alexametrics
mercredi 24 avril 2024
Heure de Tunis : 02:30
Dernières news
Les journalistes manifestent à la Kasbah
16/02/2023 | 11:50
2 min
Les journalistes manifestent à la Kasbah

 

Le Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT) tient aujourd’hui, jeudi 16 février 2023, une journée de colère et organise une manifestation à la Kasbah.

Les journalistes dénoncent la situation du secteur et de certains établissements médiatiques confisqués et gérés par l’État, Shems FM, entre autres. Ils condamnent le laxisme et l’indifférence des autorités devant la précarité qui sévit dans la profession.

 

La manifestation est aussi l’occasion de revenir sur le recul de la liberté d’expression et de la liberté de la presse dans le pays sous le régime de Kaïs Saïed et d’appeler au retrait du décret 54 relatif à la lutte contre les infractions se rapportant aux systèmes d'information et de communication.

Le président du Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT), Mahdi Jlassi, avait signalé, à ce propos, que les gouvernements qui se sont succédé depuis 2011 s’étaient engagés dans une logique opportuniste et avaient utilisé les médias en question dans leurs batailles politiques, notant que les médias sont plutôt perçus comme un outil de propagande et non comme des entreprises qui offrent des services aux citoyens.

 

 

On rappellera que la garde à vue de Noureddine Boutar, patron de la radio Mosaïque Fm, a été prorogée de cinq jours.

Le dossier de Noureddine Boutar a été transféré au pôle financier. En effet, il s'est avéré que M. Boutar est soupçonné de blanchiment d'argent. La prorogation de sa garde à vue a, cependant, été décidée alors qu'il n'a pas été interrogé par le parquet financier.

Noureddine Boutar a été arrêté et conduit à la brigade antiterroriste d'El Gorjani tard dans la soirée du 13 février. Plus tôt dans la soirée, les forces de l’ordre avaient effectué une descente chez lui.

 

 

M.B.Z

16/02/2023 | 11:50
2 min
Suivez-nous
Commentaires
Patriote
Le 4ème pouvoir
a posté le 16-02-2023 à 20:14
Partout dans le monde les 4 pouvoirs (exécutif législatif judiciaire et journalisme) travaillent pour l'intérêt du pays
Hélas en tunisie Cette règle n'est pas du jour en tunisie
Dans chaque pays il y a un code la presse qui délimite la liberté ainsi que les abus qui sont connus d'avance par les journalistes et en tunisie On a le fameux décret loi 115 qui fait objet de code de presse et qui a été complété pat le décret loi 54
On sa rappelle que durant la guerre du golfe les journalistes occidentaux qui étaient contre et l'ont dénoncé ont été arrêtés pour atteinte à la sûreté de l'état
Nos médias et les journalistes connaissent bien ce code mais ils se croient *** et veulent ne pas être déranger

Abel Chater
Bon courage et bon apprentissage pour tous les journalistes de la Tunisie, car celui qui trahit ce noble métier de la quatrième puissance de ce monde, ne trahit en vérité que sa propre personne, sa propre conscience et son propre avenir.
a posté le 16-02-2023 à 19:40
Ce coup d'Etat du 25 juillet 2021, ne fut possible que par la désinformation, les mensonges, les sabotages et les intrigues médiatiques contre l'unique réussite, parmi toutes les Révolutions de la liberté, de par l'ensemble du monde arabe. A la manière des juifs génocidaires de Gaza, ils ont créé un ennemi qui se réclame d'identité musulmane. Un Hamas de Tunisie. Le parti d'Ennahdha et son chef Rached Haniyeh ou Ismaïl Ghannouchi et toute autre personne, se réclamant proche de la religion musulmane.
Maintenant que la magie s'est retournée contre les magiciens, tout le monde se réveille et crie la douleur de leurs regrets, ne faisant plus que rêver du retour à une liberté, même moindre que celle vécue avec un manque de reconnaissance cruel, envers le parti de «nadda». Ce régime parlementaire démocratique, qu'ils avaient eux-mêmes combattu et saboté pour le faire échouer par toutes les intrigues de ce monde. Ce qui m'a toutefois trop étonné, c'est l'arrestation du directeur de Moïse fm, Noureddine Boutar, le Boss de la radio la plus avancée dans la traîtrise contre la Révolution du 14 janvier 2011 et contre son cours démocratique tunisien. La source radiophonique principale, de la désinformation et du sabotage contre la transition démocratique en Tunisie.
Je vis vraiment les plus beaux jours de ma vie. Une sorte de Résurrection politique en Tunisie. Le Tout Puissant me montre à vue d'oeil, tout ce dont j'ai prévenu de conséquences et de Châtiments divins, depuis des années et des années. Si ma conscience n'était pas basée sur des piliers inébranlables de ma religion musulmane, qui ne me permet pas d'hypocrisie ni de mensonges, ni même de déguiser des vérités ou de retourner ma veste, comme le font les talmudiques, je dirais tout haut et sur tous les toits, que le président Kaïs Saïed, s'avère un vrai Prophète ou du moins, un grand Marabout de toute l'histoire tunisienne, qui «itih fihom wèhid, wèhid» ou (il les épingle un à un). Un miracle des temps modernes. Un tel bulldozer politique sans le moindre sourire ni le moindre recul, ne pourra être qu'un vrai Messager d'Allah le Tout Puissant, envoyé pour régulariser le cours de la rivière sociopolitique de la Tunisie. Il ne veut pas s'enrichir lui-même, comme c'est le cas de beaucoup d'autres. Mais il veut réaliser un rêve qui poursuit tout Tunisien de conscience. Le rêve d'arrêter l'hémorragie de l'impunité en Tunisie. Une mentalité qui nous a détruits d'une génération à l'autre, au point qu'ils nous l'ont inculquée dans le quotidien des Tunisiens. Les pistons. Le régionalisme. L'appartenance. Les applaudissements. Les «Guèflè etsir». Les «yahya Boutbila». Les «Berrouh Beddèmm nefdik yè Zalèm». Les «yèhbani, yèhbani, intè wèni». Sans jamais oublier l'humiliation du peuple tunisien, qu'ils faisaient sortir de leurs écoles, de leurs usines et de leurs chantiers municipaux, pour sauter et sursauter comme des singes de la savane en bordure des rues, hurlant comme des détraqués mentaux : «yèhya Ben Ali et même, viva Il Papa» à chaque visite d'un président étranger, même lors de la visite du pape Paul II, dans notre pays musulman.
S'il n'y avait pas toute cette illégalité ; toutes ces démarches inconstitutionnelles ; tous ces décrets présidentiels illégalement abusifs ; toute cette constitution personnelle sans âme, sans saveur ni couleur ni valeur ; tout ce référendum et toutes ces élections soi-disant parlementaires sans le moindre intérêt pour le peuple tunisien, où il a ramassé tous les résidus du fond profond de la valeur politique requise en Tunisie, j'aurais été l'un des défenseurs les plus sincères du président Kaïs Saïed.
Mais hélas, il n'y aura pas de soutien pour l'illégalité et pour la trahison contre le serment, la main sur le Coran. Je ne voudrais pas finir en combustion au milieu du noyau de notre soleil.
Allah yostir Tounes.
retraité
le pays des manifestations
a posté le 16-02-2023 à 17:00
depuis la révolution bénie le pays est devenu un pays des manifestations presque chaque jour
Constat
Aucun talent
a posté le 16-02-2023 à 14:54
Aujourd'hui en Tunisie min habb we dabb devient journaliste ou avocat.
Ces professions ne sont plus ce qu'elles étaient, constructives et respectables.
Observateur réaliste
Ce n'est pas vraiment la foule des grands jours
a posté le 16-02-2023 à 13:03
Il faut quand même constater que, tout comme les politiques, les journalistes sont à l'image de leur auditoire maigrichon et suscitent autant d'intérêt auprès des tunisiens que celui de leurs premières chaussettes.