
Une campagne de soutien a été lancée, vendredi 22 mars 2024, sur les réseaux sociaux en faveur du chroniqueur Mohamed Boughalleb qui comparait aujourd’hui à l’Aouina en tant qu’accusé.
Mohamed Boughalleb comparait en ce moment, selon son avocat, devant la cinquième brigade centrale de la Garde nationale à l’Aouina.
Il a présenté ce matin un certificat médical attestant que son état de santé ne lui permettait pas de comparaitre à l’Aouina mais la brigade a rejeté le document. Il n’a pas été informé de l’objet de sa convocation ni de l’identité de la partie plaignante déplorent aussi de nombreuses personnalités sur la toile.
Elles ont aussi été nombreuses à saluer le professionnalisme du chroniqueur connu pour ne pas avoir sa langue dans sa poche et lui ont exprimé un soutien inconditionnel.
M.B.Z
Allah yomhil wè lè yohmil.
Les solidarités de corps, de classe, ont cette singularité d'être agitées dès que l'un des membres est en cause.
On se fête dans l'entre-soi, on se congratule, on loue les qualités et le génie, parfois, de ses pairs, sans faille et sans retenue.
Et si par hasard, le sort abandonne un confrère, un ami, un semblable, toute la corporation se lève pour lui porter secours.
Les avocats soutiennent les avocats, les médecins crient au danger lorsqu'un confrère est touche, et pas une caste ne saurait manquer à cet impératif de solidarité.
Les lecteurs attentifs de Montesquieu qui ne tarissent pas d' éloge à son endroit, et croit lire chez lui ce que mêle il n'a pas écrit, pourraient nous rappeler que le même génie avait pensé que les nobles ne devaient pas être jugés par les tribunaux où l'on pouvait faire la rencontre d'un roturier.
Les nobles ne devaient relever que de tribunaux spécifiques et juges par leurs pairs.
Cette haute pensée ne semble pas avoir suscité des interrogations chez les admirateurs du seigneur de la Brède.
Pour mon compte, je reste admiratif de la pérennité de cet aveuglement et par certain côté scandalisé de ce que des bipèdes croient encore en leur haute élection source de morgue et de tous les privilèges qu'ils ont seuls décidés pour donner sens à leurs privilèges.
Ce monsieur n'est qu'un citoyen et à ce titre a droit aux mêmes égards que tout autre citoyen.
Pas plus, et pas moins.
Donc, je ne saurai lui être solidaire.
Et l'article ne m'en fournit pas les éléments......
La révolution de l'Ayatollah Ruhallah Khomeiny a galvanisé le mouvement islamiste Tunisien qui sera plus tard récupéré par des organismes comme le MI6. Le James Bond Tunisien de l'époque aux incisives calcifiées aura pour nom de playboy international Rached Ghannouchi, l'homme dont les chaussettes pétrifiées de sueur sèchent tristement sur un fil de fer a la prison de la Mornaguia.
Le Tunisien est un être mercantile qui raffole de l'argent. Il est aussi patriote que mes hémorroïdes qui me font souffrir en ces jours humides d'hiver.
Tous les prisonniers politiques qui croupissent en prison sont accusés de haute trahison a juste titre. Tous en effet se débattent avec un sourire dans les tentacules de George Soros et ont des comptes en banque bien garnis de devises qui brillent même dans le noir, comme les sous-vêtements roses de mon ex-épouse achetés a des sommes modiques de la friperie de Grombalia.
Ils crient cependant leur innocence et accusent ce Chef d'Etat courageux d'être un dictateur et ce pauvre gouvernement en guenilles d'avoir violé leurs droits de respectables citoyens.
La Tunisie sombre à cause de ces trafiquants en tout genre y compris les trafiquants de drogue et d'êtres humains. Il y aussi les spéculateurs véreux de cette région du Sahel connue pour sa cupidité et ses recettes ou mijotent des poulpes qui sentent les organes génitaux à l'hygiène inferieure aux normes internationales.
Tous sont des traitres sans scrupules et sans vergogne.
Tous doivent payer par de longues sentences ou la peine de mort.
Le Tunisien est maitre en l'art de mentir quand il s'agit d'argent. Comme cette gueuse nommée SBS qui recevait des couffins d'oseille de la CIA et qui criait à la torture et a sa nostalgie du Protectorat Français.
Mais il y aussi ce général a la gueule patibulaire qui pendant l'avant 14 Janvier 2011 recevait des ordres de la CIA par téléphone afin de « sauver le pays » des griffes de Ben Ali et de la famille Trabelsi.
Sans compter BCE qui après le départ de Ben Ali négociait le prix de Kadhafi et de la Lybie avec les généraux de l'OTAN au Qatar en compagnie de son cretinuche sans avenir de fils.
La sauvegarde de notre Nation passera par une éradication de ces parasites et bactéries comme les décrivait si bien Bourguiba.
JOHN WAYNE