Soyez certain que dieu son prophète et aussi les prières quotidiennes ou celles des vendredi, tout ça n'est qu'un brassage d'air inutile, et un endoctrinement pour mettre en léthargie tous les crédules mesquins , et ça n'avance à rien méfiez vous les mosquées sont des buanderies pour lavage de cerveau ./

La critique énoncée comme vous l'avez fait est toujours la bienvenue.Je vous en remercie même si elle m'a value un paragraphe de 23 lignes. Je pense, à tort ou à raison, non en homme de loi, qu'un maire, fut-i Laâyouni, doit être informé ( pas forcément consulté ou invité) lors de la visite dans sa commune d'une personnalité aussi importante que celle du Président de la République: Un maire fait partie des corps élus de la République et a droit pour cela à certains égards même si ce n'est pas un droit. On informerait donc un Directeur d'hôpital et l'imam d'une mosquée et non un élu de la République, que l'on aime ou que l'on déteste par ailleurs? Cordialement.

Pourquoi cette prière dans la mosquée des « Frachiche », ou Fraichiches, précisément ? L'Histoire de cette tribu berbère, ou arabo-berbère, comme certains se plaisent à la nommer, est ambiguë, notamment vis-à-vis de son positionnement face au protectorat français, dès 1881... Cette tribu, en 1881, a fourni des goumiers, des éclaireurs aux colonnes militaires coloniales Logerot, Jamais, La Roque et Philebert. cf paragraphe 11 de :

https://journals.openedition.org/encyclopedieberbere/1966
Bizarre, non !?...

C'est du cirque ! de Fethi tabbela à Kais weza !

Votre commentaire m'a interpellé, permettez-moi d'interagir afin de dissiper quelques points que vous avez évoqués, qui me semblent ambigus et loin de la réalité.
vous avez bien évoqué le terme PROTOCOLE, je m'explique :
Lorsqu'il s'agit de sorties présidentielles sur le territoire Tunisien, on ne parle plus de protocole, on parle de convoi présidentiel sécurisé, on parle de protocole que lorsqu'il y a une présence d'un autre service et d'un autre président. (Excusez-moi je ne vais pas évoquer de détails).

La sécurité présidentielle est SEULE (Je tire 2 traits sur le mot) habilité à informer qui elle veut, quand elle veut et où elle veut. On parle de la sécurité et de la vie du président, l'emblème de la république Tunisienne.
3omda, délégué, maire, gouverneur, même le directeur régional de la Police et tous ceux que vous voulez ... et tout le peuple tunisien, peuvent ne pas être informés de la visite du président, si la sécurité présidentielle le décide, personne ne discute ses décisions, même pas le président.

Quant à la structure hospitalière, je présume que vous ignorez de quoi est composé un cortège présidentiel.
Il y a toute une logistique que vous voyez en cours de la visite, et il y a une autre logistique, beaucoup plus importante, variée et efficace en cas de besoins, que vous ne voyez pas, quelque soit l'aspect de la visite et le temps programmé soit H+1 ou H+24.
Ce que je peux avancer, c'est qu'au moins l'institution de la sécurité présidentielle n'a pas été gangrenée, et les hommes et les femmes anonymes qui y veillent de près ou de loin font un travail remarquable et silencieux. Quant au but de la visite, cela ne concerne pas la sécurité du président, il faudra demander à ses conseillers, EUX sont vraiment à côté de la plaque et aux abonnés ABSENTS.
J'ai voulu simplement rendre à César, ce qui appartient à César. Merci.

Pendant que les énergumènes islamistes du type Ayouni, et les énergumènes pseudo-modernistes du type Moussi, se battent sur des enjeux qui n'existent que dans leurs têtes, le président continue d'appuyer sa popularité par des gestes simples et, quoique populistes, nettement populaires !

Il faut se mettre à l'évidence, quelque soit l'idée que l'on peut se faire de Fathi Laâyouni, et la mienne n'est pas des plus tendres, un Président de la République qui se déplace doit prévenir le maire de la commune où il se rend ne serait ce que pour organiser des conditions optimales pour sa sécurité, quand ce n'est pas par courtoisie.Je dirai plus encore, même la structure hospitalière la plus proche doit être prévenue, au cas où. Le Président semble n'en n'avoir cure car ce n'est pas la première fois qu'il procède de la sorte. A défaut de marquer sa présence sur la scène internationale où il est aux abonnés absents, il préfère faire le buzz par des sorties faisant fi du protocole inhérent à sa fonction, protocole n'étant en rien un terme péjoratif.