
La sous-secrétaire d'État à la sécurité civile, à la démocratie et aux droits de l'Homme, Uzra Zeya, s'est rendue, du 23 au 27 mars 2022 en Tunisie où elle a rencontré la cheffe du gouvernement, Najla Bouden, le ministre des Affaires étrangères, Othman Jérandi, le minsitère de l’Intérieur, Taoufik Charfeddine et des hauts représentants du gouvernement.
Selon un communiqué du 27 mars 2022 du Département d’Etat américain, Uzra Zeya a, également, rencontré des représentants de la société civile tunisienne, des syndicalistes, des militants et des journalistes.
Lors de ses entretiens, la sous-secrétaire a souligné la préoccupation des États-Unis au sujet du processus démocratique de la Tunisie et l'importance de la mise en place de réformes politiques et économiques inclusives prenant en considération les propositions de la société civile.
Uzra Zeya a souligné l’importance du respect des droits de l'Homme, y compris la liberté d'expression et d'association, telle que stipulée dans la Constitution et le Pacte international relatif aux droits civils et politiques. Elle a, aussi, mis l’accent sur l’importance d’un système judiciaire indépendant en considérant qu’il s’agissait d'un moyen assurant une démocratie forte et saine.
Elle a appelé le gouvernement à arrêter les poursuites de civils devant les tribunaux militaires et la persécution d’individus dans des affaires relevant de la liberté d'expression.
La sous-secrétaire a rendu visite à l'Instance supérieure indépendante pour les élections de Tunisie, où elle a souligné l'engagement des États-Unis en faveur d'élections libres et équitables et le soutien à cette institution démocratique clé pour remplir son rôle constitutionnellement mandaté de diriger le prochain référendum et les élections législatives.
Le sous-secrétaire a, également, évoqué l’impact désastreux de l'invasion de l'Ukraine par la Russie, mettant plus d’un millier de Tunisiens en danger et menaçant de perturber l'approvisionnement en produits agricoles essentiels.
Elle a remercié la Tunisie pour son soutien aux résolutions de l'Assemblée générale des Nations Unies concernant la crise humanitaire ukrainienne et sa condamnation de l'agression de la Russie. Il a souligné la nécessité d'une solidarité internationale soutenue pour soutenir le peuple ukrainien et atténuer l'impact négatif de l'invasion russe sur la sécurité alimentaire internationale.
S.G
Quand on parle d'armes chimiques, difficile de ne pas revoir les images de Colin Powell, le secrétaire d'Etat américain, brandir au conseil de sécurité de l'ONU une fiole d'anthrax. C'était en février 2003 quelques semaines avant que le président George Bush ne jure que "le régime irakien possède des armes biologiques et chimiques". On connait la suite, la guerre si lourde de conséquences, en Irak, ce pays si riche en pétrole. Sur place, les inspections de l'ONU n'ont trouvé aucune arme de destruction massive. Pour réelle qu'elle soit, la menace d'utilisation d'armes chimiques est à manipuler avec précaution. Même si c'est une épée de Damoclès sur les populations civiles dont on voudrait faire plier la volonté. L'emploi, interdit par la convention de 1993, ratifiée par Poutine, de ces mêmes armes aveugles et lâches, a, lui, une vertu cardinale. Nous rappeler que depuis la guerre du Péloponnèse (Ve siècle avant JC) ou les athéniens envoyaient des gaz sulfureux sur des cités spartiates, jusqu'au massacre de Khan Cheikhoun en Syrie en 2018 l'inhumanité a encore de vilains jours devant elle.
On a bien vu l'héritage des américains en Irak et en Afghanistan
Le masculin puis le féminin employés pour parler de Mme Zeya sont délicieux ! Encore heureux qu'on ait pas employé tantôt le pluriel tantôt le singulier. '?a fait figure de style "Tunisienne !!!!"
Les usa sont à l'origine de la plupart des conflits dans le monde
Syrie,Libye,Yémen,Ukraine ect..
"Elle a remercié la Tunisie pour son soutien aux résolutions ..... Il a souligné la nécessité d'une solidarité internationale soutenue.."
Mais Madame Zeya svp ,quand même , nous ne sommes pas des débiles profonds.
N'insultez pas notre intelligence.
Nous vous respectons.
Vous puez le fric avec arrogance, Pitoyable, quelle honte, vous êtes indécents
Et vous vous voudriez que les Américains en rajoutent?
Ils restent à leur place, et c'est très bien!
Qui disait saoudiens disait américains.
Si on veut défendre le droit de l'homme? On le défend partout dans le monde. Ce n'est pas quand ça nous arrange.
Merci
C'est la Revue des deux mondes, en son numéro du 1/7/1848, page 120 parlant des bourgeois revanchards à propos de la révolution de 1848 qui imprime ces lignes.
On sait que cette révolution des prolétaires a été écrasée dans le sang par les tenants des intérêts de leur classe.
Je ne peux m'empêcher d'y voir comme un rappel contre l'oubli.
Et, voilà un exemple dont on pourrait s'inspirer afin de nous prémunir contre tous les sophistes, leurs inspirateurs et leurs suivants.
Cnest assez d'avoir détruit le pays, les voici qu'ils tentent, une énième fois, de nous réduire à leur merci.
Madale la Sous-secrétaitre serait bien inspirée de cesser ses rodomontades, puisque nous ne sommes pas sa propriété, ni une sous-préfecture de quelque colonisateur.

