Un débouché ! (nom masculin)
Donc : "les débouchés professionnels" !
Et j'insiste :
"le monde vit un chaos au nouveau politique".
Un chaos au NIVEAU politique !
Maxula.
Khaled Ghedira, recteur du Groupe Université Centrale est, désormais, le spécialiste par excellence de l’Intelligence artificielle. Actuellement en quête d’éminents conférenciers pour le premier Short MBA en diplomatie économique et lobbying qui va être imminemment lancé par l’UCG, l’ex-directeur de recherche à l’Institut d’Informatique et d’Intelligence artificielle (Suisse 1992-1996) et consultant expert chez British Telecom (Angleterre), ainsi que le président fondateur de l’Association Tunisienne d’intelligence Artificielle, a bien voulu nous livrer, les objectifs de l’Université Centrale, membre du Groupe Honoris United Universities, premier réseau panafricain d’éducation et d’enseignement supérieur et les réelles perspectives qu’ouvrent le Short MBA susmentionné.
Le Groupe Université Centrale place au sommet de ses priorités la réalisation d’un triple objectif ; la qualité, l’employabilité et l’ouverture sur le monde socio-économique. A ce propos, le recteur de l’UCG, Kahled Ghedira, affirme :« On essaie d’attirer les meilleurs enseignants aussi bien à l’échelle nationale qu’à celle internationale pour assurer la qualité et tendre vers l’excellence ; offrir à nos étudiants les meilleurs professeurs, experts et même formateurs qui viennent directement du domaine de l’entreprise pour joindre la pratique à la théorie ».
Les débouchées professionnelles étant l’objectif final de tout étudiant, l’UCG ne peut occulter le volet employabilité. Kahled Ghedira s’exprime aussi sur ce volet : « Nous avons un problème en Tunisie ; nous arrivons à former de bons étudiants mais il leur manque les « Soft Skills ». Pour remédier à cela, nous avons introduit à l’UCG en première année et en terminale de nouvelles matières, en l’occurrence, le développement personnel qui permet aux nouveaux venus à l’enseignement supérieur de s’intégrer et préparer les étudiants de la dernière année à s’insérer dans la vie active. On a également introduit dans notre formation des cours sur l’entreprenariat assurés par des experts, des startuppeurs et des gens du domaine qui viennent partager leurs expériences professionnelles dans le montage de sociétés avec les étudiants. Autres matières non moins importantes sont les langues. Nous avons tenu à intégrer deux certifications en langues, une avec British Council en anglais et une avec Lougha en français, outre la certification en informatique bureautique ».
L’UCG offre à ses étudiants des opportunités d’ouverture sur le monde socio-économique, sociopolitique et sur son environnement dans sa globalité. Le recteur du Groupe Université Centrale, Khaled Ghedira, ne manque pas de souligner l’importance des perspectives qu’ouvrent leur nouveau Short MBA: « Comme nous le constatons tous, le monde vit un chaos au nouveau politique et diplomatique, regardez un peu ce qui se passe en France. Pour cela, on a pensé à lancer, pour la première fois en Tunisie un Short MBA en diplomatie économique et lobbying, lequel est devenu un métier à part entière. Cette formation s’adresse à un public aussi large que divers à commencer par les diplomates et politiciens, en passant par les membres de la société civile jusqu’aux cadres et étudiants qui veulent se spécialiser ou parfaire leur formation dans le domaine et à toute personne férue de diplomatie économique et lobbying.
La cérémonie de démarrage de cette formation a été fixée au 20 décembre et aura lieu dans notre centre de simulation. La formation en elle-même prendra 6 mois à raison de 4 jours par mois, et commencera en février. Il y aura trois cycles dans cette formation ; le premier cycle traitera la de diplomatie économique, du lobbying et des stratégies d’influence, le second concernera la diplomatie économique, veille et intelligence économique et le troisième touche la diplomatie économique ; moyens d’actions et méthodologies appliquées pour traiter ce domaine. Cette formation sera assurée par des éminences du domaine, à savoir, des experts dans la diplomatie économique, d’ex ambassadeurs, d’ex ministres aussi bien tunisiens qu’européens. Chaque cycle sera ponctué par des conférences animées par des sommités. Nous avons, déjà contacté Jean Pierre Chevènement, Ségolène Royale, Dominique de Villepin et bien d’autres ».
Une formation qui s’annonce très intéressante et riche en enseignements dans un monde en perpétuelle mutation mais où la diplomatie économique et le lobbying tiennent toujours une place de choix pour booster les économies, spécialement dans les pays en voie de développement qui peinent à assurer leur autosuffisance et leur stabilité économique laquelle entraîne la stabilité politique et sociale.
D’après communiqué
Khaled Ghedira, recteur du Groupe Université Centrale est, désormais, le spécialiste par excellence de l’Intelligence artificielle. Actuellement en quête d’éminents conférenciers pour le premier Short MBA en diplomatie économique et lobbying qui va être imminemment lancé par l’UCG, l’ex-directeur de recherche à l’Institut d’Informatique et d’Intelligence artificielle (Suisse 1992-1996) et consultant expert chez British Telecom (Angleterre), ainsi que le président fondateur de l’Association Tunisienne d’intelligence Artificielle, a bien voulu nous livrer, les objectifs de l’Université Centrale, membre du Groupe Honoris United Universities, premier réseau panafricain d’éducation et d’enseignement supérieur et les réelles perspectives qu’ouvrent le Short MBA susmentionné.
Le Groupe Université Centrale place au sommet de ses priorités la réalisation d’un triple objectif ; la qualité, l’employabilité et l’ouverture sur le monde socio-économique. A ce propos, le recteur de l’UCG, Kahled Ghedira, affirme :« On essaie d’attirer les meilleurs enseignants aussi bien à l’échelle nationale qu’à celle internationale pour assurer la qualité et tendre vers l’excellence ; offrir à nos étudiants les meilleurs professeurs, experts et même formateurs qui viennent directement du domaine de l’entreprise pour joindre la pratique à la théorie ».
Les débouchées professionnelles étant l’objectif final de tout étudiant, l’UCG ne peut occulter le volet employabilité. Kahled Ghedira s’exprime aussi sur ce volet : « Nous avons un problème en Tunisie ; nous arrivons à former de bons étudiants mais il leur manque les « Soft Skills ». Pour remédier à cela, nous avons introduit à l’UCG en première année et en terminale de nouvelles matières, en l’occurrence, le développement personnel qui permet aux nouveaux venus à l’enseignement supérieur de s’intégrer et préparer les étudiants de la dernière année à s’insérer dans la vie active. On a également introduit dans notre formation des cours sur l’entreprenariat assurés par des experts, des startuppeurs et des gens du domaine qui viennent partager leurs expériences professionnelles dans le montage de sociétés avec les étudiants. Autres matières non moins importantes sont les langues. Nous avons tenu à intégrer deux certifications en langues, une avec British Council en anglais et une avec Lougha en français, outre la certification en informatique bureautique ».
L’UCG offre à ses étudiants des opportunités d’ouverture sur le monde socio-économique, sociopolitique et sur son environnement dans sa globalité. Le recteur du Groupe Université Centrale, Khaled Ghedira, ne manque pas de souligner l’importance des perspectives qu’ouvrent leur nouveau Short MBA: « Comme nous le constatons tous, le monde vit un chaos au nouveau politique et diplomatique, regardez un peu ce qui se passe en France. Pour cela, on a pensé à lancer, pour la première fois en Tunisie un Short MBA en diplomatie économique et lobbying, lequel est devenu un métier à part entière. Cette formation s’adresse à un public aussi large que divers à commencer par les diplomates et politiciens, en passant par les membres de la société civile jusqu’aux cadres et étudiants qui veulent se spécialiser ou parfaire leur formation dans le domaine et à toute personne férue de diplomatie économique et lobbying.
La cérémonie de démarrage de cette formation a été fixée au 20 décembre et aura lieu dans notre centre de simulation. La formation en elle-même prendra 6 mois à raison de 4 jours par mois, et commencera en février. Il y aura trois cycles dans cette formation ; le premier cycle traitera la de diplomatie économique, du lobbying et des stratégies d’influence, le second concernera la diplomatie économique, veille et intelligence économique et le troisième touche la diplomatie économique ; moyens d’actions et méthodologies appliquées pour traiter ce domaine. Cette formation sera assurée par des éminences du domaine, à savoir, des experts dans la diplomatie économique, d’ex ambassadeurs, d’ex ministres aussi bien tunisiens qu’européens. Chaque cycle sera ponctué par des conférences animées par des sommités. Nous avons, déjà contacté Jean Pierre Chevènement, Ségolène Royale, Dominique de Villepin et bien d’autres ».
Une formation qui s’annonce très intéressante et riche en enseignements dans un monde en perpétuelle mutation mais où la diplomatie économique et le lobbying tiennent toujours une place de choix pour booster les économies, spécialement dans les pays en voie de développement qui peinent à assurer leur autosuffisance et leur stabilité économique laquelle entraîne la stabilité politique et sociale.
D’après communiqué