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Tahri : le discours de Saïed précède une campagne d’accusations mensongères et d’abus
01/02/2023 | 12:41
2 min
Tahri : le discours de Saïed précède une campagne d’accusations mensongères et d’abus


Le secrétaire général adjoint de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), Sami Tahri, a réagi, mercredi 1er février 2023, à la déclaration du président de la République, Kaïs Saïed, sur le droit syndical. 

Dans la soirée de mardi lors d’une visite inopinée à la caserne de la Garde nationale d’El Aouina, le chef de l’État a évoqué, face à des hauts responsables sécuritaires, la grève des agents des péages de Tunisie Autoroutes et a affirmé « que ceux qui barrent les routes ne peuvent rester dans l’impunité ». Il a ajouté que « le droit syndical est garanti, mais ne peut devenir une couverture à des fins politiques, qui ne sont un secret pour personne ».

 

Commentant ces propos drapés de menaces, Sami Tahri a rappelé que des déclarations similaires avaient été proférées depuis l’avènement du capitalisme et des syndicats en Tunisie. 

« On l’a entendu de la bouche de (Habib) Bourguiba, (Hédi) Nouira, (Mohamed) Mzali, (Mohamed) Sayah, Bechir Bellagha, Abdelwaheb Abdallah, (Hamadi) Jebali, (Ali) Larayedh et (Youssef) Chahed. Cela se répète, une recette qui précède souvent une campagne d’accusations mensongères, d’arrestations et d'abus. Hier nous l’avons entendu depuis une caserne », a-t-il écrit sur sa page Facebook. 

Le secrétaire général du syndicat des agents de la Société Tunisie Autoroutes, Anis Kaâbi a, notons-le, été interpellé dans la soirée du 31 janvier 2023 et conduit au district de police d’El Gorjani. Son arrestation a eu lieu vers 21 heures, selon le secrétaire général du syndicat des agents de l'autoroute de Mornag, Hamza Mahmoudi, soit deux heures après la publication de la vidéo de la visite du président de la République à la caserne d’El Aouina, sur la page Facebook de la présidence de la République. 

 

N.J. 

01/02/2023 | 12:41
2 min
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Commentaires
On va te croire sur parole
Quand on passe
a posté le 01-02-2023 à 19:36
du stade de simple scribouillard ou de simple berger, à un stade de millionnaire, en assez de temps qu'il ne faut pour cligner des yeux, il serait judicieux de faire ta propre auto-critique avant d'attaquer gratuitement, une des très rares personnes honnêtes et intègre qui subsiste au pays !
Bara orkéde avec tes complices.
T'inquiète, votre heure à tous viendra, le jour où vous vous attendrez le moins, bi koudrite illéh.
Khafou méne Rabbi, ya néss !!


Naim
Pathétique.
a posté le 01-02-2023 à 16:37
Moralité, tu es frais comme un gardon pour affronter la justice et nous éclairer sur ta vaste richesse, j'espère.
AMMAR BEZZOUIR
Oui, @Naim..
a posté le à 19:08
Il est le plus riche boucher connu ayant jamais vécu dans le bassin méditerranéen !
Abel Chater
Eh oui, Messieurs les ***de l'UGTT !!! Vous n'avez plus affaire à l'honnêteté et au pacifisme religieux de ceux d'Ennahdha, que vous avez trahis par toute sorte de vos mensonges, de vos sabotages et de vos intrigues.
a posté le 01-02-2023 à 16:19
Maintenant, l'UGTT n'a plus affaire à Rached Ghannouchi, que ses ***ont lynché par tous leurs mensonges et par toutes leurs intrigues sataniques. Maintenant, ils ont affaire à un président de la République Kaïs Saïed. Un acrobate des cités populaires défavorisées, satellites de la Capitale Tunis. Un apolitique des circonstances, catapulté à la présidence de la République tunisienne, par les mêmes outils de la vraie démocratie qui n'a jamais existé de par l'ensemble de tout le monde arabe et de tout le tiers-monde de ce globe terrestre. Mais qu'il trahit, pour que les autres n'aient pas la même chance qu'il a eue lui-même.
Une fois qu'il ait occupé le palais de Bouguiba, Kaïs Saïed s'est transformé en un philosophe de la contradiction, de l'illogique et du kamikaze politique. Il ne vit plus qu'en acrobatie politique, suivant son propre équilibre sur sa propre corde. Même s'il se trouvait à ramper par terre, Il vous dira, qu'il faut regarder de l'autre côté de la corde. Ce n'est pas lui qui mord la poussière, mais c'est la corde qui se trouve à l'envers. Il ne donne aucune importance à l'intelligence des autres ni même à la logique humaine, ni qu'il ne tienne même à ses promesses envers la Divinité elle-même.
Bien que le président Kaïs Saïed n'ait pas lui-même respecté le serment, qu'il a prêté le mercredi 23 octobre 2019 devant le Divin et les humains représentants du peuple au parlement ARP, il ose encore assermenter ses ministres devant lui. Une violation flagrante des obligations formées sous serment, dont il ne pourra jamais plus démentir ou banaliser ni même justifier.
Donc, maintenant le chemin est libre et le moment est propice, pour que l'UGTT paie tous les crimes qu'elle a commis contre le peuple tunisien. Elle a toujours soutenu les dictateurs et elle a trahi et saboté la transition démocratique de notre deuxième République postrévolution du 14 janvier 2011. Bien que l'UGTT ait retourné sa veste comme à ses habitudes, du côté du coup d'Etat du 25 juillet 2021, le président Kaïs Saïed, s'est avéré plus malin que le «Tabtaboubi» à la tête de l'UGTT, qu'il a été le visiter jusqu'au fond profond de nos Oueds, pour le condoléancer après le décès de son père. Kaïs Saïed, ne veut pas être déjoué comme ses prédécesseurs, par l'hypocrisie des *** de l'UGTT, comme c'est d'usage depuis la révolte d'Habib Achour du 26 janvier 1978. Il a l'armée et toutes les Forces armées tunisiennes sous l'égide de la France et des dictateurs arabes, qui le soutiennent contre quelques postes ministériels pour ses Etats-Majors. Le peuple tunisien n'a plus confiance en cette UGTT ***. Il suffit d'arrêter les syndicalistes comme ils l'ont fait avec ceux des autoroutes, mais aussi d'interdire définitivement l'UGTT par un décret nocturne, que le président Kaïs Saïed fait imprimer sur son JORT de minuit. Le mensonge de la popularité de l'UGTT, va s'illustrer de lui-même. Il n'y aura pas de Tunisiens à lui venir en aide. Seules ces sangsues responsables de l'UGTT dans les usines et les institutions qui possèdent un syndicat, vont péter leurs mensonges à l'image de ce que fait ce clown Sami Tahri. Les Forces armées de Kaïs Saïed, vont les ramasser un à un par leurs oreilles et ce mythe de l'UGTT aura fin pour toujours. Il n'y aura plus de syndicalistes sur la scène politique de la Tunisie. Les syndicalistes n'auront plus le droit de mouvement, qu'à l'intérieur des usines et des institutions de droit. Jamais plus en politique ni au gouvernement.
Celui qui creuse une fosse pour les autres, y tombe le premier et la pierre revient sur celui qui la roule.
Allah yomhil wèlè yohmil.
AMMAR BEZZOUIR
@Chater: Merci pour ce commentaire lucide..
a posté le à 19:05
Je n'aurais pas pu écrire mieux, cela m'évite d'écrire la même chose !
Wallah yar7èm Wèldik!

Patriote
Des opportunistes
a posté le 01-02-2023 à 15:52
Votre travail est la défense des droits des travailleurs et le droit syndical nf vous fond droit le pouvoir exécutif df lf dénigrer et de se permettre de prendre sa place et de plus d'engager des procédures de changements du régime et des institutions df l état
Vous voulez attaquer et vous ne interdisez aux autres de se défendre
Quel vil et quel audace de se croire au dessus des lois
Mr Tahri
mais de quelle campagnes mensongères parlez-vous...
a posté le 01-02-2023 à 14:51
Mr Tahri arrêtez de dénigrer gratuitement le pouvoir en place, car c'est mieux pour vous et pour vos collègues de la centrale syndicale ! De quelles campagnes mensongères parlez-vous? L'histoire de l'UGTT est claire, sauf si on est vraiment amnésique ! A l'exception du grand leader Farhat Hached, tous les grands noms de l'UGTT, Habib Achour et Abdelaziz Bouraoui, ont été partenaires et collaborateurs du pouvoir politique en place. Ils étaient députés à l'assemblée nationale et Habib Achour était aussi membre du comité central du parti PSD de Bourguiba ! A l'époque, les grands leaders syndicalistes étaient de vrais nationalistes et de vrais patriotes. Ils savaient comment doser leurs grèves et leurs actions de protestations. Par contre, votre problème essentiel au sein de l'UGTT d'aujourd'hui, c'est que vous êtes divisés entre vous et apparemment aussi incapables de doser vos grèves, vos interventions et surtout vos déclarations. D'ailleurs, la grande rupture entre Bourguiba et l'UGTT des années 70, avait pour causes essentielles le langage brutal, les menaces et l'entêtement de Habib Achour et des ses camarades du bureau exécutif, qui avaient décidé, à l'époque, d'organiser la fameuse grève générale sanglante et meurtrière du 26 janvier 1978 (avec des dizaines de morts et des centaines de blessés)!!!! A titre de rappel, cette rupture avec Bourguiba avait des conséquences fatales sur la longue carrière syndicale du grand leader Habib Achour en particulier et de l'UGTT en général. A l'époque, Habib Achour, Abdelaziz Bouraoui et tous les autres membres du bureau exécutif de l'UGTT fûrent arrêtés et jetés en prison !!! Ceci étant, vous même, Mr Tahri, et vos camarades de l'UGTT, vous êtes appelés, aujourd'hui plus que jamais, à apaiser intelligemment la situation actuelle qui est extrêmement tendue et dangereuse pour la Tunisie et l'avenir de son peuple. Soyez calmes et raisonnables, car en cas d'affrontements massifs et trop violents avec le pouvoir en place, vous risqueriez d'avoir le même sort que celui de Habib Achour et de tous les hauts responsables et cadres de l'UGTT....!!!!! A bon entendeur salut !!
FMH
Réaction louche
a posté le 01-02-2023 à 14:18
'?a commence à mal tourner au niveau de la Centrale ! Ya Mr Tahri pourquoi paniquer si vous n'avrez rien sur la conscience ?
Feres
...à des fins politiques ?
a posté le 01-02-2023 à 13:57
De quoi il radote celui là ? Il ferait mieux de s'éteindre et de disparaître. C'est le pseudo syndicalisme qui fait de la politique et qui a détruit par ses grèves intarissables et nauséabondes notre cher pays. Il est temps de disparaître pour l'intérêt de la Tunisie. Le vrai syndicalisme est éteint après feu Farhat Hached .Game is Over.