Le président de la République s’est réuni jeudi 27 juillet avec la cheffe du gouvernement et la ministre des Finances pour parler de la pénurie de pain subventionné dans les boulangeries. Kaïs Saïed accuse ces dernières d’en être la cause et ce dans l’objectif de proposer du pain onéreux aux riches et d’envenimer la situation sociale dans le pays.
C’est un constat que tout un chacun peut faire, à tout moment de la journée, n’importe où dans le pays. Il suffit d’aller à une boulangerie de quartier pour constater la longue file de personnes en attente de pain subventionné, denrée de plus en plus rare ces derniers temps. Parfois, pour ne pas dire souvent, il arrive que quelques personnes dans la file critiquent sévèrement le pouvoir en place et l’accusent d’être la cause de ces pénuries. La scène est quotidienne, presque généralisée et elle n’est pas dénuée de sens.
Certainement au fait de ce qui se passe et de ce qui se dit dans le pays, Kaïs Saïed a pris les devants. Sauf que, comme à son habitude, il n’a pas pris les devants pour apporter une solution concrète à un problème réel, il a pris les devants juste pour faire le constat et accuser des lobbys (il a choisi le mot cartel cette fois) d’être derrière le problème de la pénurie de pain.
Au milieu d’un tas de feuilles, qu’il consulte d’une manière cafouilleuse, le chef de l’État évoque plusieurs lois régissant le secteur des boulangeries devant sa cheffe du gouvernement Najla Bouden et la ministre des Finances, Sihem Nemsia. Curieusement, la ministre du Commerce, première intéressée par le sujet, est absente de cette réunion qui s’est déroulée au siège de la présidence du gouvernement à la Kasbah.
À entendre Kaïs Saïed, les boulangeries dites classiques ne fournissent pas suffisamment de pain subventionné aux pauvres, afin d’écouler au profit des riches du pain onéreux. « Cela fait qu’il y a du pain pour les riches et un autre pour les pauvres, dit-il. Il n’y a qu’un seul pain pour tous les Tunisiens. On dirait qu’il s’agit d’une manière détournée pour lever la subvention des céréales. Cette situation ne peut plus durer. Il faut prendre les mesures nécessaires pour mettre un terme à tout cela et arrêter la vente du pain “non classé” ».
Autre point évoqué par le président de la République, le fait que certaines boulangeries classiques vendent de la farine subventionnée aux boulangeries modernes pour que ces dernières puissent vendre leur pain onéreux au moindre coût.
Le président parle de cartels organisés dont l’objectif est d’envenimer la situation politique. Pour régler le problème, Kaïs Saïed propose qu’on en finisse définitivement avec la vente de pain onéreux. « Que les boulangeries modernes vendent des pâtisseries et des boissons, ça leur suffit ».
Si l’on comprend bien le président, les Tunisiens sont appelés à retourner en arrière dans le temps et vivre comme au siècle dernier, c’est-à-dire uniquement avec des baguettes et de gros pains. Il ne faut plus qu’il y ait du pain à l’olive et l’oignon (exemple qu’il a cité), du pain au son, du pain à la semoule, des Banette, etc.
Indéniablement, le constat de Kaïs Saïed est juste et ce qu’il dit est vrai. Sauf que le président de la République ne dit pas toute la vérité. Il omet un point essentiel expliquant la crise actuelle du pain, celui de la responsabilité de l’État. C’est très vrai que les boulangeries rechignent à vendre du pain subventionné et certaines d’entre elles trafiquotent, mais il est bon d’attirer l’attention du président que la seule vente de pain subventionné ne suffit pas à faire vivre les boulangeries. Celles-ci sont obligées de vendre des pâtisseries et du pain onéreux pour pouvoir payer leurs salariés et couvrir leurs charges, notamment en électricité et en gaz.
L’État a fixé le prix du pain à 190 millimes et ceci est insuffisant pour qu’une boulangerie se retrouve dans ses comptes.
Autre problème, dont l’État est la cause, les quantités de farine fournies à ces boulangeries bien inférieures aux besoins du marché. Kaïs Saïed estime que certaines de ces quantités de farine sont détournées de leur objectif premier (celui de fabriquer du pain subventionné) et ceci est une demi-vérité. Ce problème est tout nouveau et il n’est né qu’après la réduction, par l’Etat, des quantités fourniers aux boulangeries.
Dernier problème réel, zappé par Kaïs Saïed, celui des dettes de l’État envers la totalité des boulangeries dites classiques, au nombre de 3317 et ce depuis quatorze mois. Ces dus s’élèvent à quelque 262 millions de dinars. Les boulangeries ont beau demander, rouspéter et lancer les préavis de grève, le ministère du Commerce (et donc des Finances) rechigne à les payer !
En se déplaçant à la Kasbah pour évoquer le problème du pain devant les caméras, Kaïs Saïed ne cherche pas vraiment à trouver des solutions. Il fait juste du populisme, comme à son habitude. La preuve, il n’a évoqué qu’une infime partie du problème, celle qui l’intéresse. En épinglant les cartels, les lobbys, les riches, les fonctionnaires et les boulangeries modernes, il cherche à enfumer son public et à rejeter, sur les autres, toute responsabilité justifiant les pénuries actuelles. C’est du classique, ce n’est pas l’État qui est responsable, ce sont les autres.
Dans la foulée de son monologue, devant ses deux ministres muettes, Kaïs Saïed s’en prend à ces classifications de boulangeries. « On revient toujours à cette histoire de classification. À l’étranger, ils nous classent, et nous, nous classons le pain », dit-il. Paradoxalement, il fait exactement ce qu’il dénonce, puisqu’il a classé, lui-même, les Tunisiens en riches et pauvres, en cupides et en victimes.
D’après ses dires, ce sont les pauvres qui paient les impôts pour subventionner le pain des riches.
Ces propos sont des plus dangereux, puisque le président de la République, théoriquement président de tous les Tunisiens, remonte les citoyens les uns contre les autres. C’est avec ce genre de propos que des guerres civiles ont été déclenchées dans l’Histoire.
Par son monologue du jeudi 27 juillet, Kaïs Saïed dénie à certaines catégories de la population leur droit de manger le pain qu’elles désirent. Il dénie aux boulangeries le droit de proposer des produits répondant aux demandes de leur clientèle. Il veut qu’il y ait un seul et unique type de pain dans le pays, celui proposé pour les pauvres.
Plutôt que de tirer la population vers le haut et faire en sorte que les pauvres s’enrichissent, Kaïs Saïed tire vers le bas et veut que les riches s’appauvrissent.
Raouf Ben Hédi
Au reste ils n'achètent pas de pain de manière quotidienne.
Puisque c'est comme cela les riches n'achèteront plus de pain.
Les boulangers ont trouvé pour détourner les prix fixés par le gouvernement, ils reçoivent une certaine quantité de farine, la moitié pour le pain, et l'autre moitié ils le vendent aux boulangeries non SUBVENTIONN'?,
Ces derniers, ne doivent rien à l'état, il ne sont pas contrôlés et de cette façon la P'?NURIE PERDURE et le pauvre tunisien rame pour trouver le pain denrée devenue rare !
Pour parer à toute cette gabegie, il faut contrôler la quantité de farine que les nons SUBVENTIONN'?S reçoivent, ou bien interdire la fabrication de pains.
Qu'ils fabriquent toutes sortes de gâteaux, et non pas avec des produits subventionnés.
Tripler les contrôles.
KAIS SAÏED FACE à des spécialistes de la magouille, le bras de fer est engagé.
Du reste, tu fais partie des laches qui ont peur de l'inconnu, pour toi, sans kais, y'a personnes d'assez digne pour le remplacer, missieur el ouaf ouaf, pour ton information, il y a 12 millions de tunisiens et forcément dans le tas, l'homme/femme assez honnête et compétent pour redresser le pays.
J'espère qu'un journaliste fasse une investigation pour montrer le nombre de morts en Tunisie suite à la canicule de lundi dernier. Je suis passé voir un médecin généraliste vers 11h, il m'a annoncé qu'il s'était déplacé pour 3 urgences. Résultat : 3 morts !!
Le courant est coupé de temps à autre ... Pareil pour l'eau ...
Une demi-heure sous un soleil de plomb pour parvenir à acheter une baguette. Il faut être en bonne santé pour y parvenir. A défaut il faut prendre du « complet », « smid », « mbessess » à un prix plus élevé.
Plein de produits ont disparu des rayons : Sucre, Farine, Smid (semoule), riz, huile subventionnée, ...
Inflation énorme ...
Très compliqué de s'en sortir avec un petit salaire ...
La corruption s'aggrave ... Les gens construisent sans autorisation de bâtir ... Des résidences poussent comme des champignons ... et le comble les riches parviennent (avec la corruption) à obtenir un compteur d'eau et d'électricité pour chaque appartement .... et même si vous arrivez à obtenir une décision pour détruire une construction illégale ... cette décision n'est pas appliquée ....
Un pays ne peut avancer avec tant d'injustices sociales et de discrimination. Même dans le recrutement ça se fait maintenant par héritage, familial et puis régional pas par la compétence.
La Tunisie doit changer complètement sinon le pays va sombrer dans l'anarchie la plus totale malheureusement et nous ne souhaitons pas ça
ils DOIVENT payer des impots , 30 40% pour financer le social.
çà s'appelle: REDISTRIBUTION.
Et ne vous inquiétez pas, les riches paient bien plus que vos 30 ou 40% car en comptant les 36% sur les salaires, les 15 et 10% pour l'impôt sur les sociétés et les dividendes, la TVA de 19% et les droits et taxes sur les voitures faramineuses au delà de 100% pour certains véhicules, ils paient bien plus que certains pays européens tout en ayant aucun service de la part de l'ETAT. (éducation privé, santé privé, etc)
Enfin, cet eternel débat entre communisme (socialisme) et capitalisme est revolue dans le monde. Seul le capitalisme la liberte d'entreprendre conduit à la création de richesse. Il est également logique quelqu'un qui a eu une idéee, pris un risque, endetté sa famille, puisse en cas de succès tirer les fruits. Un salarié ne prend pas de risque et donc ne peut pas aspirer à un même niveau de richesse.
Nabbar de café.
Voilà une des raisons, entre autres, qui incitent nahdha à garder le pouvoir et ce afin de potentiels votants lors d'éventuels élections ; soit une des tactique du donnant-donnant, parmi d'autres (tel que les recrutements dans la fonction publique à Tunis et que cela soit à tunis ; surtout pour les sudistes averes partisanscde nahdha eh comment ne le soient-ils ?) utilisée par cette nahdha depuis 2011 pour s'assurer du pouvoir, soit une corruption claire et nette.
Et ils osent parler de démocratie ces incultes ( de surcroît) et "ftairias".
- a) en celles qui vendent du pain à un prix réduit pour les nécessiteux (BL appelées non classées)
- b) en celles qui vendent du pain à un prix non réduit pour les "non-nécessiteux" (BL appelées classées)
-->
Cette segmentation a été adoptée au temps du gouvernement de Mr. Hichem Mechichi.
Pourquoi cette segmentation est absurde (deux prix différents pour le même pain de la même qualité)?:
- certains des "non-nécessiteux" vont faire la queue afin d'avoir le pain à bon prix. En effet, il n'y a aucune norme objective de ce qui est "non-nécessiteux" --> celui qui gagne 1000 dinars le mois est-il nécessiteux? Franchement, je ne le sais pas (moi, je pourrais vivre avec 500 dinars le mois).
- Les boulangers qui gèrent simultanément des boulangeries pour les "nécessiteux" et les "non-nécessiteux" ne sont pas tous correctes: en effet certains d'entre eux pourraient (je dis bien pourraient) vendre du pain à prix réduit aux "non-nécessiteux" et prétendre qu'ils l'ont vendu aux "nécessiteux" --> et profitent ainsi de la subvention étatique.
- puis, il y a ceux qui achètent du pain à prix réduit afin de le revendre à un prix encore plus cher qu'à la boulangerie puisque l'on crée ainsi un déséquilibre artificiel entre la demande et l'offre.
Fazit: oui, j'approuve cette décision afin d'arrêter cette charabia de pain à différents prix respectivement pour les "nécessiteux" et les "non-nécessiteux" --> et enfin de compte, on risquerait même que les "non-nécessiteux" s'approvisionneraient en pain à prix réduit (souvent, sans savoir qu'ils sont des non-nécessiteux) et par contre les vrais-nécessiteux" auraient à payer le prix régulier ou même plus du pain.
Bonne soirée
- a) en celles qui vendent du pain à un prix réduit pour les nécessiteux (BL appelées non classées)
- b) en celles qui vendent du pain à un non prix réduit pour les "non-nécessiteux" (BL appelées classées)
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Cette segmentation a été adoptée au temps du gouvernement de Mr. Hichem Mechichi.
Pourquoi cette segmentation est absurde (deux prix différents pour le même pain de la même qualité)?:
- certains des "non-nécessiteux" vont faire la queue afin d'avoir le pain à bon prix. En effet, il n'y a aucune norme objective de ce qui est "non-nécessiteux" --> celui qui gagne 1000 dinars le mois est-il nécessiteux? Franchement, je ne le sais pas (moi, je pourrais vivre avec 500 dinars le mois:).
- Les boulangers qui gèrent simultanément des boulangeries pour les "nécessiteux" et les "non-nécessiteux" ne sont pas tous correctes: en effet certains d'entre eux pourraient (je dis bien pourraient) vendre du pain à prix réduit aux "non-nécessiteux" et prétendre qu'ils l'ont vendu aux "nécessiteux" --> et profitent ainsi de la subvention étatique.
- puis, il y a ceux qui achètent du pain à prix réduit afin de le revendre à un prix encore plus cher qu'à la boulangerie puisque l'on crée ainsi un déséquilibre artificiel entre la demande et l'offre.
Fazit: oui, j'approuve cette décision afin d'arrêter cette charabia de pain à différents prix respectivement pour les "nécessiteux" et les "non-nécessiteux" --> et enfin de compte, on risquerait même que les "non-nécessiteux" s'approvisionneraient en pain à prix réduit (souvent, sans savoir qu'ils sont des non-nécessiteux) et par contre les vrais-nécessiteux" auraient à payer le prix régulier ou même plus du pain.
Bonne soirée
Faut pas induire les gens en erreurs
sauf chez les ratés aigris. Je concède au putschiste qu'il y a de mauvais riches qui ont fait fortune d'une manière malhonnête ce qui me ramène à poser la question suivante au chouchou des fascistes. Cet homme touche un salaire élevé selon les standards de la Tunisie, est-ce qu'il mérite ce salaire compte tenu du travail qu'il fait pour les tunisiens si on peut appeler ses pets populistes à répétition du travail?
Toucher un salaire non mérité est du vol. Plusieurs des riches travaillent 15 heures + par jour et vivent sous un stress permanent. Combien d'heures ou de minutes travaille le putschiste par jour? Sans parler du salaire de 7aramouhou el massoun.
Avant de donner des leçons aux autres, il faut commencer par balayer devant sa porte et peut-être se nettoyer les f.
Que peut-on attendre d'un "fachel" de carrière? Que du bla bla bla.
Enfin riches/pauvres est une loi universelle de la nature on n'y peut rien changer
Donc produits pour riches et d'autres pour pauvres
Ou est le problèmes
Mais si vous avez une solution miracle contre nature pour que tout le monde soit riches ou pauvres
Comment sera le monde à une coleur
Il ne faut pas dire que les riches seront pauvre mais plutôt chasser le naturel il revient au galop
Mes excuses Monsieur Nicolas Maduro!
De plus, le.boulanger n'a que 2 bras... Mais bon, accuser les petites entreprises c'est plus facile.
S'il veut donner du pain gratuit qu'ils construise une usine a pain et qu'il le distribue au peuple. Ce sera plus facile. Et pendant qu'on y est tout devrait devenir gratuit ! On vit dans le monde de Willy Wonka!
Apparemment manger c'est tout ce qui les fait vibrer le peuple.
Yeklou fel 9out wa yestenaw fel mout. Mala 7ala.
Pourquoi chauffer les esprits les alimenter par la haine aucun gagnant
750000 patentes (non riches) sous regime forfaitaire ne payent que 100 dtn/an
Non parlons pas du réseaux //
C'est ça le problème. L'organisation de ce pays n'a jamais exister depuis l'independence !!!
commençons par eux, ils s'enrichissent sur le dos du peuple, et encouragent la corruption, la contrebande..
Mais un certain Kais saied, il y a un an à ghar el Melah a encouragé ce business en citant en exemple un vendeur de fruits et légumes sur le bord de la route.
Elles seront jugées un jour pour leur complicité et leur soumission insencées.
qui profite le plus des subventions ?
Ce sont les classes les plus aisées, puisque ce sont elles qui consomment le plus, qui achètent le plus d'essence subventionnée. ainsi que les touristes, qui mangent des produits subventionnés dans les hôtels all inclusive, ou les visiteurs du maghreb qui louent partout des villas, et font des razzias dans les supermarchés. Le tout sans participer à l'effort nationale par l'acquittement d'impôts.
Mais personne ne veut s'attaquer à ce problème :
suppression des subventions, et remplacer par une sorte de RSA, versé chaque mois à toutes les familles pour rééquilibrer le système.
Je peux vous garantir que les riches n'iront pas faire la queue à la poste pour toucher ce petit mandat.
Cela fait presque 15 ans qu'un économiste avait publié une tribune sur BN pour aborder cette solution. Qui est la seule viable.
Pourquoi devrais-je bénéficier de subventions quand je fais le pleins de mon véhicule, ou quand j'achète des pâtes, des oeufs, du lait ?
Exemple :
28 Mai 2023, port de Bizerte : 35 milles tonnes de blé tendre sont débarquées et acheminées vers les minoteries. Sous escorte policière.
Dans les faits il s'avère que plus de 6000 tonnes se sont volatilisées dans la nature. Comment cela a t-il pu se produire sous une surveillance aussi poussée;
Réponse : dans de pareilles conditions, seuls des responsables de la Douane au port de Bizerte on pu superviser un tel détournement.
Ceci vaut pour des dizaines d'autres activités. Tant que le président est incapable d'analyser les faits, et que les faits ne lui sont pas transmis de manière fidèle, il ne pourra être efficace malgré toute sa bonne volonté;
Qu'il faut, néanmoins, saluer.
Quelque chose ne va pas, soit notre président n'est même pas informé de ce qu'il se passe dans ses administrations alors qu'un commentateur BN l'est et c'est extrêmement grave, soit vous diffamer, dans tous les cas, je ne suis pas surpris, les pro-médiocrités ne sont bon qu'à ça, nous faire vivre et supporter la médiocrité.
La bonne volonté ne suffit pas pour nourrir un peuple.
On l'a bien fait quand la vente des poissons avait atteint des prix astronomiques, en réagissant avec le slogan "khalli yenten" (laisses le pourrir) destiné à dissuader le consommateur à acheter le poisson à un prix scandaleux.
Par ailleurs, où sont bien passés les contrôleurs ?
On est en droit de se le demander en regardant les étals de fruits et de légumes où ne figurent aucun prix de vente.