
Le professeur de Droit public et chercheur en Droit constitutionnel Rabeh Khraifi est revenu, ce dimanche 18 avril 2021, sur le discours du président de la République, Kaïs Saïed prononcé àl’occasion de la commémoration du 65ème anniversaire de la fête des forces de sécurité intérieure.
Rabeh Khraifi a estimé que le chef de l’Etat avait abordé plusieurs points, mais qu’à travers son discours, il ouvrait la porte au conflit et à la peur pouvant ainsi disperser la concentration de l’Etat sur les questions épidémiques, les finances publiques et le bon rendement du service public.
Rabeh Khraifi a considéré que le choix de l’occasion n’était pas fortuit, puisque toutes les formations sécuritaires étaient présentes ainsi que le chef du gouvernement et le président du Parlement, notant le ton sévère et colérique utilisé par Kaïs Saïed. « Le président de la République a insisté sur le fait que la force armée est exclusivement réservée à l’Etat, insinuant la présence de milices armées et que sa position présidentielle lui permet d’être au courant tenant compte des données de renseignement qu’il possède. Par ailleurs, le discours était sous forme d’un cours approfondi expliquant et détaillant les supports constitutionnels et juridiques portant sur ses prérogatives. Ce cours fait office d’avis à toutes les parties, dont le peuple, ayant suivi le discours. Les forces sécuritaires savent, également, que le président de la République est le seul habilité à donner les ordres et les décisions et qu’elles n’ont pas à écouter le chef du gouvernement », indique le juriste.
Et d’ajouter que selon les propos de Kaïs Saïed, le chef de l’Etat s’apprête à prendre de lourdes décisions pouvant toucher des arrestations parmi les députés ou les politiciens lorsqu’il a évoqué la levée de l’immunité ou les liens de parenté.
Rappelons que le président de la République, Kaïs Saïed avait prononcé, ce dimanche 18 avril 2021, un discours à l’occasion de la commémoration du 65ème anniversaire de la fête des forces de sécurité intérieure, assurant qu’il est le commandant suprême de toutes les forces armées et non seulement des forces militaires.
Le président de la République a procédé à une démonstration à travers les textes de loi, notamment, le texte de la Constitution de 2014, qui n’avait pas précisé que le président de la République était le commandant suprême des forces militaires mais des forces armées contrairement au texte de la Constitution de 1959.
S.H

Depuis quand l'armée tsienne avait tiré sur les Tsiens ? Ils sont fous ces "Tsiens" !!
Une bonne camisole pour toi et ton mentor, oui!
Il lui est impossible d'imposer la destruction de notre deuxième République à nos forces armées. Si notre armée n'était pas elle-même la protectrice de notre Révolution et de notre transition démocratique, qui lui ont permis de coqueliner comme un coq de bruyère, directement du palais de Carthage, nous aurions vu une dictature militaire depuis 2011, non pas qu'ils attendent qu'un assoiffé de pouvoir, leur vienne jouer à César avec les prérogatives d'un Pharaon.
Lorsque j'ai voté pour lui aux présidentielles, je le prenais pour intellectuel, mais l'homme s'avère malade et doit être destitué le plus tôt possible.
Cela veut dire que, pour assurer la sécurité et la stabilité dans le pays, dont il est garant, il est constitutionnellement obligé de prendre les décisions qui s'imposent et donner les ordres nécessaires à la réalisation de ces objectifs vitaux pour le citoyen tunisien!!! J 'espère que ce n'est pas trop compliqué pour toi !
2 émement, s'il fait quoi que ce soit alors il fera "laissa bi ma fihi el kifa-iia"
Soyons direct ce qui suit fera consensus
Le conseil de la Choura et a sa tète le clan Ghannouchi peuvent objectivement etre accuses de HAUTE TRAHISON et ce pour les raisons suivantes
Depuis 2012 l'executif de Nahdha et ses allies n'ont eu de cesse de DESTRUCTURER NOTRE ETAT ET NOTRE ECONOMIE
Infiltration structurée graduelle réfléchie de toutes les institutions régaliennes du Pays
police douane garde nationale magistrature ministère du commerce de l'agriculture de l'education de l'equipement
police parrallele equipee du materiel dernier cri
main mise sur le port de Rades du poste frontalier de Ras Jedir
dépôts probables d'armes clandestins a travers tout le pays
entrainement de véritables forces spéciales islamistes parallèles en Turquie
réseautage continu depuis 8 ans avec les groupes terroristes Syrie Libye Irak Mali Soudan - quelles informations vitales pour notre sécurité nationale ont elles été livrées
mise en place d'un système d'écoute et de filature parallèle a l'échelle de tout le territoire et opérationnel depuis 6 ans
communication de dossiers ultra sensibles aux Turcs et Qataris
mise en place d'une magistrature islamiste étouffant toute chance de jugement des crimes nahdhaouis dans le but délibéré de provoquer et entretenir une crise institutionnelle permanente
déstructuration planifiée du tissu économique productif a travers
alliance avec les contrebandiers
sur taxation des produits tunisiens
soutien illégal aux importations turques
désindustrialisation du pays
participation de proches de Ghannouchi a des trafics d'influence blanchiment d'argent trafic de drogue
il est incontestable qu'un faisceau de preuves est désormais aux mains de la Présidence
comme des preuves d'un coup de force islamiste en gestation via les manigances de Mechichi comme le prouvent les "fuites' de sieur Khiari
Il sera soutenu par une majorité écrasante du peuple.
Lui, c'est beaucoup de paroles, pas de vision tactique, ni d'actes, malheureusement pour nous.
Pour les barbus c'est le bonhomme idéal pour leur permettre de mieux enserrer l'étau autour du pays..

