Le candidat à l’élection présidentielle, réhabilité par le tribunal administratif et exclu par l’Isie, Mondher Zenaidi, s’est adressé, vendredi 13 septembre 2024, aux Tunisiens, dans une vidéo postée sur les réseaux sociaux.
« Il est merveilleux de participer aux batailles pour la patrie et il est merveilleux de les remporter. Hier, le système de l’impuissance et de l’échec a arrêté et traduit au nom d’une justice qu’il a soumise et a malheureusement fait trop de victimes. Aujourd’hui, en refusant d’appliquer les jugements du tribunal administratif, la plus haute instance de justice du pays, il s’est transformé en régime abusif et en hors-la-loi. Ce système sait pertinemment que sa popularité s’est effondrée et que son échec électoral est certain et c’est pour cela qu’il use de tous les moyens pour travestir la volonté du peuple. Ce système de l’échec voulait nous emprisonner dans les débats procéduraux et juridiques, mais il est temps que nous lui imposions le débat des projets et des programmes et ce qui préoccupe les Tunisiens. Ce débat que veut éviter ce système pour ne pas être confronté à son échec », a déclaré le candidat exclu.
« Cet échec, que le système impute tantôt aux traitres, tantôt aux comploteurs et tantôt à l’incompétence des collaborateurs qui ont été nombreux à être remerciés sans la moindre considération (...) Le temps est arrivé pour le système populiste et médiocre de rende des comptes et qu’il soit soumis au jugement du peuple pour avoir détruit tout ce qui est beau dans ce pays (...) pour avoir accaparé le pouvoir, soumis les institutions, vendu El Amra et Jebeniana, rempli les prisons d’innocents et vidé le pays de ses jeunes et de ses forces vives (...) Le tribunal du peuple est seul à décider si nos programmes sont en mesure de diriger le pays pour la prochaine étape, ou pas. Aujourd’hui, je m’adresse aux Tunisiens, pour leur dire que leur souffrance n’est pas une fatalité et qu’ils ont le droit d’espérer une vie meilleure », a-t-il ajouté.
Mondher Zenaidi, qui semblait énoncer les axes de son programme, a évoqué la restitution de la confiance, de la crédibilité des organisations nationale, la productivité et la compétitivité locales, l’économie verte, l’investissement, l’emploi décent, le pouvoir d’achat, la disponibilité des denrées de base, la restitution de l’électricité et de l’eau, la justice sociale, l’égalité des chances, la santé publique, la disponibilité des médicaments, l’excellence de l’enseignement, le rôle essentiel de l’agriculture en tant que pilier économique, l’économie numérique, le rôle de la femme et le rayonnement culturel de la Tunisie.
M.B.Z
L'espoir dans la prise de conscience pour agir et dire simplement stop aux populistes médiocres nous intéressent pas.
Le respect de nos différences est un atout a valoriser, comme le jugement, et le moi j'ai raison est à écarter définitivement. Le but est de vivre ensemble et de rassembler nos forces pour un objectif clair, être Tunisien, libre actif avec bienveillance et force de proposition. Cela ne sont pas des mots des hommes et des femmes Tunisien, l'ont inscrit dans l'histoire et leur visions était juste.
De plus l'élégance de leur gestes, de leur postures et de leur actions ont eu l'attention et la reconnaissance du monde entier.
Nous pouvons y arriver ensemble en valorisant les compétences Tunisiennes de l'intérieur et de l'extérieur. Avec la grâce de dieu on verra tous l'élégance Tunisienne la vraie revenir au devant de la scène des nations, pour retrouver la place quelle mérite.
Après tou !
Débattre,dialoguer on ne sait même pas leurs sens
'? ce moment la fierté de partager et participer assure une société plus apaisée'?'.
Ce que je pense:
A) La Tunisie est riche seulement par ses hommes et femmes, et afin de les motiver à créer de la richesse pour eux mêmes et pour la Tunisie, il faudrait leur garantir/offrir une atmosphère de liberté sans abus de pouvoir et sans emprisonnements abusifs et exagérés. Oui, l'emprisonnement exagéré de Mme Sonya Dahmani est de trop et injustifié et met ainsi tous les autres emprisonnements en question.
B) de même la loi électorale devrait être améliorée car elle a fait trop de victimes parmi les candidats entre-temps. Elle est une mission impossible.
C) L'amélioration de la qualité des statistiques macroéconomiques est une première priorité en Tunisie afin d'ajuster "le commet faire"
- Je rappelle à nos politiciens que les résultats des politiques dépendent de façon décisive de l'utilisation de statistiques aux stades du processus de l'énonciation qu'il s'agisse de reconnaissance du problème, de la conception ou de l'établissement de prévisions et non pas seulement au niveau du suivi et de l'évaluation.
- Des statistiques solides et transparentes sont la clé d'une prise de décision efficace. Nous sommes victimes en Tunisie des idéologies politiques purement intuitives qui sont en contradiction avec les faits scientifiques.
- Les décideurs en notre pays devraient utiliser des données statistiques exactes, en temps réel et susceptibles de les avertir des problèmes socio-économiques et politiques immédiats ou futurs de notre société. Très peu de politiciens tunisiens utilisent des statistiques afin d'élaborer les programmes sur lesquels les tunisiens seront appelés à se prononcer.
- Il est temps que les Conseils de nos Ministres à la Kasbah adaptent un esprit scientifique. Il faut changer tout d'abord le décors actuel: une longue table, des chaises tout autour, un premier ministre qui parle en monologue dans le vide et des Ministres distraits (inattentifs) ou font semblant de prendre des notes, de toute les façon ils feront (les Ministres) ce qu'ils voudront dans leurs Ministères et lui (le premier Ministre) pourrait dire ce qu'il voudrait en monologue. Je vous propose de voir la photo du récent conseil des ministres sur le lien web suivant: ***
--> Je ne pourrais jamais travailler dans ces conditions!
- Oui, il faut changer le décors des Conseils de nos Ministres à la Kasbah--> plutôt Amphithéâtre, vidéoprojecteurs, système de sonorisation mobile, système de diffusion vidéo mobile, écrans de projection (entre autre pour la projection des données statistiques), lecteurs audio/vidéo, Captation vidéo des réunions, etc.
- oui, il faut dépasser les monologues et passer aux discussions et au Feedback constructif avec un bon fondement statistique macroéconomique, =--> oui beaucoup de statistiques macroéconomiques et un premier ministre qui défie ses ministres avec des questions, avec beaucoup de questions pour qu'ils ne s'endorment pas ou passent à la distraction (inattention).:
- Des statisticiens/mathématiciens doivent être associés au processus d'élaboration des politiques à un stade précoce afin de faire des calculs qui permettraient d'apprécier l'impact d'une nouvelle mesure. Il est temps de mettre en place en Tunisie une culture privilégiant la prise de décision fondée sur l'observation des faits statistiques --> il est complètement absurde d'investir des milliards de dinars pour l'extraction du phosphate, si il n'y a plus assez de phosphates dans nos mines --> d'où la nécessité d'une sérieuse étude au préalable.
- L'absence de statistiques macroéconomiques à jour, exactes et cohérentes constitue un sérieux obstacle pour la mise en oeuvre d'une stratégie de développement en Tunisie. L'amélioration de la qualité des statistiques macroéconomiques doit être une première priorité en Tunisie.
- Nous avons le droit et nous souhaitons dans une démocratie de savoir comment, pourquoi et sur quelle base statistique sont prises les décisions qui affectent notre vie.
Il faudrait aussi faire prendre conscience aux plus soumis d'entre nous (ceux qui ont peu de personnalité et que j'appelle les moutons cretins, parce comme les moutons ils sont enclin à aller à l'abattoir sans broncher) que le dirigeant que l'on choisi est là par la volonté du peuple et uniquement du peuple, kais tout comme ceux qui était la avant lui et ceux qui seront là après lui ne sont que des locataires de passage, les vrais propriétaires du palais de Carthage c'est nous tous et c'est à nous tous de décider qui y va ou qui n'y va pas.
-->
Certes vous avez très bien répondu à la question " Quoi faire?", par contre vous avez négligé la question qui est aussi importante "Comment faire?" --> c'est la Méthode afin de réaliser "le quoi faire" qui manque à votre discours.
Certes, il est très important de définir les buts à atteindre (le quoi faire). On sait maintenant ce que vous voulez réellement réaliser, les objectifs que vous souhaitez atteindre. Par contre, La question du "comment faire afin de réaliser vos objectifs" est le véritable très grand défit où nos politiciens ont échoué...
- Je suis continûment les informations socio-économiques et même politiques en Tunisie, j'ai remarqué qu'il y a chez nos politiciens une très grande confusion entre le "Quoi faire" et le "Comment faire (la méthode). Ils ne proposent aucune stratégie afin d'atteindre les objectifs du "quoi faire"
D'après votre discours, on ne voit pas par quel bout faudrait-il tirer le fil --> ce qui manque, c'est une marche à suivre, les véritables actions à entreprendre.
bonnes soirées
PS: dans les grands projets informatiques auxquels j'ai participé, j'ai toujours préparé le "commet faire" avant de parler de mes propositions "de quoi faire".
Il faut Des debats , des seminairses explicatifs et des contacts directs au citoyens dans une ambiance seraine ,libre de toutes contraintes
, empechements , harcèlement, terreurs , intimidations , blocages ...et j en passe ...
Pour realiser votre " comment faire " autrement dit faut avoir les conditions pour le faire sans entraves et cela s' appelle LA D'?MOCRATIE..
Là on y est pas alors il faut se rabattre sur l' experience et les déjà acquis quo etait nettement mieux par le passé et ce jusqu' à eduquer , expliquer, former , pour realiser le COMMENT FAIRE a partir de compétences prouvées..
J'espère que la bataille sera gagnée, car le programme est disponible, la compétence est convaincante et notre jeunesse le mérite.
La bonne nouvelle c'est plus on avance et plus on a de l'expérience et si aujourd'hui ont sait mieux ce que l'on veut, on sait aussi ce que l'on ne veut pas.