
Le dirigeant nahdhaoui, Noureddine Bhiri a annoncé, mardi 3 janvier 2023, sur sa page Facebook qu’il comparaîtrait, demain, mercredi 4 janvier 2023, devant le juge d’instruction pour répondre des accusations portées à son encontre depuis la fin du mois d’octobre 2022.
Noureddine Bhiri précise que les enquêtes dans cette affaire ont commencé depuis « le putsch » de 2021, ajoutant que le pouvoir a voulu utiliser cette affaire comme couverture pour justifier « son kidnapping vers la fin du mois de décembre de 2022 ». Dans ce contexte, il assure qu’il était victime d’une séquestration, de la torture et d’une tentative d’assassinat, soulignant qu’il s’agit de crimes qui font l’objet de poursuites judiciaires nationales et internationales.
Le dirigeant nahdhaoui indique que l’affaire n’a aucun fondement matériel et légal, assurant qu’il a une confiance totale en son innocence ainsi que celle des personnes impliquées dans cette affaire, dont des magistrats honnêtes et intègres.
Rappelons que l'avocat et membre du comité de défense de Noureddine Bhiri, Samir Dilou a indiqué, dans une déclaration accordée le 6 décembre 2022 à Business News, que le juge d'instruction près le Pôle judiciaire de lutte contre le terrorisme a décidé de laisser Noureddine Bhiri en liberté après l'avoir auditionné au sujet de l'affaire de l'octroi de passeports et de la nationalité tunisienne. Samir Dilou a précisé que l'affaire avait été reportée pour le 4 janvier 2023 et concernait trois magistrats et d'autres figures islamistes telles que Hamadi Jebali.
Cette affaire avait été évoquée par le ministère de l’Intérieur, Taoufik Charfeddine, à l'occasion d'une conférence de presse du 3 janvier 2022. Il avait affirmé que l'ancien ministre de la Justice faisait l'objet d'une enquête pour « l'octroi de passeports et de certificats de nationalité de manière illégale pour des personnes que je ne qualifierai pas. Je laisserai les enquêtes judiciaires révéler leurs identités et leurs relations familiales, et j’assure qu’il y aura beaucoup de surprises ».
S.H
La "masra7ya" continue.
Et vas y, que j'applaudie!
TOT ou TARD ( car pas mal de casseroles ) doivent être exemplaires .
C'est cela nommer les faits.
Bhiri est pleutre, théâtreux et surtout affabulateur, capable de nous rejouer la suite si le juge le coince.
J'avais évoqué par allégorie, mais mon texte fut victime de la censure, l'histoire de Cain et Abel.
L'aîné, jaloux de son frère, trouva motif à sa haine qui le poussa au fratricide.
Dieu, leur dieu, s'adressa au meurtrier en ces termes:
" Les sangs de ton frère crient jusqu'à moi".
Le pluriel de "sang" surprenant de prime abord, suscita bien des commentaires.
L'un des commentateurs en comprit que le meurtre d'Abel représentait un crime horrible, pas uniquement en raison du lien familial, mais parce qu'à travers Abel, ce sont ses descendants et les enfants des enfants de ses enfants, et toute la suite des générations qui de la sorte sont dérobés à la vie.
Ainsi, celui qui commet le crime de retirer la vie à un autre est responsable tout autant, et à plusieurs degrés, des meurtres consécutifs comme du meurtre premier.....
Voilà pourquoi, il me paraît pour le moins léger, compromettant, de prendre langue, encore moins de tisser des liens, avec des gens ayant initié, organisé, soutenu, ou commis le meurtre.
Crime inexplicable, inexpiable, le crime de sang illustre le sommet de la violence de l'humain, sa capacité à commettre le pire, la barbarie.
Les islamistes ont ceci qui les distingue et illustre: la vie de l'autre ne compte pas.
On peut comprendre comment et pourquoi, ils ont organisé l'envoi de jeunes en Syrie, Irak, Lybie, tous terrains "de sport" pour y acquérir expérience et peaufiner des coups à venir.
On peut comprendre pourquoi l'assassinat est l'ordinaire quand on a décidé que la vie n'a pas de valeur ni d'importance.
Sacrifier sa vie au profit de son idéal, cela reste un acte individuel, un choix imposé ou simple décret de sa propre volonté, il n'engage que soi.
Il n'en va pas de même quand on engage la vie, j'allais dire le destin avec la mort promise, de l'autre ou qu'on l'a lui supprimé en le supprimant.
Le passage de l'engagement, sacrificiel ou non, à l'amour du meurtre, cette passion de la mort, l'embrigadement ou le sacrifice de l'autre, signe le franchissement d'une frontière.
L'entrée dans un autre ordre.
Bien sûr tout se traitait à Montplaisir ou à....
Et ils veulent revenir par le biais des indignes traîtres.
Tout à été planifié la nuit du 5 au 6 février 2013 et même quelques heures avant.
Il ne faut que quelques révélations.
Sidekom Bhiri, malgré un tout ce qu'on pourrait lui reprocher (souvent à tort et en vain il s'avère) magnanime et sans ressentiment crapulas stérile, vous défendra sans nul doute et avec constante énergie .
A BAS LE COUP D ETAT
NI UBUK ROI NI CHENIL DE GARDE CRAPULAS
OMNIAS VERITAS SOLA VERITAS
POR LAS RESTAS, TIREZLACHASSE
TUNISAS LIBRAS ET DEMOCRATAS POR TODAS A PARTAS ENTIERAS ;)