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Le SNJT accuse le gouvernement d'entraver la liberté de la presse
23/04/2022 | 20:56
1 min
Le SNJT accuse le gouvernement d'entraver la liberté de la presse

 

Le bureau exécutif élargi du Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT) s’est réuni, samedi 23 avril 2022, pour discuter de « la crise générale qui touche le processus démocratique et entrave la liberté de la presse ».

Dans le communiqué publié par le syndicat on fait état des menaces à la liberté de la presse et qui se voient dans les pressions judiciaires que subissent aux quotidiens les journalises.

« L’impunité et l’entrave du droit à l’accès à l’information », ont été vivement dénoncées ce samedi.

Les journalistes dénoncent en outre, un gouvernement qui fait la « sourde oreille » et son désengagement de ses responsabilités, « malgré les efforts du syndicat en faveur du dialogue ».

 

Dans son message, le bureau exécutif demande : Le respect du principe de la liberté de la presse et du droit au travail syndical codifiés dans la constitution et dans tous les accords internationaux signés par la Tunisie.

Lors de la réunion le SNJT a appelé au dialogue et à l’application de l’accord commun signé avec le gouvernement, actuellement devant le tribunal administratif.

 

L’affaire « Cactus Prod » a également été évoquée. Sur ce point, le syndicat demande aux autorités de permettre aux employés d’accéder à leurs salaires qu’ils ne touchent plus depuis cinq mois.

« Le retrait du décret numéro 19 qui entrave le droit du citoyen à l’information », a en outre été demandé par le syndicat.

« Le bureau exécutif demeurera en réunion permanente et annonce une escalade et des marches de protestations qui députeront avec la Journée mondiale de la liberté de la presse », peut-on lire dans la communication syndicale.

 

S.A

23/04/2022 | 20:56
1 min
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Commentaires
Lol
Salaires ou libertés ?
a posté le 24-04-2022 à 09:18
Des demandes d'un syndicat qui joue de la liberté de presse pour négocier les salaires des journalistes fonctionnaires ou de cactus prod.
Voilà comment on peut détruire sa réputation et l'avenir de liberté de presse par la même occasion.
Ou bien l'article manque cruellement de faits