
Le ministre de l’Éducation, Fethi Sellaouti est revenu, vendredi 9 décembre 2022, sur l’affaire de la jeune élève Nour Ammar renvoyée définitivement du lycée des arts d’El Omrane pour avoir dénoncé dans une vidéo sur Tiktok le supposé harcèlement de l’enseignant de théâtre Mhadheb Rmili, assurant que la valeur symbolique des enseignants était au-dessus de toute autre considération.
Dans une déclaration accordée à IFM, le ministre affirme : « Il y a des lignes des rouges et nous ne permettrons aucune atteinte aux enseignants. Ainsi, des mesures disciplinaires sont prises envers toute transgression. Ces mesures sont prises par un conseil au niveau de l’établissement. Ce conseil possède toutes les prérogatives que nous respectons. Toutefois, j’appelle nos élèves à préserver la valeur de leurs enseignants. Ce qui s’est passé est inadmissible et nous allons essayer de résoudre cette affaire et à limiter ses répercussions ».
Pour rappel, l’affaire oppose l’élève Nour Ammar qui a dénoncé dans une vidéo sur Tiktok le supposé harcèlement de l’enseignant de théâtre Mhadheb Rmili.
En colère, ce dernier a saisi la direction du lycée. Un conseil de discipline s’est réuni illico presto et a décidé le renvoi définitif de l’élève à cause de sa vidéo.
L’affaire soulève un grand tollé depuis quelques jours avec un soutien, quasi-total, pour Nour Ammar et une dénonciation pour le corporatisme des enseignants. Le ministère de l’Éducation, pour sa part, observe un mutisme total et n’a toujours rien décidé contre la direction de l’école et l’enseignant.
Ce dernier, en parallèle, multiplie les provocations indécentes et les invectives contre ceux qui le critiquent.
S.H

C'est avec ceþe idée malveillante et malsaine que sont venus nahdha e Londres en 2011.
Le meilleur exemple c'est Ali Larayadh qui continue de galoper sans soucier et sans que des témoins viennent révéler vérité.
Ne dis pas qu ' une enquête sera menée ? Non !
Ol rejette la responsabilité sur le conseil de l" ecole qu ' il pretends autonome ? Foutaises ! C est juste de la fuite en avant pour se defaire de ses responsabilités et obéir à une caste retrograde attardée , misogyne de frustres retrogrades ..
La jeune fille n' à peut être pas de droits a faire valoir ses embarras face a une situation ou elle s' est sentie humiliée peut être@##!
Et puis en attendant , l" enf**** de de pseudo prof continue ses vulguarités et impolitesses sans aucun garde- fou de da tutelle hierarchique #@
Enf*****!
En revanche, il défend, plutôt il énonce l'importance du respect de l'autorité pédagogique.
Pour apprendre de quelqu'un, il faut le reconnaître et le respecter.
Je crois, sans prendre parti puisque je ne dispose pas de tous les éléments utiles, qu'i' est juste de laisser les autorités de l'établissement conduire leurs affaires.
S'il est exact que l'enseignant en question se serait conduit de façon inadaptée, cela relève de questions domestiques que doit gérer l'établissement.
Si, en revanche, usant de son autorité, de sa place, il se serait rendu coupable de faits relevant du pénal, c'est devant la justice, au-delà d'une sanction idoine interne, que l'affaire doit être traitée.
Les adolescents, de nos jours, n'ont plus beaucoup de repères, et c'est démagogie facile que de leur laisser croire qu'ils sont maîtres de leurs actes, ne se référant que d'eux-mêmes.
On voit les dégâts infligés aux enfants par ces postures fort loin de la pédagogie.
Il y a ceux qui veulent faire l'amalgame entre le professeur Mhadheb Rmili et l'acteur Mhadheb Rmili. Une ruse satanique, qu'ils utilisent contre le parti politique d'Ennahdha, en rapport avec la religion musulmane.
Allah yèhlik Ass-hab el charr.
BILLAHI arrêtez votre ruse de victimisation, la pilule ne passera plus et surtout restez loin de l'affaire de cette fille encore mineur.
hsibkom rabi vous n'avez rien laisser a cette jeunesse que le suicide en mer
allah yihlikom
Va siroter ton avenir par la mousse et laisse l'intelligence aux autres.
Comme tu me souhaites du mal, je te le rétorques adéquatement, par: "Allah yèhlèkik wè yèhlik amthèlik Ass-hab el-charr wèl Nèmima".