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Taieb Baccouche : j’étais la cible d'un plan d'assassinat après Belaïd et Brahmi
Dans une déclaration accordée samedi 9 novembre 2024, à Jawhara FM, l’ancien ministre des Affaires étrangères, Taieb Baccouche a affirmé qu’il a été la cible d'un plan d’assassinat.
Taieb Baccouche a affirmé que ce plan devait se dérouler après les assassinats de Chokri Belaïd et Mohamed Brahmi. « Les forces de l’ordre et les avocats ont révélé le plan de mon assassinat lors d’une conférence de presse » a affirmé M. Baccouche.
De février 2015 à janvier 2016, Taieb Baccouche a été ministre des Affaires étrangères. Il a également été l'un des leaders du parti Nidaa Tounes notamment.
H.K
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Commentaires
Un Tunisien.
.........
a posté le 10-11-2024 à 14:40
Apparemment il a beaucoup de fans, ***
Le Baron
Mr 10000 dollars
a posté le 10-11-2024 à 12:50
Mr 10000 USD par mois pour ne rien faire a l'uma fermes la et fait profil bas sinon...
ZABA
Moi Aussi....
a posté le 10-11-2024 à 08:04
Moi aussi, je suis une personne insignifiante et j'ai été enlevé par des extraterrestres...
ourwa
Les collaborateurs de najdha entre 2011 et 2021 naviguent toujours dans le " coeur des ténèbres"?
a posté le 09-11-2024 à 22:51
" « Les forces de l'ordre et les avocats ont révélé le plan de mon assassinat lors d'une conférence de presse » a affirmé M. Baccouche Sic. Comment et pourquoi, BN ne nous a pas fait part de cette conférence de presse? Toutefois, ces forces de l'ordre, auraient-elles un quelconque rapport avec la police parallèle au ministère de l'intérieur et inféodée à nahdha ? Dans ce sens, qu'en est-il de la fameuse " chambre noire" au sein de ce même ministère ? Nous voulons tout savoir...autrement, il y a aura 3,5% de taux de participations aux prochaines élections, quelles qu'elles soient...
Abel Chater
Qui est ce Taieb Baccouche, pour qu'ils aient même un seul iota de risque, jusqu'à penser à l'assassiner et où est leur intérêt d'éliminer un tel "Sahli Bou Dabbouza", qui collait lui-même par de la glu de farine au pantalon de Béji Caïed Essebsi, à l'image de Nèji Jalloul, Samir Taïeb et tant d'autres de son espèce !!!
a posté le 09-11-2024 à 20:59
J'attire l'attention des Tunisiens sur une vérité qu'ils omettent presque tous. Il suffit de discuter avec n'importe quel enseignant du Sahel, il te raconterait que tels et tels ministres et tels ou tels hauts responsables de l'Etat tunisien, étaient ses élèves, sans jamais te dire que les deux défunts dictateurs déchus Bourguiba et Ben Ali, ne désignaient que des "Swahliya" de leur région du Sahel, aux postes de ministres ou de hauts responsables de l'Etat. Ce n'est pas que l'Enseignant du Sahel qui est un génie formateur de ministres et de hauts responsables de l'Etat, mais c'est la séquestration et la captivité de l'Etat tunisien par les régionalistes "swahliya", jusqu'au décès du président Béji Caïed Essebsi, qui nous a détruit notre Patrie la Tunisie. Ils sont allés jusqu'à préparer le bras droit de Béji Caïd Essebsi, Abdelkrim Zbidi, qui lui a préparé son enterrement théâtral, avec cortège et cavaliers du Bey, pour lui prendre sa place, comme c'est d'usage chez les "Swahliya".
Donc, où était-il ce Taïeb Baccouche dans tout cela, sinon à coller autour du pouvoir du président Caïd Essebsi, qui a fini par le nommer dans le poste frigo de Secrétaire général de l'Union du Maghreb arabe depuis mai 2016!!!
Quel détraqué mental pouvait-il vouloir se débarrasser de l'inconnu, exactement au même niveau incognito que Chokri Belaïd et Mohamed Brahmi, assassinés par les Emirats hébraïques, dans le seul but de faire destituer le parti d'Ennahdha, du pouvoir démocratique de la nouvelle Tunisie révoltée contre les dictateurs du Sahel!!!
Même à son âge avancé, le pied droit dans la tombe et l'autre pied en direction du cimetière, Taïeb Baccouche, veut qu'on parle de lui mensongèrement. Une maladie des grandeurs très répandue chez les "Swahliya".
Le pouvoir s'avère une maladie pour ceux qui manquent de vraie personnalité. Comme ils savent qu'ils ne sont rien du tout sans pouvoir, ils finissent par s'accumuler les Damnations de la population, jusqu'à leur dernier jour. Même ceux qui viennent pour leur enterrement, ne viennent en vérité, que pour rencontrer ceux qui sont encore au pouvoir.
Je me rappelle du décès du Maire de longue durée de la ville d'Hammam-Lif, le Docteur Sadok Boussoffara. Je vous jure au Nom d'Allah le Tout Puissant, qu'on était six ou sept personnes à l'accompagner pour le faire sortir de sa maison, jusqu'à la camionnette qui allait le transporter vers Mahdia. Il y avait un policier atteint de strabisme du nom de "Belli", qui n'a pas laissé le cercueil sortir, sans qu'on ne lui apporte un marteau et des clous, afin qu'il scelle le cercueil avec de la cire à cacheter rouge. Il nous disait que le cercueil allait passer d'un gouvernorat à un autre. Mon frère Ahmed M'ghirbi du Club Sportif d'Hammam-Lif (Allah yèrhamou wè innaâmou), était le plus actif dans cet acte d'Adieu pour le Docteur Sadok Boussoffara. Même le frère et quelques membres de la famille Boussoffara, n'avaient pas le courage de protester le moindre. Je jure au Nom d'Allah le Tout Puissant, que c'était moi qui insista à détourner le cercueil vers un tour du rond-point d'Hamma-Lif, qui était à deux ou trois cents mètres de la maison Boussoffara. Les deux policiers "Bellil" et Hajji (Allah yèrhamou wè innaâmou) un policier d'honneur et de parole, n'ont utilisé aucune force contre nous. J'ai dit au bon policier "Hajji" que je salue son âme encore une fois par (Allah yèrhamou wè innaâmou), que si Boussoffara était encore au pouvoir sous Bourguiba, on aurait vu la ville d'Hammam-Lif encerclée de policiers et de gendarmes, pour lui accompagner son cercueil jusqu'à Mahdia. Mais sans pouvoir, son cercueil était par terre dans son couloir. Hajji, m'a souri en signe de compréhension totale.
Par la suite, j'étais avec mon fils au cimetière de Mahdia, j'ai trouvé la tombe de Boussoffara, primitivement préparée par du déchet de faïence murale. Nous finirons tous sous terre comme lui.
Donc, le pouvoir ne dure ni ne perdure pour personne. Inutile de mentir et de se faire gonfler par des histoires mythologiques et intrigantes. Nous partirons tous dans l'Au-delà. Personne ne durera sur cette terre. Seule son âme ira ou au Paradis ou en plein milieu dans le noyau du soleil, pour lui servir de combustibilité. Allah yèaâfinè wè yèaâfikom mine charri Abou Lahab.
Allah yèhlik Ass-hab el-charr.
Donc, où était-il ce Taïeb Baccouche dans tout cela, sinon à coller autour du pouvoir du président Caïd Essebsi, qui a fini par le nommer dans le poste frigo de Secrétaire général de l'Union du Maghreb arabe depuis mai 2016!!!
Quel détraqué mental pouvait-il vouloir se débarrasser de l'inconnu, exactement au même niveau incognito que Chokri Belaïd et Mohamed Brahmi, assassinés par les Emirats hébraïques, dans le seul but de faire destituer le parti d'Ennahdha, du pouvoir démocratique de la nouvelle Tunisie révoltée contre les dictateurs du Sahel!!!
Même à son âge avancé, le pied droit dans la tombe et l'autre pied en direction du cimetière, Taïeb Baccouche, veut qu'on parle de lui mensongèrement. Une maladie des grandeurs très répandue chez les "Swahliya".
Le pouvoir s'avère une maladie pour ceux qui manquent de vraie personnalité. Comme ils savent qu'ils ne sont rien du tout sans pouvoir, ils finissent par s'accumuler les Damnations de la population, jusqu'à leur dernier jour. Même ceux qui viennent pour leur enterrement, ne viennent en vérité, que pour rencontrer ceux qui sont encore au pouvoir.
Je me rappelle du décès du Maire de longue durée de la ville d'Hammam-Lif, le Docteur Sadok Boussoffara. Je vous jure au Nom d'Allah le Tout Puissant, qu'on était six ou sept personnes à l'accompagner pour le faire sortir de sa maison, jusqu'à la camionnette qui allait le transporter vers Mahdia. Il y avait un policier atteint de strabisme du nom de "Belli", qui n'a pas laissé le cercueil sortir, sans qu'on ne lui apporte un marteau et des clous, afin qu'il scelle le cercueil avec de la cire à cacheter rouge. Il nous disait que le cercueil allait passer d'un gouvernorat à un autre. Mon frère Ahmed M'ghirbi du Club Sportif d'Hammam-Lif (Allah yèrhamou wè innaâmou), était le plus actif dans cet acte d'Adieu pour le Docteur Sadok Boussoffara. Même le frère et quelques membres de la famille Boussoffara, n'avaient pas le courage de protester le moindre. Je jure au Nom d'Allah le Tout Puissant, que c'était moi qui insista à détourner le cercueil vers un tour du rond-point d'Hamma-Lif, qui était à deux ou trois cents mètres de la maison Boussoffara. Les deux policiers "Bellil" et Hajji (Allah yèrhamou wè innaâmou) un policier d'honneur et de parole, n'ont utilisé aucune force contre nous. J'ai dit au bon policier "Hajji" que je salue son âme encore une fois par (Allah yèrhamou wè innaâmou), que si Boussoffara était encore au pouvoir sous Bourguiba, on aurait vu la ville d'Hammam-Lif encerclée de policiers et de gendarmes, pour lui accompagner son cercueil jusqu'à Mahdia. Mais sans pouvoir, son cercueil était par terre dans son couloir. Hajji, m'a souri en signe de compréhension totale.
Par la suite, j'étais avec mon fils au cimetière de Mahdia, j'ai trouvé la tombe de Boussoffara, primitivement préparée par du déchet de faïence murale. Nous finirons tous sous terre comme lui.
Donc, le pouvoir ne dure ni ne perdure pour personne. Inutile de mentir et de se faire gonfler par des histoires mythologiques et intrigantes. Nous partirons tous dans l'Au-delà. Personne ne durera sur cette terre. Seule son âme ira ou au Paradis ou en plein milieu dans le noyau du soleil, pour lui servir de combustibilité. Allah yèaâfinè wè yèaâfikom mine charri Abou Lahab.
Allah yèhlik Ass-hab el-charr.
Ter4
Qui est tu?
a posté le 09-11-2024 à 20:46
Encore un bouffon qui veut qu'on parle de lui...
Les tunisiens s'en tapent royalement de ta vie.
Les tunisiens s'en tapent royalement de ta vie.
Un tunisien.
...
a posté le 09-11-2024 à 18:19
On raconte aussi aux alentours du zoo du Belvédère qu'un des singes était lui aussi la cible d'un plan d'assassinat après brahmi et belaid.