Le journal Echaâb, organe de communication de la centrale syndicale, a annoncé, ce jeudi 18 janvier 2024 que l’UGTT a décidé de retirer sa plainte contre la présidente du parti destourien libre (PDL) Abir Moussi.
Echâab qui cite une déclaration du porte-parole Sami Tahri, explique que l’UGTT n’avait décidé de recourir à la justice qu’en constatant que « les agresseurs persistent dans la justification de leur agression et continuent de défier les syndicalistes ».
Sami Tahri a également fait part de l’étonnement des syndicalistes de voir cette affaire sur le devant de la scène aujourd’hui, alors que la plainte avait été déposée depuis le mois de mai dernier. Il s’agit, selon lui, d’une affaire comme tant d’autres intentées par l’UGTT contre plusieurs personnes et personnalités nationales.
Selon la même source, l’UGTT a rejeté « toute tentative d’exploiter cette affaire dans le but d’utiliser le Syndicat pour régler des comptes ».
Le 16 janvier 2024, le porte-parole de la cour d’Appel de Tunis, Habib Torkhani a annoncé, dans une déclaration à Mosaïque FM, que le procureur de la République avait ordonné l’ouverture de trois nouvelles informations judiciaires contre la présidente du Parti destourien libre (PDL), Abir Moussi. Il s’agit de deux plaintes déposées par l’Instance supérieure indépendante pour les élections (Isie) et d’une troisième plainte déposée par l’UGTT.
R.B.H
L'ISIE et ses plaintes n'en seront que plus voyantes, situées et réduites, par conséquent, à leur plus simple expression, celle de régler des comptes.....par juges interposés.
On en a connu des attaques, et qui ne se distinguaient pas par leur finesse, bon goût, leur civilité et justesse.
Nous avons tous en tête toutes les atteintes fomentées sans motif ni raison contre tous et toutes les institutions, et leurs auteurs ne semblent plus dans le radar ni d'actualité.
Je conseille aux camarades de réveiller le dossier de l'attaque des locaux, dégradations et menaces, dont on n'entend plus parler.
Ceci pour instruire les apprentis délinquants, les factieux et les fascistes qu'il n'est plus permis d'outrepasser les lois.
Il se pourrait que derrière on retrouve certains noms de ces hauts personnages qui ont fait la une sans rien se refuser, y compris le pire, je nomme le crime.
L'UGTT, en mode Titanic depuis que notre intègre et patriote président K.S prit les rênes de notre NATION, cherche un moyen pernicieux pour sortir du mode périscopique.
En mal de pigeon de service, ils ont jeté leur dévolu sur Moussi, car ils savent bien que cette dame, honnête entre autres, attire la sympathie d'un bon nombre de Tunisiens.
De toute façon, hormis Abir, il n'y a que traitres et charognards qui maraudent dans l'espoir d'avoir un os notoriété à ronger.
Vu la récente descente aux enfers fort bien méritée des destructeurs de notre tissu industriel, la flèche de leur girouette, ruse et fourberie, s'arrêta en pointant vers Abir. Corrompu comme eux, ces syndicalistes de circonstance, espèrent qu'un jour venu, elle leur rendra la monnaie de leur pièce, qui à mes yeux demeure absolument improbable.
C'est mal connaitre Abir !!
Toutefois, c'est bien essayé.
Ils sont tous aux abois.
Kalek bri Noubel du quartet.
Ces crétins, autant que les trois autres, croient dur comme fer, qu'ils ont mérité le bri Noubel.
Barra, bagla t'8izkom, él kol, bande de bouseux.
Vous ne méritez même pas la coupe du monde du meilleur coiffeur, diplôme que la majorité de ces derniers, en mal de clientèle, arbore fièrement sur un des murs de leur échoppe.
