
Le comité de défense du député nahdhaoui, Noureddine Bhiri a annoncé, ce dimanche 6 mars 2022, que ce dernier refuse de regagner sa chambre de détention à l’hôpital.
« J’étais en visite à Me. Bhiri. Depuis hier, il refuse de revenir à sa chambre de détention à l’hôpital. Il a passé la nuit assis sur une chaise dans le hall du service de réanimation », indique Saïda Akermi, lors de sa prise de contact avec le comité de défense de son époux.
Le comité de défense note, dans ce contexte, que l’hôpital Habib Bougatfan s’est transformé en un centre de détention illégal, soulignant que le ministre de la Santé est devenu complice du ministre de l’Intérieur dans ce crime.
Rappelons que l’épouse de Bhiri avait annoncé le 10 février que son époux entamait une grève de la faim sauvage. Le député avait été arrêté et assigné à résidence dans un lieu non-communiqué le 31 décembre 2021 sur ordre du ministre de l’Intérieur. Par la suite, son état de santé s’était détérioré et il avait été admis à l’hôpital depuis le 2 janvier 2022 où il avait déjà entamé une grève de la faim.
S.H
Maintenant il faut une grève de la faim sauvage depuis combien de temps?
Il vit encore?
Ce Bhiri, mériterait une cellule à la Mornaguia, avec des soins sur place.
On lui fait l'honneur de le mettre dans un hôpital pour des questions de confort, qu'il ne mérite pas.
Pendant 11 ans, il a infiltré à sa guise les ministères de la justice et de l'intérieur.
Le résultat est connu mais non avoué ni jugé.
Un citoyen normal,lambda, serait déjà fi" guelbou" pour une longue période afin de payer sa dette.
Maintenant il nous fait du chichi...n'oubliez pas que vous avez envoyer des gens dans des trous plus minables qu'ont ne peut imaginer....
Il nous joue l'enfant guaté....
La gréve va aussi dans les deux sens, pas d'hôpital alors direction derrière les barreaux il faudrait bien réfléchir.....
Bien entendu que ces gens ont un rapport à la vérité et au réel fort singulier.
En fait, ce sont des menteurs, des dissimulateurs, et rien ne les arrête sinon la force.
Alors, de gré ou contre don gré, il fait le ramener dans sa cellule.
Et le feuilleton n'a que trop duré. Ce type est un pleutre, un insignifiant, foutez+nous la paix avec ses salades.
En vérité, si c'était un citoyen lambda, nous n'en aurions pas même entendu parler.
Out !
Les mesures de contrainte en psychiatrie comprennent les médicaments pour la contention, mais aussi l'isolement ou les fixations mécaniques comme les ceintures qui empêchent les personnes de s'enfuir.
En principe, on ne peut obliger un patient de rester dans un hôpital !
Monsieur Bhiri a été kidnappé par force. Il est retenu par force depuis des mois. Il est privé de sa liberté par force depuis des mois. Le reste, et j'inclus tous les autres commentaires, c'est de la haine. De la pure haine, comme seuls les tunisiens et tunisennes connaissent.
Il a pris des risques du fait de son arrogance.
Il doit répondre de ses actes devant la justice.
Il faut que la justice avance

