Ce n'est pas du bizarre si les intellects Tunisiens ont été élus nombre de conseils en priorité dans cette institution la preuve que la dite-revolution n'a pas été une obligation mais peut être elle avait brouillé la piste aux vrais diplomates ainsi qu'aux gestionnaires de l'état et la gouvernance devenue qu'un centre d'apprentissage et les hommes de compétence sont mis à l'écart qui été la cause de plusieurs échecs par contre l'ancien système qui était réformé été mieux organisé et le secret c'est le choix des hommes de domaine et Haddi Bekouche l'homme irremplaçable Ben Ali savait bien les dirigeants auxquels il fessait confiance.
Mieux si le système de l'ancien régime sera mis en valeur une autre fois bien sure faut l'actualiser