
Le ministère de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie et le ministère du Commerce et du Développement des exportations ont annoncé, le 31 janvier 2022, dans un communiqué commun, une révision à la hausse des prix des carburants. L’annonce d’une hausse des prix des carburants a suscité la colère d’une grande partie des Tunisiens.
Les internautes ont, bien évidemment, décidé de manifester leur colère et leur frustration dans les commentaires. En guise de réaction, le ministère du Commerce, a choisi, non pas d'expliquer les raisons de cette hausse, mais de tout simplement interdire aux citoyens tunisiens de critiquer la décision et de s’exprimer. Le ministère a considéré que la censure était la meilleure des solutions et a interdit les commentaires sur Facebook. Le prix du carburant serait un tabou à ne jamais évoquer !
De son côté, le ministère de l’Industrie n’a pas interdit les commentaires.
S.G


Pourquoi chercher les justifications à chaque fois avec l'histoire "edda3m"
* Certains autres, l'importent, et le subventionnent encore plus que chez-nous, parce qu'ils ont d'autres ressources qui compensent économiquement.
* Et enfin, il y a des gouvernements qui subventionnent les produits pétroliers, mais chez qui, le peuple est ingrat, parce que constitué d'éternels mécontents ; n'est-ce pas ?
...
Un immense MERCI a tous nos gouvernements d'avoir continué dans cette logique, mais, maintenant, il faut arreter ces frais.
De toute facon, notre peuple ne sera JAMAIS CONTENT.
Appliquons les tarifs internationaux a la pompe et vous verrez :
1) Du coup, le consommateur sera bien plus attentif : IL ne prendra plus sa voiture, quelques fois, rien que pour chercher une baguette chez l'épicier du coin ; ... au lieu de marcher, ce qui serait bien mieux pour sa santé.
2) Le FMI et les investisseurs seront tres encouragés, parce que la, nous pourrions offrir de vraies garanties !
Bien sûr, les khwamjias diront qu 'avec eux aux commandes, le prix du pétrole aurait été stable alors qu'ils ont vidé les caisses de l'état sans vergogne.