Les partis politiques sont interdits de faire campagne pour les législatives anticipées de 2022 prévues en décembre, a annoncé, le porte-parole de l’Instance supérieure indépendante pour les élections (Isie), Mohamed Tlili Mansri.
Dans une déclaration à la Tap, il a, toutefois, précisé que les candidats membres de partis politiques pourraient mener leur campagne électorale, à titre individuel, durant la période correspondante.
Il a ajouté que les partis politiques qui avaient annoncé le boycott des législatives ne seraient pas concernés par la campagne électorale laissant entendre ainsi leur exclusion du scrutin.
Il a fait savoir, également, que le décret relatif à la campagne électorale serait publié avant le 25 novembre date de lancement de la campagne.
Le mode de scrutin uninominal à deux tours a été adopté en prévision des législatives anticipées de 2022. Le nombre de circonscriptions a, lui, été réduit à 161. Le nouveau parlement compterait, de ce fait, 161 députés au lieu de 217.
Le président de la République, Kaïs Saïed et son entourage n’ont eu de cesse de répéter que le rôle des partis politiques était fini « historiquement » et qu’ils étaient voués à disparaitre. En instaurant cette nouvelle règle, le champ d’action des partis dans la vie publique est ainsi limité, voire marginalisé. En France, à titre d’exemple, le système électoral adopté n’est autre que le scrutin uninominal. Toutefois, les partis ont toute leur place dans la campagne électorale.
N.J.
Boycotter des élections n'interdit pas aux intéressés d'exprimer leur position et d'expliquer aux électeurs ou à leurs sympathisants les raisons de ce boycotte .
Nous allons directement vers l'inconnu ce qui ne présage rien de bon pour la Tunisie.
Un Parti politique, en principe, compte des militants, perçoit des cotisations et agit dans la société par ses militants qui en sont les relais.
Si on applique ces présupposés, il n'en resterait pas une dizaine.
Secundo, un Parti qui violé les lois est réputé lors-la-.loi, ce qui discrédite nombre d'officines organisées en clans comme Ennahdha, ou en affiliations de classe si l'on regarde les Partis de notables.
Enfin, lorsqu'on ne se donne pour objectif que de saboter un scrutin, qu'on déclare ne point vouloir y participer, on s'en exclut tout seul.
Quant à la comparaison avec la scène politique française, elle s'arrête où commence mon hypothèse.
Aucun Parti ne perçoit des financements étrangers, et cela a servi contre le PCF en son temps, faussement ou non, et servit il y a peu contre le RN.
Enfin, chacun sait que Ennahdha et ses satellites sont un rouage de l'Internationale islamiste, ce qui les disqualifie en matière de patriotisme quelques seraient leurs fables.
En définitive, il ne reste plus grand monde qui puisse se réclamer Parti politique.
Où sont les hommes de droits dans ce pays? Comment peuvent-il rester muets? Abir est la seule à avoir le courage de dire les choses comme elles sont.
Où sont les grands cadres sécuritaires et militaires? Comment acceptent-ils de voir le pays entre les mains d'un "hors la loi" sans le remettre à sa place en lui parlant droit dans les yeux et en lui expliquant qu'il doit changer de cap et que sinon ils ne pourront plus rester silencieux...
Qu'est ce qu'on rigole depuis l'arrivée de l'éminent professeur
Donc le résultat, c'est que les vrais corrompus, contrebandiers, et consorts seront les seuls à avoir une chance d'être élus.
Mais en même temps on veut nous faire croire qu'on lutte contre la corruption.
Au secours !!
il est en train de remplacer les anciens corrompus barbus, pas ses propres corrompus personnels...
CQFD