
Le député Fakhreddine Fadhloun a annoncé, dimanche 1er décembre 2024, que l'initiative parlementaire pour lutter contre la migration des compétences a été officiellement retirée après la polémique suscitée sur la scène nationale.
Rappelons que les élus préparaient une initiative parlementaire pour lutter contre la migration des compétences tunisiennes. Cette initiative a soulevé un vif débat. En effet, la proposition envisageait le remboursement d'une partie des dépenses de l'État déboursées pour la formation des médecins et des ingénieurs ayant quitté le pays.
Plusieurs experts ont même estimé que cette initiative était inconstitutionnelle, qualifiant cette proposition de démarche « contre la jeunesse tunisienne » qui manquait de vision stratégique.
S.H




D'ailleurs, ces décisions n'ont rien à voir avec l'ingratitude des citoyens ou le patriotisme puisque c'est plutôt l'équité et la légalité qui devraient s'imposer pour trouver les solutions des causes de la dégradation d'une situation quelconque et ses conséquences.
Ce sujet devrait faire l'objet des études approfondies dans le sens gagnant/gagnant sans léser aucune partie ou imposer des contraintes ou des répressions sur une partie des citoyens .
A mon avis, une fiscalité correcte et rigoureusement appliquée pourrait être le refuge de la population pour le bien de la nation et à partir de là provient même la citoyenneté et les engagements de la personne envers son pays .
Annuler quelques formations académiques comme proposés par certains et abattre ou confronter la réussite seraient des moyens plutôt toxique et ne pourrait que créer un environnement davantage envenimé.
Enfin, tout est question de raison et non de théorie et d'émotion non mesurée.
Aujourd'hui on a plus, le droit à la naïveté et à la négligence. Soutenir son pays et l'aider à retrouver rien que l'équilibre d'avant la pu...ne révolution il faut trouver des solutions non contraignante en terme de mobilité mais radicale en terme financier. D'ailleurs ces 600 dinars ne sont que des miettes pour une certaine catégorie de Tunisiens à l'étranger. Savez vous que la France compte presque un million de Tunisiens dont presque le tiers des cols blancs.
Ces 600 dinars qui font polémique ne sont que de ridicules 160'?' que certains dépensent en une sortie de weekend. Cette taxe ne porte certainement pas sur les clandestins, les retraités, les étudiants, les cols bleus, les dealers, les dizaines de milliers de prisonniers et j'en passe. Mais elle porte sur des secteurs sensibles dont le pays a cruellement besoin. Et ce sont les jeunes diplômés de ces secteurs qui sont concernés, qui devraient contribuer au sauvetage (et le terme n'est pas suffisamment fort) de leur pays s'ils préfèrent, choisissent d'émigrer. Car en toute circonstance c'est un choix personnel.
Et pour les 160'?' d'aides qu'ils paieraient pour seulement cinq ans, qu'ils les considèrent comme un complément d'aide à la grande famille, leur Tunisie, un investissement dans une opportunité futur dans un pays non pas d'émigration mais d'immigration pour ne pas dire de retour. Car si notre Tunisie retrouve juste son aura économique d'avant la mafia financière et politique qui a sévi ces dernières années tout le monde en sortirait gagnant.
Mais la grande question est : sommes nous suffisamment patriote, aimons nous suffisamment notre pays pour faire un sacrifice aussi douloureux soit-il pour une période limitée ?
Personnellement, j'espère que le retrait annoncé hier n'est autre qu'un recul pour mieux bondir et apporter une solution à la dimension de la crise et pourquoi pas un service civil obligatoire de cinq ans voire de 10 ans pour tout diplômé de secteurs sensibles ou le paiement d'un droit de sortie comme le font certains pour être exempt du service militaire.
Vous avez réduit votre pays à mendier, espèce d'ingr...ts !
C'est grace à ce pays et que certains osent insulter et de traiter de trous à rats que vous disposez d'un passeport parmi les mieux lotis en Afrique et dans le monde arabe.
C'est grace à une nation qui s'est construite à la sueur des premières générations de l'indépendance que vous jouissez d'une paix et d'une qualité de vie non négligeable par rapport à d'autres pays qui rêvent du millième de ce dont vous disposez et que vous insultez, dénigrez.
Bref... je ne suis pas surpris de la réaction de beaucoup d'entre vous. Carthage a été trahi et vendu par ses citoyens, et plus récemment l'espoir d'une Tunisie meilleure a été anéanti par une mafia politico-financière islamo-gauchiste-faschiste et après un échec cuisant dans la gestion des affaires du pays elle a préféré lobbyer pour asphyxier le pays au lieu de reconnaitre son tord et se remettre en question.
Ahhh un dernier point. Je ne suis ni Saidiste, ni Benaliste, ni ces putains islamistes, ni gauchiste ... rien de tout cela. Je suis patriote et je pleure ma Tunisie qui a pondu une progéniture ingrate.
Voilà... voilá... à vos plumes les excités d'ingratitude !
si le vent souffle à gauche les députés vont à gauche et s'il soufflent à droite ils vont à droite.
Aucune initiative courageuse et responsable de leur part qui ne fera jamais avancer le pays. Il suffit d'une petite polémique qui sortent d'un réseau social pour que ces gens-là rétro pédale.
Quand on sait qu'un étudiant étranger qui vient faire ses études en Tunisie paye 15000 dinars l'année en médecine.
Tout en sachant que les études en Tunisie durent entre 9 et 11 ans quel que soit la spécialité soit un total de 150000 dinars sur 10 ans pour une seule personne.
'? partir du moment où l'on choisit de donner ses compétences à un autre pays pour des excuses complètement rédhibitoire et idiote ils doivent rembourser ce montant pour que cela soit investi pour un étudiant qui lui choisira son pays pour soigner son peuple.
Dois-je rappeler que lorsqu'un système médical, agronome etc. n'est pas développé car nous n'empechons pas nos matières grises de rester et de développer le pays, alors il ne faut pas s'étonner que ces personne-là continuent à déserter et qu'aucun investisseur ne se donne la peine de venir investir dans un pays où tous les systèmes sont à la limite de la défaillance.
L'argent qui est investi pour ces gens-là en particulier des médecins ne viens pas de sous le matelas.
Quand on voit que les '?tats-Unis de Trump pour pouvoir protéger son peuple et son économie il va imposer des droits de douane au Mexique au Canada et au Brics, on s'aperçoit que nous sommes loin de pouvoir avancer en tant que nation solide et indépendante.
Il y aura toujours des sacrifices pour les générations suivantes mais apparemment les générations actuelles ne sont pas prêtes à faire ce sacrifice. Si tous les Japonais avaient fait la même chose après la deuxième guerre mondiale le pays serait encore pauvre.
C'est vraiment dommage.
Malheureusement, je ne suis pas surpris de la réaction de beaucoup .... Carthage a été trahi et vendu par ses citoyens, et plus récemment l'espoir d'une Tunisie meilleure a été anéanti par certains des citoyens, une mafia politico-financière islamo-gauchiste-fasciste qui après un échec cuisant dans la gestion des affaires du pays elle a préféré lobbyser pour asphyxier le pays au lieu de reconnaitre son tord et se remettre au travail.
qd allez vous passez à anglais, et oublier cette grammaire de m... , son heaurtheaugraaaaphe, son plus qu'imparfait du passé compliqué du subjonctif ... ouffffff ...
Frankreich, unser Unglueck seit 1881.
Ils ont plus de courage que certains.
Servi aliorum manebimus... qui se traduit par "nous resterons les esclaves des autres".
On vit dans un monde où l'homme est un loup pour l'homme "Homo homini lupus".
Cela me rappelle ce que disait feu Jacques Chirac rapporté par France info en 2019 :
"Nous avons saigné l'Afrique pendant quatre siècles et demi, commença-t-il. Ensuite, nous avons pillé ses matières premières ; après, on a dit : "Ils (les Africains en général) ne sont bons à rien. (...), on a détruit leur culture et maintenant, comme il faut faire les choses avec plus d'élégance, on leur pique leurs cerveaux grâce aux bourses. Puis, on constate que la malheureuse Afrique n'est pas dans un état brillant, qu'elle ne génère pas d'élites (...).
L'un des rares français qui a essayé de réveiller les africains.
Alors je peux vous dire Juan que les tunisiens sont bien loin de saisir ce qui se passe. A part quelques rare cas.