
La chambre d’accusation de la Cour d’appel de Tunis a décidé, mercredi 19 février, la remise en liberté de Sihem Ben Sedrine, qui avait fait appel de la décision du premier juge d’instruction du pôle judiciaire économique et financier, selon le porte-parole de la Cour, Habib Torkhani, cité par l’agence de presse Tap.
Habib Torkhani a précisé que la chambre d’accusation a examiné l’appel de Mme Ben Sedrine contre le rejet de sa demande de libération dans l’affaire du falsification du rapport final de l’Instance Vérité et Dignité (IVD).
La chambre a ainsi décidé de la libérer, tout en lui interdisant de quitter le territoire. Cette décision entraîne donc sa libération immédiate, puisque son mandat de dépôt ne concernait que cette affaire.
Pour rappel, le juge d’instruction du pôle judiciaire économique et financier avait émis, le 1er août 2024, un mandat de dépôt contre Sihem Ben Sedrine, à la suite d’une plainte déposée par une ancienne fonctionnaire de l’IVD, l’accusant d’avoir falsifié le rapport final de l’instance. Un rapport qu’elle aurait rédigé toute seule sans l’aval des autres membres de l’instance avec trois versions différentes. Une première version remise au président de la République, une deuxième version remise au parlement et à la présidence du gouvernement et une troisième version publiée sur le site de l’instance et au Journal officiel.
Elle a entamé une grève de la faim le 14 janvier courant, coïncidant avec l’ancienne date de la révolution, pour interpeller les autorités sur son cas. Elle précise qu’elle ne peut plus supporter l'injustice qui lui est infligée.
Ben Sedrine fait également l’objet de cinq autres affaires en lien avec sa présidence de l’IVD, dont celle concernant la falsification du rapport final dans la partie relative au litige entre l’État tunisien et la Banque franco-tunisienne (BFT), un dossier tranché en faveur de la Tunisie par la justice arbitrale internationale.
Initialement laissée en liberté mais sous interdiction de voyage, Sihem Ben Sedrine avait finalement été placée en détention par décision du juge d’instruction, avant d’être libérée aujourd'hui.
R.B.H
il y'a un député tunisien qui est au courant, il est bien informé sur cette somme d'argent phénoménale attention il ne faut jamais protéger les cupides et traîtres tunisiens et tunisiennes
1-A failli ruiner la TUNISIE par une condamnation de 37 milliards de DINARS (soit 37 mille milliards de millimes , l'équivalent de la moitié du budget de la TUNISIE) à payer à la BFT.
2-S'est précipitée à envoyer des camions pour prendre LES ARCHIVES de la présidence ,le jour de l'élection de BEJI (pourquoi elle ne les a pas envoyé du temps du TARTOUR!!!).
3-Elle a voulu entrer dans l'histoire par la grande porte. Mais elle est entrée par la GRANDE PORTE de la prison de MANNOUBA.(mais c'est mieux qu'une grande porte d'un autre établissement .....à MANNOUBA aussi).
ELLE A PAYé SEULEMENT UN ACCOMPTE.
La morale - à si vous saviez- La morale et l'élégance du coeur voudrait que l'on ne jamais la maladie, la prison ou la mort à toute être humain..
Certes 3000 ans d histoire de civilisation : MAIS avec les romains , la moitié de la population était esclaves , les vandales des hordes de tueurs et l'empire ottoman des renégats européens et des enfants du Caucase devenus janissaites et des pirates et qui pillé la Tunisie pendant 4 siècles....
Allah yostir Tounes.
Abir Moussi reste en prison et Sirène Belle *** est libérée....
(j'espère sincèrement que cette dernière y retourne d'ici peu)


