Les affrontements ont repris entre les citoyens de la ville de Agareb et les forces de l’ordre aux alentours de la décharge El Gonna aujourd'hui, mercredi 10 octobre 2021.
Une marche pacifique, faisant le tour de la ville pour protester contre la réouverture de la décharge, a dégénéré à son arrivée sur les lieux. Les forces de sureté ont usé de tirs de gaz lacrymogène pour disperser les protestataires et les habitants ont riposté par des jets de pierre, selon le témoignage en direct de la correspondante de Jawhara Fm, qui se trouvait sur place. Les habitants réclamaient notamment la libération de certains détenus. Des arrestations ont été opérées, alors que les habitants ont pris la fuite suite aux tensions.
Notons que des hauts cadres sécuritaires présents sur place ont multiplié les appels aux agents pour arrêter l’usage du gaz lacrymogène.
Rappelons que des tensions ont éclaté à Agareb suite à l’annonce de la réouverture de la décharge El Gonna. La situation a dégénéré suite à l’usage de gaz lacrymogène par les forces de l’ordre et le décès d'un citoyen. Si les conclusions préliminaires du rapport d’autopsie menée, mardi 9 novembre 2021, sur la dépouille de Abderrazak Lachehab, tendent vers l'hypothèse d'une mort naturelle, les habitants continuent de clamer qu'il a succombé pendant qu'il participait à la manifestation.
Depuis, la situation s’est embrasée et la colère gronde, les citoyens refusant catégoriquement la réouverture de cette décharge.
Notons dans ce cadre qu’une crise environnementale aigue avait secoué la ville de Sfax après la fermeture de la décharge précitée. La ville s’est retrouvée une quarantaine de jours, enterrée sous les détritus ménagers, le tout sous le silence des autorités, n’ayant pas prévu une solution de rechange.
I.N
"Oh, maintenant que je te vois, je me souviens toujours, je dois encore sortir les poubelles..."
L'autre Mnihlien rit fièrement et lui dit:"
"Ourass Sidi Agarib , Je sépare aussi les déchets dans la voiture : les bouteilles, je les jette à gauche, les canettes à droite par la fenêtre, mais les mégots restent dans ma voiture pour être recyclés en toute sécurité... ! "
Et leur Cheffin a ajouté :
"L'Agareb est partout car c'est la forme moderne d'élimination des déchets : Avant, tu devais aller jusqu'à l'oliveraie de Sfax pour enterrer ton vieux frigo".
Et pourtant quand nahdha à autorisé ces déchets, personne n'a riposté.
Et l'on comprend que dans cette localité il y a des lèches-bottes pour ghanouchi, on le savait.
Ceci sans oublier les influences des nahdhaouis sur quelques citoyens de cette localité.
Par ailleurs quelques nahdhaouis se sont déplacés spécialement, ces jours-ci, de Tunis et de Sfax vers Agareb pour inciter (les menacer et les influencer et pourquoi pas soudoyer ; dont celui qui s'est présenté hier à la télé watania 1) quelques habitants de cette localité.
La garde nationale à certainement remarqué qu'il y a plus devdéplacements des vécu les vers Agreb plus que d'habitude.
Il est certain que toute cette man'?uvre de traîtrise a été planifiée par nahdha pour tenter de semer le trouble, et cette nahdha a trouvé des traîtres boucs émissaires pour se charger de cette provocation.
Pourquoi n'ont-ils pas réagi lorsque nahdha a autorisé le dépôt pour une période bien déterminée comme partout ailleurs dans tout le territoire ?
Sauf maintenant.
N'est-ce pas que nahdha cherche maintenant la petite bête pour trouver un moyen perturbateur contre le gouvernement ?
Donc si l'on comprend bien tous les citoyens tunisiens vont protester à commencer par Tunis et Sfax dont la pollution est beaucoup plus grave, vu les maladies cancerologiques de la pollution par l'effet CO2 que des déchets de cartons et papier des tiens à être brûlés dans des endroits propices et éloignés, et puis la pollution du CO2vest provoquée, entre autres, et paradoxalement par les migrants de Agareb qui se sont installés à Tunis et à Sfax en obtenant des recrutements anarchiques, et pour la forme (rien que pour le salaire) dans la fonction publique refutant toute industrie dans leur région supposée originelle et qu'ils pretendent défendre.
Mais il ne faut pas en vouloir, à quiconque, quand il s'agit d'une manipulation de traîtrise coutumière de la part des mafieux nahdha les massacreurs de la Tunisie durant la dernière décennie.
Il ne faut pas oublier que l'utilisation de cette déchèterie a été autorisée comme telle depuis le temps de réigne des Nahdaouis.
L'Etat doit user, sans hésitation, de sa force légale pour rétablir l'ordre.
bon débarras.