
Le secrétaire général adjoint de l’UGTT, Samir Cheffi a indiqué, jeudi 27 octobre 2022, lors de son passage sur la chaîne France 24, que la situation économique est très difficile et compliquée à cause des cumuls d’une crise économique de dix ans.
Le responsable syndical a considéré que cette crise est restée sans issue puisqu’aucune alternative n’a été trouvée afin de rompre avec le modèle économique défaillant. Dans ce contexte, il a assuré que la centrale syndicale n’avait pas cessé d’appeler à la nécessité de parvenir à une approche alternative capable de mettre un terme aux choix économiques injustes ayant abouti à la discrimination, l’hégémonie de la classe fortunée et la prolifération de la corruption au détriment d’un système garantissant l’égalité des chances. « Malheureusement, après un an et quelques mois, les résultats du 25-juillet n’étaient pas à la hauteur des aspirations. Y a -t-il quelqu’un qui serait au courant du contenu de l’accord avec le FMI ? Comme tous les Tunisiens, nous ignorons les conditions imposées par le FMI et qui seraient acceptées par le gouvernement. Nous acceptons la conclusion d’un accord, mais nous refusons le fait que cet accord soit fait au frais des citoyens », souligne Samir Cheffi.
D’autre part, il a assuré que la levée des compensations conduirait à une explosion sociale, rappelant que la centrale syndicale rejetait la privatisation du service public qu’elle voudrait plutôt réformer. « Nous refusons que cet accord soit basé sur la réduction de la masse salariale et le gel des recrutements dans la fonction publique. Nous nous entretenons avec le gouvernement Bouden. Lorsque nous contestons certaines décisions, cela ne veut pas dire que nous sommes contre l’intérêt national. Nous faisons partie de ce pays et nous ne cherchons pas à le détruire, ni à le disloquer ».
S.H

Comme si l'on sai1s que vous êtes tous des léches-bottes de nahdha, à commencer par Taboubi.
Et avec cela le gouvernement vous traite en consciencieux.
Mahabbitouch tihchmou âala rawhakoum tskaibou liblad âala garnkoum. Walla tskhaibouna aghbiya.

