
La membre du Syndicat national des journaliste tunisiens (SNJT), Amira Mohamed, et le vice-président de la Ligue tunisienne des droits de l’Homme (LTDH), Bassem Trifi, ont été interdits d’accès à l’établissement de la Télévision nationale, mercredi 28 juillet 2021.
Selon la version de Mme Mohamed et M. Trifi, l’accès leur a été interdit par le président directeur général de la Télévision nationale lui-même alors qu’ils devaient participer à une émission.
Une première scandaleuse qui intervient alors que le chef de l’Etat a annoncé le gel des activités du Parlement, la levée de l’immunité parlementaire, le limogeage du chef du gouvernement.
Amira Mohamed a signalé, sur son compte Facebook, que la présidence de la République avait nié toute implication dans cet incident alors que le PDG de la Télévision nationale avait avancé « des ordres pour des raisons sécuritaires ».
Elle a ajouté qu’elle resterait en compagnie de M. Trifi devant l’établissement dénonçant une tentative du pouvoir de museler la Télévision nationale.
A la suite des condamnations contre une telle interdiction, Amira Mohamed et Bassem Trifi ont été autorisés à accéder à l’établissement. Cet incident a ravivé dans la sphère médiatique la crainte d’un retour au muselage des journalistes et de la société civile.
N.J.
Il faut choisir son camps soit on est dans le camp de la patrie et du président de l la république soit on est dans le camps des islamistes et des traîtres.
Ceux qui vont se mettre contre le président et contre le rétablissement de l'ordre devront assumer leur choix.
La démocratie des islamistes est une dictature, celle de la corruption du fanatisme et du pourrissement continue.
L'heure n'est plus de bavarder sur la constitution mais de sauver la Tunisie de l'effondrement'?' ceux qui ont un minimum d'amour pour ce pays n'ont pas d'autre choix que de soutenir le président et de le laisser mettre de l'ordre.
La sécurité de la patrie prime sur tout le reste !!!!!
Au diable ce que le reste du monde pensent ou pensera de nous.
En 2011, ils avaient dit, foncez, on sera toujours là pour vous aider.
Après les moult et moult pillages de la troika et de leurs acolytes, ils nous lâchèrent comme des merdes.
Et tout compte fait, qui en fit les frais'?'?
Le peuple, les patriotes et particulièrement les pauvres gens qui se firent rouler dans la farine par les promesses mensongères des frérots escrocs.
Mr le Président, allez-y, foncez, le peuple est avec vous.
Que de courage !
Quelle détermination !
Il y a peu, nous n'aurions sûrement pas assisté à cette démonstration.
Sous le règne des frères, des journalistes violentés, insultés, et nous ne voyions pas cette résistance.
Sérieusement, la situation commandé assurément de veiller à la sécurité, et le responsable de la TV est un homme en poste sur choix des frères.
Si je ne me trompe, on avait démissionné une dame et il y eut du barouf, et l'affaire s'est émoussée.
D'où l'on peut déduire que l'homme qui interdit l'entrée ne peut être soupçonné de proximité avec Kais Saied, ni son homme-lige.
Alors, on se calme.
Et, scandale pour scandale, que faisiez-vous quand l'ordre régnait et que vous étiez méprisés ?
Ni le droit d'informer, ni les libertés ne sont en péril.
Agitation dans un bocal.
Et, surtout pas Parler de "scandale", car on aurait matière à vous en redire à ce sujet.
Il fallait être patient et persévérant.
Vous comme moi, nous n'avons cessé de l'être.
Bien à vous
Remettez-vous en question cela vaut mieux.