Son communiqué du 26 juillet 2019 précise : « Monsieur Béji Caïd Essebsi avait été étudiant de la Faculté de droit de l’Université de Paris de 1949 à 1952 et il avait reçu les insignes de docteur honoris causa de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne en 2015».
A cette occasion, Georges Haddad, président de l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, a réagi : « Lors des quelques rencontres que j'ai eu l'honneur d'avoir avec le président Essebsi j'ai pu apprécier sa générosité, son énergie et sa sagesse caractéristiques de grands tunisiens qui ont marqué ma vie et mon enfance. Toutes mes pensées émues vont à sa famille et à mes frères tunisiens ».
Son communiqué du 26 juillet 2019 précise : « Monsieur Béji Caïd Essebsi avait été étudiant de la Faculté de droit de l’Université de Paris de 1949 à 1952 et il avait reçu les insignes de docteur honoris causa de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne en 2015».
A cette occasion, Georges Haddad, président de l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, a réagi : « Lors des quelques rencontres que j'ai eu l'honneur d'avoir avec le président Essebsi j'ai pu apprécier sa générosité, son énergie et sa sagesse caractéristiques de grands tunisiens qui ont marqué ma vie et mon enfance. Toutes mes pensées émues vont à sa famille et à mes frères tunisiens ».
Ben Ali avait flirté avec les frères islamistes. Il a abandonné la future génération à l'obscurantisme prêché par ces derniers, amputant leur discernement. Il avait ouvert les portes de notre Tunisie à certains prédicateurs qui nous ont guettés depuis notre indépendance, pour nous détruire........
Ces quelques mots de monsieur Haddad représentent ce qu'il y a de meilleur en l'Homme lorsqu'il voit en l'autre son frère. L'être humain n'est jamais aussi grand que lorsqu'il se met à hauteur d'homme et se range au sein de son espèce. Ni la religion, ni la descendance, ni le statut social ne peuvent justifier la haine, le mépris et le séparatisme que trop souvent les humains utilisent pour se distinguer et rejeter.
Monsieur Haddad, vous êtes mon frère.
BCE a bien saisi son rendez vous avec l histoire et de 2011 a aujourd hui il a su manoeuvrer dans les moments les plus difficiles..bien ou mal c est une autre question...les historiens sauront ecrire et relater l ere BCE...les journalistes peuvent fournir leurs opinions librement.. mais objectivement c est une autre question..le coeur a ses raisons ..Quand au dictateur mafieux Ben Ali ,il nous a fait perdre 23 ans tellement precieuses,et le plus grand mal c est qu il a semer les cultures destructrices de la corruption,du nepotisme,de l injustice sociale,de l exclusion.
alors qu il a herite le 7 novembre 1987,d un Etat et d institutions solidement construites par le Bourguibisme sur lesquels il avait la voie libre de construire facilement une veritable democratie Tunisienne a l image du petit Etat de Singapour..il avait tout pour reussir et il le savait tres bien..malheureusement pour nous il a instaure une republique bananiere corrompue jusqu´a la moelle....et il nous faudra des decennies pour refaire le terrain et reeduquer toute une generation atteinte par ce cancer qui continue de ronger les institutions de l Etat...BCE a refait une partie du chemin perdu,mais il reste encore des montagnes a deplacer...notre patrie s en sortira grace aux honnetes patriotes
