'expression, des droits de l'homme et de la démocratie. C'est pourquoi je déclare en toute clarté qu'en tant qu'être humain, en tant que citoyen libre et en tant que journaliste respectueux de sa profession, après avoir pris connaissance des raisons de l'arrestation de Mohamed Boughlab, je n'ai pas l'honneur de lui exprimer ma solidarité, et ma solidarité absolue avec la femme qui s'est plainte auprès de lui après qu'il l'ait accusée moralement et tenté de nuire à son honneur et à sa réputation de manière systématique, honteuse et sale, dans le cadre d'un règlement de comptes étroit, au nom de la liberté d'expression et en sa qualité de journaliste ? J'ai récemment publié plusieurs articles de blog dans lesquels j'ai alerté et critiqué les erreurs, l'extrémisme et les transgressions professionnelles de Boughlab'.
Et il ajoute :....
'Je mets au défi quiconque se montrerait solidaire avec lui, si la fonctionnaire dont il parlait était sa s'?ur ou un parent, il serait solidaire de lui. Et me la rendrait si vous le pouvez(RODDAHA LI IN ISTAATAAT (HAMZA))..
Nous sommes tous des citoyens avant et après. En particulier, la loi doit s'appliquer à tous, sans exception politique ou autre.