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Samia Abbou : le chef de l’État n'a jamais dit que son mandat prenait fin en 2024
06/02/2023 | 09:44
6 min
Samia Abbou : le chef de l’État n'a jamais dit que son mandat prenait fin en 2024

 

La députée et figure du parti Attayar, Samia Abbou, a déploré l’absence d’avancement au niveau du dossier de l’assassinat de Chokri Belaïd. Elle a estimé que ce dossier était devenu un outil de marchandage et de propagande lors des campagnes électorales. « Qu’est ce qui empêchait le président de la République, Béji Caïd Essebsi, de faire avancer les choses ? Ils ont accusé le mouvement Ennahdha avant les élections pour s’allier à eux par la suite », a-t-elle déclaré.

Invitée le 6 février 2023 par Malek Khaldi à La Matinale sur Shems FM, Samia Abbou a considéré que la magistrature n’était pas indépendante. Elle est, selon elle, victime de harcèlement et de pressions politiques. Elle a indiqué que même du temps de Noureddine Bhiri, ancien ministre de la Justice et figure du mouvement Ennahdha, des magistrats avaient été révoqués.

« Depuis le temps de Ben Ali, rien n’a changé. Le système est le même : être au pouvoir, y rester, nommer mes soutiens, accorder des avantages à une certaine partie… L’outil de révocation utilisé représente, à lui seul, une forme de chantage… Les magistrats n’ont plus à subir des pressions ou à recevoir des instructions directes. Ils savent comment trancher dans certains dossiers suivis par le pouvoir… Avant, certains dossiers étaient enfouis en raison des instructions politiques… L’indépendance de la magistrature est un élément essentiel à la transition démocratique… Même l’investisseur aura confiance en ce pays », a-t-elle ajouté.

 

Samia Abbou a considéré que le chef de l’État, Kaïs Saïed, devait partir. Elle a affirmé que les décisions du président n’étaient pas à la hauteur des sacrifices. Elle a évoqué une renonciation à certains principes dans le cadre de l’annonce des mesures exceptionnelles. Elle a considéré qu’il n’y avait pas de différence entre lui et ceux qui l’ont précédé. Elle a appelé à la tenue d'élections présidentielles anticipées en raison de la promulgation d'une nouvelle constitution. Elle a expliqué que les prérogatives qu’il exerçait ne lui étaient pas accordées en vertu de la constitution de 2014.

« Selon les dispositions transitoires, le président de la République continuera à émettre des décrets et à appliquer le décret n°117 jusqu’à la création d’un nouveau parlement. La constitution n’évoque pas la question de la présidence. Elle ne précise rien à ce sujet. On ne sait pas quand le mandat du président a commencé. On parle de la fin de ce dernier en 2024, mais sur quelle base ? On fait circuler cette information comme s’il s’agissait d’une réalité. Qui a dit ça ? Il exerce selon la constitution de 2022. Il ne peut pas faire appel à la légitimité de la constitution de 2014 en même temps que celle de 2022… Le président n’a jamais annoncé que son mandat prenait fin en 2024… Il a la possibilité, selon la constitution de 2022 de prolonger son mandat. Il lui suffit d’annoncer l’état d’exception et de constater un péril imminent », a-t-elle affirmé.

Samia Abbou a expliqué que Kaïs Saïed était la seule personne habilitée à procéder à cela. Elle a demandé aux médias de donner la parole aux experts et spécialistes en droit constitutionnel afin d'expliquer la situation. Elle a critiqué sa politique de passage en force notant qu’il s’était octroyé les pleins pouvoirs en raison du soutien de l’armée et celui de la police. Elle a rappelé que les participants à la consultation électronique avaient demandé une révision de la constitution et non la promulgation d'un nouveau texte. Elle a, également, affirmé que le chef de l'État a adopté un texte qu'il avait lui-même rédigé et avait mis de côté les propositions de la commission nationale consultative pour une nouvelle République. Elle a déploré les nombreuses fautes accompagnant le premier projet publié lors de la campagne référendaire.

Samia Abbou a estimé que les manœuvres politiques ont conduit le pays à la dérive. Elle a estimé qu’il n’y avait pas de véritable vie politique, mais une guerre autour de la maîtrise du système de Zine El Abidin Ben Ali. Il s’agit d’une guerre visant à avoir le contrôle sur l’administration et sur les institutions de l’État. Elle a considéré que l’annonce des mesures exceptionnelles à la date du 25 juillet 2021 par le président de la République, Kaïs Saïed, aurait pu représenter un changement de paradigme.

« Le prochain parlement sera fragmenté et dépourvu de pouvoir… Le parlement représente l’un des trois pouvoirs en raison de ses prérogatives législatives et fondamentalement de contrôle. Sans contrôle, il n’y a pas d’équilibre entre les pouvoirs… Ce dernier a été totalement annulé… Aucun élu ne pourra contrôler l’activité gouvernementale, faire son travail et dire les choses telles qu’elles sont tout en étant menacé d’être poursuivi pour diffamation ou de voir son immunité levée… Aucun député ne pourra voter selon ses convictions et rester libre en raison du mécanisme de révocation. Si ce mécanisme existait en 2014, seuls les contrebandiers et les corrompus seraient restés au parlement », a-t-elle dit.

Concernant la composition de la prochaine Assemblée des représentants du peuple, elle a assimilé les législatives à des élections municipales. Chaque candidat, selon elle, aurait fait des promesses relatives à sa région. Elle a pointé du doigt le manque de cohésion entre les élus. Elle a conclu que la prise de décision sera assez difficile à faire. Elle a assuré que l’ancienne assemblée fonctionnait normalement malgré les rivalités politiques en raison de l’existence des blocs parlementaires. Elle a expliqué qu’elle se conformait à la position adoptée par le bloc.

 

 

« Celui qui a cherché à ne pas créer une cour constitutionnelle a subi les conséquences de cette décision. Je me rappelle que durant la législature de 2013-2019, Ennahdha, Nidaa tounes, l’Union patriotique libre et Afek Tounes représentaient plus de 170 députés. Ennahdha et Nidaa tounes avaient cumulé plus de 145 élus. Ils auraient pu faire passer une cour constitutionnelle, mais ils n’ont pas voulu le faire… Un bloc de 45 députés ne sert à rien dans le prochain parlement… La création d’un bloc par l’initiative « Pour que peuple triomphe » n’est pas une victoire… Nous avions, dans le passé, plusieurs blocs », a-t-elle poursuivi.

Samia Abbou a affirmé que la nouvelle constitution permettait la mise en place des commissions populaires et que chaque groupe de citoyens pouvait créer une structure similaire. Elle a qualifié la chose de très grave. Elle a assuré que le chef de l’État n’était pas différent de ceux qui ont gouverné avant le 25 juillet. Elle a évoqué une mauvaise gouvernance et un népotisme flagrant. La Tunisie, selon elle, ne peut sortir de la crise actuelle qu’en se soumettant aux pressions des bailleurs des fonds tels que le Fonds monétaire international. Elle a estimé que le chef de l’État s’est engagé dans une guerre contre l’UGTT afin de provoquer sa colère avant la mise en place des réformes qu’il finira par appliquer.


S.G

06/02/2023 | 09:44
6 min
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Commentaires
Majid
Deputation
a posté le 12-02-2023 à 12:30
Samia Abou n est plus députée
SALIM
MICHEL POLNAREF A CHANTE
a posté le 06-02-2023 à 17:50
C'est une poupée
Qui fait "non, non, non, non"
Toute la journée
Elle fait "non, non, non, non"
............
C'est une poupée
Qui fait "non, non, non, non"
Toute la journée
Elle fait "non, non, non, non"
Personne ne lui a jamais appris
Qu'on pouvait dire oui.
Sans même écouter
Elle fait "non, non, non, non"
Sans me regarder
Elle fait "non, non, non, non"
Pourtant je donnerais ma vie
Pour qu'elle dise oui
Pourtant je donnerais ma vie
Pour qu'elle dise oui
Mais c'est une poupée
Qui fait "non, non, non, non"
Toute la journée
Elle fait "non, non, non, non"
Personne ne lui a jamais appris
Que l'on peut dire oui
"Non, non, non, non"
"Non, non, non, non"
"Non, non, non, non, non, non"
Ancien '?lu de la république française
Madame pour les insultes, elles ne sont que l'arme des faibles et des traîtres
a posté le 06-02-2023 à 16:56
Madame si j'étais à votre place, je fermerais mon clapet, il me semblait vous étiez députée , je vous demande une seule chose, vous avez fait quoi pour les pauvres et les plus démunis, puis votre mari était ministre aussi, il a fait quoi contre la corruption, madame tous les deux vous faites le couple idéal, vous êtes les champions des mensonges, madame je peux vous dire KASSOUN est un homme clean, madame si vous êtes vraiment courageuse je vous demande d'aller sillonner les régions tunisiennes vous saurez par vous même la popularité de Mr Kaïs Saïed, madame j'ai sillonné énormément de régions tunisiennes du 30 octobre jusqu'au 25 décembre 2022 j'ai parlé, j'ai discuté avec ahali iRRiF la plus grande majorité ont confiance en Mr Kaïs Saïed, aujourd'hui votre mari et vous même vous critiquez Kaïs Saïed, je vous demande quand vous vous levez le matin regardez vous bien dans la glace , madame franchement j'ai honte pour vous, madame si vous avez perdu la clef, il faut retourner chez le serrurier pour faire le double et pour fermer vos clapets , madame pour les insultes, elles ne sont que l'arme des faibles et des traîtres de la Nation Tunisienne, madame je connais très très bien les politiciens tunisiens et tunisiennes, je sais comment ils travaillent, quand ils reçoivent un citoyen, ils l'avalent avec leurs mensonges, madame en France voilà comment ils fonctionnent les élus -es quand ils reçoivent un citoyen, on écoute la personne, après on envoie un courrier à l'administration concernée et un duplicata au citoyen pour prouver notre honnêteté pour les citoyens, en Tunisie tout cela n'existe pas et n'existera jamais, le jour où cela existera je dirais la Tunisie a commencé une vraie démocratie, madame je suis assil iRRiF ahlou erroujoula ahlou ELWATTANiA ahlou elkaram luid ETTABOUNA, je changerai jamais, je pense que vous connaissez ce proverbe, il y'a que l'escargot qui sort de sa coquille, madame je rajoute les habits ne font pas le moine, à la fin madame je soutiens Kaïs Saïed jusqu'à la fin de ma vie
LE CURIEUX
P'?RE-NO'?L...!
a posté le 06-02-2023 à 13:48
Un dictateur n'a pas vocation à annoncer son retrait ou l'organisation d'élection pour se maintenir, plutôt garder "son" trône.
Depuis juillet 2021, toute la Tunisie appartient au nouveau Prince de Carthage.
Le peuple tunisien aime et apprécie la soumission (STAKKA).
Quant à la soit disant révolution, c'est du passé.
Une parenthèse qui est déjà refermée car le tunisien est totalement indifférent au machin de démocratie.
Il ne faut pas croire au Père Noël.
Saied est parti pour rester et faire perdurer son pouvoir autocratique.
C'est du pain béni pour un petit universitaire déjà à la retraite.
Pour vivre heureux, pas mieux que crécher à Carthage.

Famous Corona
Hahahahaha
a posté le 06-02-2023 à 13:28
Mais ***, c'est normal, puisque c'est archi sûr qu'il sera réélu pour un second mandat !!!?
Hermès
Désormais, il le sera même après 2024!
a posté le 06-02-2023 à 13:02
Le président de la République ne quittera que s'il assainissera le pays avec grand Karcher les moucherons comme vous qui nuisent à l'avenir du peuple saint .
Anwar
Bravo
a posté le à 13:43
Totalement d'accord avec vous.
MFH
. KS à la barre
a posté le 06-02-2023 à 12:42
Il n'y a pas longtemps, la "camelionne" Abbou, tenait un langage autre que celui d'aujourd'hui.
Il faudrait se mettre à l'esprit, que les conditions préalables à la démocratie ne sont pas encore réunies chez nous, et qu'à ce titre, KS ne devrait plus lâcher prise sinon c'est la catastrophe. Il devrait seulement réviser le choix de son équipe, choisir les meilleurs, les plus honnêtes, sans plus.
Naim
Tu m'incommode.
a posté le 06-02-2023 à 11:39
Tu n'as pas marre de la ramener à chaque fois pour débiter des bêtises aussi grosses que ta gu...eule ?
takilas
Une restructuration intégrale s'impose.
a posté le 06-02-2023 à 11:39
- Primo il faut que les menaces de ces malfrats nahdha finissent !
- Secondo il devient indispensable que les nommés dans les postes clés, tous sans exception, lors de troïka, soient révisés voire annulés, même les recrutés (sudistes dans leur majorité) sans niveau d'instruction dans la fonction publique à Tunis.
Abir
Mahlaha dhohk sidi cheik est sortie de son hibernation
a posté le 06-02-2023 à 11:38
Je vais juste décrire ta conduite: Tu es une gamine qui ne sait pas qu'est ce que c'est la patriotisme et les sacrifice pour son pays! Hahy elmadhouna elmounafi9a, est sortie de son hibernation! Un des plats immangeables servit dans les plateaux ! Cette gamine haineuse et jalouse envers une collègue et patriote sincère , qui est ABIR MOUSSI, tu l'as saboté provoqué, rien que pour faire plaisir à sidek cheik et le non karama! A ta place tu devrais avoir honte et tu continue à t'hiberner même si on t'invite! Celui qui respecte son pays et
le défend ne doit pas t'inviter ni toi ni tes semblable ! La Tunisie a payé cher de votre hypocrisie et opportunisme
SAM53
RECTIFIEZ SVP
a posté le 06-02-2023 à 11:27
BN elle n'est plus députée
Tunisino
Samia Abbou
a posté le 06-02-2023 à 11:11
Samia Abbou, la littéraire illettrée qui ne sait pas sur quel pied danser. Durant 2021, elle a fait tout pour que Saied utilise l'article 80, en espérant qu'il arrache le pouvoir du littéraire traitre Ghannouchi pour le céder aux littéraires rêvant Abbous, sans se projeter dans le futur comme tous les littéraires et les illettrés de la république des imbéciles, elle est d'intelligence limitée et de formation faible. L'ingratitude du littéraire aventurier de Carthage l'a rendu folle, alors elle a tourné la veste pour l'insulter jour et nuit. Voila les politiciens de la république des traitres et des aventuriers, des nuls qui cherchent à se valoriser sur le dos des pauvres tunisiens.
souilem
Vous êtes la principale cause de cette destruction
a posté le 06-02-2023 à 10:34
Mme Abou, savez vous que vos attitudes, votre idéologie, votre soutien à Ennahdha et vos coups bas envers Abir Moussi au sein de l'ancienne assemblée étaient la cause principale de la situation actuelle de la Tunisie sur le plan politique, économique et sociale. Par vos diverses interventions et cris au sein de l'ancienne assemblée, vous avez réussi à créer une mauvaise image de l'assemblée nationale et vous avez permis à d'autres partenaires politiques de saisir cette occasion pour contrer cette mauvaise image et lancer leur programme sociale. Votre parti, celui d'Ennahdha et celui d'Al Karama constituait ainsi la mafia de la période 2011-2021 durant laquelle les tunisiens ont vu de toutes les couleurs (assassinats, terrorisme, corruption, vol, mensonge, détournement d'argent, envoi de jeunes tunisiens dans les zones de tension pour Jihed et tuer des innocents,....), Mme Abou, vous avez contribué pleinement à la démolition de la Tunisie de toutes ses structures alors que le devoir national entant que députée exige de vous de défendre l'intérêt du pays et non du parti. Aujourd'hui, vous vous présentez entant que conseillère au Président KS en critiquant ses prorogatifs alors que vous avez perdu la confiance du peuple. Quels gâchis ! au moins Abir Moussi était très claire dans son combat et son patriotisme, dommage qu'elle est entrain de perdre petit à petit son socle de futurs électeurs à cause de ses apparitions folkloriques et ses agissements non contrôlés. Elle pourrait faire mieux et revenir à son état initial pour un potentiel accru de ses adhérents.
retraité
il peut se présenter ou non
a posté le 06-02-2023 à 10:15
l'élection présidentielle doit se faire en 2024 car les électeurs l'ont élu pour un mandat de 5 ans s'il se présente de nouveau pour un deuxième mandant ce sont les électeurs qui doivent le confirmer ou non c'est la démocratie en France le président Sarkozy n'a pas été élu pour un second mandat et son successeur Hollande a choisi de ne pas se présenter à un deuxième mandant .
A4
Un dieu c'est éternel !!!
a posté le 06-02-2023 à 10:07
ROBOCOP (3)
Ecrit par A4 - Tunis, le 10 Octobre 2021

Tel un maudit pécheur
Je viens vous avouer
Mon passé de tricheur
Aux actes inavoués

Tel un vil repenti
A genoux je me mets
Je me fais tout petit
Pour me faire pardonner

Car le jour du destin
Désertant les urnes
J'ai brûlé mon bulletin
Restant taciturne

J'ai voulu faire le fou
Faire semblant d'ignorer
L'immense Manitou
L'unique à adorer

Moi, minable terrien
Comptant le temps en jour
Mais ne comprenant rien
Aux éloquents discours

Je m'émeus quand j'entends
Ces mots de vérité
Qui disent que le temps
N'est qu'une éternité

Dans une éternité
Ou même peut-être deux
Nous saurons, hébétés
Les décisions du Dieu

Nous saurons que c'est lui
Qui seul peut décréter
Quand entre lui et lui
Il peut se concerter

Quant à ceux qui veulent
Entamer un dialogue
Il ordonnera seul
D'ouvrir son monologue

Il leur dira, haletant
D'un air désabusé
Quand ça sera l'instant
De lancer les fusées

En attendant cette heure
J'ai un pèlerinage
A faire loin des voyeurs
Au temple de Carthage

Je dois me prosterner
Pour rentrer dans les rangs
Prier et entonner
Que "Rabb'ocop est grand" !
Jean Neymar
2024 .....yébta chwèya
a posté le 06-02-2023 à 10:06
2024? yébta chwèya;
On a remis les compteurs à zéro en Juillet 2021 avec la nouvelle constitution de KS,
Et d'un;
Elections législatives en 2023,les prochaines en 2028,et de deux....
Donc si tout se passe bien,pas d'élections présidentielles avant 2028,hèdhèyè si dans l'intervalle,les pieds nickelés qui vont fouler la nouvelle assemblée au Bardo ne proclament pas la nouvelle Régence de Tunis avec à sa tête Mèwlènè el Emir Kaissrona premier ihèb yohkom wahdou,en échange d'une promesse de garder leur siège à vie......
Si si , vous verrez c'est dans la logique des choses....
"Samia Abbou et Abir Barbou sur leur tête ayant un pot au lait...........Adieu Veaux,vaches,Carthage."*
*Relire la laitière et le pot au lait de La Fontaine.